La Page Libérale en chiffres:
5 ans d’activité, 1200 articles, 20 contributeurs au total….
Ligne éditoriale
La ligne éditoriale: définitivement libérale. Même « ultralibérale », libertarienne (pour une définition allez sur Le Québécois Libre). Nous ne sommes pas ici pour faire de la politique, mais au contraire pour combattre la politique. La politique c’est la violence instrumentalisée. Comme l’a dit je crois Christian Michel: « on a séparé l’Eglise de l’Etat, maintenant séparons la politique de l’Etat ». Ni droite ni gauche donc, on tape indifférement sur les uns et les autres. Ni Madelin d’ailleurs (pour ceux qui se poseraient la question), ni Alternative Libérale non plus!
Un mot technique:
La Page Libérale est hébergée chez Hosting Matters, le nom de domaine est géré par Go Daddy.com.
Le moteur du site est WordPress, après avoir longtemps été codé à la mano par votre serviteur… mais je me suis résolu à avoir un outil tout cuit plutôt qu’à réinventer la roue perpétuellement!
Seulement ces mots tres brefs pour vous dire qui vous n´étáis pas seul dans cet écriture aligné avec la liberté et l´esprit d´inquietude que vous anime et agite comme un oiseau en plein vol.
Vos pensées je fais les miens ici au Portugal ont la situation est tres proche ou meme la meme que la votre en France. Les socialistes et la polique molle est bien (hellas « a la portugaise ») le reflet du mirror republicain français.
Salutations
Carlos Santos
Lisbonne/Portugal
(peintre et collagiste)
Il est nécessaire d’enseigner aux enfants l’Histoire, celle de France, celle du monde, celle de la pensée et des grandes aventures qui ont mené le monde là ou il est aujourd’hui.
Montrer les horreurs du nazisme comme c’est le cas dans certaines classes de troisième des collèges est un devoir que nous devons à nos enfants. Ils doivent comprendre que la première liberté à connaître et pratiquer est celle du respect de l’Homme quelle que soit sa couleur, sa race, ses croyances politiques, religieuses ……
Alors Messieurs et Mesdames les Enseignants vous pourriez être parfaits dans votre rôle d’éducateurs mais pour atteindre la vraie perfection n’oubliez pas de parler de parler des horreurs du communisme SVP. Pourquoi ne mettez-vous pas HITLER et STALINE sur le même pied d’égalité ? Si vous comparez le nombre de mort et chiffrez les souffrances prenez plutôt une trés grande échasse pour élever STALINE et les communistes à leur vrai rang. On sait qu’une partie du corps enseignant est plutôt de tendance gauchisante mais n’y-a-t-il pas un droit de réserve moral à respecter vis à vis des enfants que l’on vous confie ?
Cette dernière remarque ne concerne que ceux qui se sentent concernés bien sûr et c’est la raison pour laquelle aucune réaction ne fera suite à ce message …
Je concluerais sur ce qui pourra sembler un autre thème mais … je me pose des questions tout de même par rapport à la première partie de ce texte. Résultats du premier tour des dernières présidentielles : réaction vive, trés vive de l’opinion publique, rejet marqué des socialo-communistes, élan sincère ou réactionnaire vers un homme qui se positionne différemment, que l’on doit respecter parce que c’est tout simplement un Homme qui a ses propres valeurs comme vous et moi (il n’est à mon sens ni impliqué dans les fours crématoires ou les goulags).
Les jeunes descendent dans la rue. Non pas les étudiants d’écoles politiques comme en 68 (suivi par la masse de moutons derrière) mais de jeunes innocents faisant l’école buissonnière pour protester contre ….. contre quoi au fait ? Ce que leur on leur a inculqué dans leurs petites cervelles encore vierges ? Feraient mieux d’apprendre à parler français correctement sans fautes d’orthographe, apprendre leurs théorèmes par coeur plutôt que de chahuter bruyamment en se prenant pour des adultes (le chemin est encore long jeunes gens).
Je souhaite vivement susciter la réaction de jeunes à ces propos, de jeunes responsables, posés, engagés dans leur propre processus de réflexion, capables de résister à l’influence des adultes.
G. DURRMANN
J’ai été particulièrement sensible à votre message M. DURRMANN et des manifestations Anti-Le Pen aux manifestations Anti-reformes (Anti-reformes ou Anti-Droite ?), je me refugiais avec passion dans une culture liberale, qui aura su me faire voir la politique sous un autre angle, celui de l’individu. Cela fait à peine plus d’un an que je m’interesse à la politique (depuis le 21 avril 2002)et je n’ai cessé d’évoluer dans cette orientation passant d’un Madelinisme à un National-Liberalisme (étant pour moi, à l’époque, une possibilité des plus réalisables), en passant par le Libertarianisme et les oeuvres de Bastiat et d’Ayn Rand. Un eclair de lucidité, une nouvelle vision des choses, j’ai été attiré par cette pensée profonde et régénératrice à laquelle je crois du fond du coeur et bien evidemment associée à un engagement individualiste philosophique fort. Alors vous imaginez mon dégoût devant une poignée de professeurs irresponsables qui reproduisent l’autodafé national-socialiste des dizaines d’années après avec « La lettre à tous ceux qui aiment l’Ecole » de Luc Ferry.. Alors d’actions contre-manifestantes en débats disons .. « energiques » avec des professeurs (!), j’ai en quelques sortes déployé un activisme liberal frondeur en ces périodes de crise du sens politique.
Et devoir me taire m’insupporte, alors j’écris, j’écris, et je dois en être à une vingtaine d’essais actuellement allant de quelques pages à 10 à 15 pages pour les plus imposants. Et je cherche donc à m’impliquer dans le domaine du net afin de faire parvenir ma pensée polémique.
Etant en ce moment même en train de rédiger un essai de plus d’une quinzaine de pages me tenant paticulièrement à coeur, je voulais demander l’aimable autorisation à Thurion Lugol afin de faire figurer son court article « L’Etat nous protège » dans mon essai. Bien sûr, son nom, en tant qu’auteur sera cité tout comme la provenance de l’article.
Je vous remercie d’avance grandement.
Avec mon soutien amical.
Après neuf mois de confrontation autour du régime des intermittents du spectacle, voici peut-être enfin venu le temps des propositions. Pour la CFDT, les choses sont claires : l’assurance chômage n’a pas vocation à financer la politique culturelle de la France. François Chérèque préconise logiquement que les intermittents bénéficient d’une caisse autonome complémentaire financée par l’Etat, les collectivités locales et les employeurs.
Aussi brutale puisse-t-elle paraître, cette position a au moins le mérite de la cohérence. D’après l’Unedic (coprésidée par le Medef et la CFDT), les intermittents ont perçu en 2002 quelque 957 millions d’euros d’allocations, pour seulement 124 millions de cotisations versées. Même si ces chiffres semblent délibérément gonflés (les cotisations des permanents du spectacle n’ont apparemment pas été prises en compte), une telle disproportion entre cotisations et prestations nous fait clairement sortir d’une logique d’assurance chômage pour entrer dans une logique de subvention à la culture.
Une telle subvention n’a d’ailleurs en soit rien d’aberrant. Les activités artistiques doivent être subventionnées, et, parmi les différents modes de subvention envisageables, il n’est pas sûr que celui-là soit le moins efficace. Malgré toutes ses imperfections et les abus dont il fait l’objet, la logique du régime des intermittents consiste en effet à demander aux artistes de commencer par trouver des contrats et des diffuseurs, après quoi la collectivité nationale complète leurs revenus en proportion des revenus obtenus «sur le marché», ce qui garantit au moins que les activités subventionnées ont un public et correspondent à une certaine demande sociale. L’autre mode de subvention, qui consiste à laisser les administrations de la culture choisir elles-mêmes quels spectacles et quels films méritent d’être financés, n’offre pas toujours les mêmes garanties.
Par contre, il est aberrant que l’Etat s’obstine à nier cette réalité et abandonne aux
Je ne sais pas très bien par ou commencer. Ce qui est sur, c est mon respect sincère et profond de la doctrine libérale. Meme aprés vous avoir lu.
Franchement, je suis tombé chez vous en faisant une enquète sur les sites ultra-conservateurs américains. C’est comme ça que j’ai eu le lien. Alors que vous vous auto-proclamiez libéraux, ça me fait un peu mal…
On trouve vraiment tout sur votre site; de l’invasion musulmane à la vielle rengaine lepeniste sur le pouvoir socialo-marxiste. A pleurer.
Vous ne savez pas à quel point vous faites mal aux vrais libéraux avec votre vrai conservatisme, tendance ex de l’OAS.
Dommage, parce que par-ci par-la, on trouve aussi de vrai début de reflexion….
Enfin rappellez vous; l’essence du libéralisme, du libéralisme totale, c’est à dire celui de l’esprit, c’est le pragmatisme, et cette idée, gravée profondement dans notre crane: notre contradicteur detient toujours au moins la moitié de la vérité.
Alors Mesdames, Messieurs, j’attend votre réponse, et s’il vous plait, debarrasser les doncs de vos injures habituelles.
La réponse tu l’as donnée toi même. Il n’y a pas de doctrine ici. Juste des gens qui échangent leurs vues sur le libéralisme, sympathisants ou pas. Cela aide chacun à progresser dans sa réflexion. Il y a des échanges rudes? Eh bien tant mieux, ça reveille les esprits endormis par le socialisme. Tu trouveras ici à peu près toutes les nuances du liberalisme, et puis si tu cherches un « vrai » liberal, il y a toujours Michael Mithra!
Merci Nono.
Quant à ceci:
» Enfin rappellez vous; l’essence du libéralisme, du libéralisme totale, c’est à dire celui de l’esprit, c’est le pragmatisme, et cette idée, gravée profondement dans notre crane: notre contradicteur detient toujours au moins la moitié de la vérité. »
cela m’a bien fait rire.
Réfléchissez deux secondes: pour quelle raison et au nom de quoi un contradicteur détiendrait-il « au moins la moitié de la vérité » ? Pourquoi pas les deux tiers ? Pourquoi pas le quart ?
Et s’il n’y a pas deux mais trois interlocuteurs qui ne sont d’accords sur rien, chacun détient-il toujours « la moitié de la vérité ». Et s’ils sont dix …? C’est à se tordre.
Et pour conclure: cher Matthieu André, je ne suis d’accord avec RIEN de ce que vous avez écrit dans votre précédent post. D’après votre propre hypothèse, donc, j’ai au moins à moitié raison. Par conséquent, la moitié au moins de ce que vous avez écrit est faux de votre propre aveux. Pas terrible, pour un premier post, qu’il soit à moitié faux…
Alors un conseil essayez de réfléchir avant de poster, ça nous fera des économies d’énergie.
« Réfléchissez deux secondes: pour quelle raison et au nom de quoi un contradicteur détiendrait-il « au moins la moitié de la vérité » ? Pourquoi pas les deux tiers ? Pourquoi pas le quart ? »
Question conne: n’était-ce pas là plus figure de style qu’une affirmation numéraire exacte ?
« Il n’y a pas de doctrine ici. »
Si j’en crois les académiliciens Français qui nous ont pondu un dictionnaire à l’usage de la plèbe et des malcomprenants, la doctrine c’est:
« 1. Ensemble des principes qui constituent le fondement d’une religion, d’une philosophie, d’une politique, d’une morale. »
Je coupe le reste pour dire que oui, ici comme ailleurs il y a une doctrine, du moins si l’on suit la définition de nos amis les vieillards croulants en costumes dorés.
« Question conne: n’était-ce pas là plus figure de style qu’une affirmation numéraire exacte ? »
On peut le penser, Richard, mais si le locuteur a voulu dire ‘une part de vérité’, cela ne change rien. Pourquoi chacun détiendrait-il systématiquement et sur tout sujet une part de vérité ? C’est loufoque comme idée.
Dans certains cas, on se trompe complètement ou on ne sait rien du tout. Sur ce qu’a fait votre mère 17 jours après son vingtième anniversaire, par exemple, je ne sais rien de non trivial. Absolument rien du tout.
L’idée que chacun détient une part de vérité revient en fait à affirmer que chacun est omniscient.
Si le locuteur a voulu simplement dire ‘écoutez ce que les autres disent, ça peut être intéressant’, alors merci on le savait déjà . C’est même axiomatique: il est évident que ça peut être intéressant d’écouter les autres. Car prétendre le contraire (‘il n’est jamais intéressant d’écouter les autres’) revient à affirmer qu’on l’est, omniscient, et de manière innée de surcroit. Car d’où vient le savoir de celui qui parle? C’est en fin de compte une contradiction performative: en effet, celui qui prétend que d’une manière générale, il n’est jamais intéressant d’écouter les autres s’adresse pourtant à quelqu’un et s’attend donc à ce qu’on s’intéresse à ce qu’il dit, invalidant ainsi sa propre thèse par le seul fait de l’exprimer. A part quelques fous, personne ne croit ça.
Un tel rappel à l’ordre n’aurait donc aucun intérêt, et c’est pourquoi je pense qu’il faut interpréter plus littéralement ce qu’a voulu dire le locuteur.
« On peut le penser, Richard, mais si le locuteur a voulu dire ‘une part de vérité’, cela ne change rien. Pourquoi chacun détiendrait-il systématiquement et sur tout sujet une part de vérité ? C’est loufoque comme idée. »
Le sujet était une discussion contradictoire sur un sujet d’ordre philosophique. Il est donc plus que probable que dans tout discours, le contradicteur détiendra au moins une part de vérité ne serait qu’infimeÂ… Je ne trouve pas cela loufoque.
« Dans certains cas, on se trompe complètement ou on ne sait rien du tout. Sur ce qu’a fait votre mère 17 jours après son vingtième anniversaire, par exemple, je ne sais rien de non trivial. Absolument rien du tout. »
You missed the point. La discussion ne porte pas sur ce qu’à fait un tiers à tel moment mais sur l’expression d’idées et le débat contradictoire. C’est tout. Il me semble que son commentaire était clair.
« L’idée que chacun détient une part de vérité revient en fait à affirmer que chacun est omniscient. »
Non. L’idée que chacun non pas détient mais exprime une part de vérité ne fait pas de cette personne un être omniscient mais peu être un fin observateur. Bref vous sautez aux conclusions bien trop rapidement.
« Un tel rappel à l’ordre n’aurait donc aucun intérêt, et c’est pourquoi je pense qu’il faut interpréter plus littéralement ce qu’a voulu dire le locuteur. »
N’importe quoi.
Energie, économie, écologie, et choix politiques.
Les véritables écologistes, ne sauraient le nier (et ce devrait même être le credo de leur profession de foi ! ) :
Le véritable problème, c’est que l’énergie disponible sera de plus en plus rare !
– que l’on utilise l’énergie nucléaire ou non, mais d’autant plus qu’on veut l’éviter,
– que l’on brûle plus ou moins rapidement les énergies fossiles ou non, mais d’autant plus que l’on veut l’éviter !
Le flux d’énergie disponible par an ne peut donc que diminuer, par ailleurs la population mondiale ne fait qu’augmenter, la nécessité de mieux partager devient chaque jour plus impérieuse, l’attention à apporter à la planète (en dehors de tous les gadgets parfois contre-productifs que certains, bien intentionnés, mais peu formés à l’étude du Réel, nous proposent) plus aigüe !
Il faut savoir de plus que nous sommes déjà (I) passés par le pic de la quantité maximale d’énergie disponible par habitant et par an, et ce en la supposant égalitairement distribuée entre les êtres humains sur Terre !
C’est pourquoi :
Nous ne saurons pas Demain maintenir le flux d’énergie par habitant au flux moyen actuel,
encore moins au flux moyen actuel par habitant en Europe,
encore moins au flux moyen actuel par habitant aux U.S.A même en espérant des progrès hallucinants dans la conversion photovoltaïque ou autres énergies renouvelables (II) !
Il faut de plus savoir que toute richesse est énergie et réciproquement !
Avec de l’énergie les physiciens peuvent théoriquement tout créer, même de la matière ! et les ingénieurs qui sont loin d’être mauvais savent très souvent réaliser les rêves des premiers (il y a parfois des problèmes de rendement) !
En fait je devrais dire les théories des premiers, et pas les rêves ! Car ces théories montrent aussi que tout n’est pas possible, et il n’est par exemple pas possible de créer de l’énergie à partir de rien !
Mais qu’est-ce que l’énergie ?
L’énergie ce peut être TOUT ce à quoi vous aspirez, de la chaleur, du voyage (du déplacement), de l’information (ordinateur, télé, portables), de l’eau potable à partir d’eau de mer ou polluée, des matières premières qu’il devient alors aisé d’extraire ou de recycler voire théoriquement (très théoriquement) de transmuter etc.
C’est pourquoi l’énergie est en fait la seule richesse, la seule ¨valeur¨ qui s’échange sur les marchés mondiaux… :
L’orange que vous mangez, c’est l’énergie solaire nécessaire à sa croissance, l’énergie fournie sous forme de travail par les muscles de l’agriculteur (et donc l’énergie que son alimentation a du fournir à ses muscles) l’énergie carbonée fournie aux machines qui l’aident dans son travail , l’énergie nécessaire à son transport etc. … ,
de même pour le câble électrique que vous venez d’acheter, ou le diamant qui n’est que du charbon mis en ordre et qui avec un peu d’énergie peut être fabriqué à partir de ce dernier, ou encore le flux d’information qui arrive à votre téléviseur qui n’est que de l’ordre mis en énergie (ou l’inverse) (III) !
Ainsi l’énergie qui a connu différentes unités (cheval vapeur, Joule, erg, petite ou grande calorie etc..) pourrait tout aussi bien être mesurée en dollars, euros, Dirham etc. … ; et, le Joule est la véritable unité monétaire de notre système économique !
Qu’en conclure ? Si le flux d’énergie par habitant que notre Terre peut nous fournir diminue,
notre consommation journalière de richesse ne peut que diminuer, quoi que l’on fasse !
[ Voici une video que vous pouvez voir avant, pendant ou après la lecture de ce texte en supposant que vous ayez été assez courageux par rapport à ce que j’ai été barbant !
http://videos.senat.fr/video/videos/2012/video12508.html
]
Et les limitations, que certains d’un ton suspicieux prétendent ¨comptables¨ (entendre mesquinement comptables !) ou ¨financières¨ ou ¨économiques¨, ne traduisent que cela !
Ils ont donc, le ton mis à part, raison ! car :
Le fait que d’une part, le flux d’énergie disponible est limité et que d’autre part, il est impossible de fabriquer de l’énergie, implique par conséquent qu’il nous faut, mais on ne peut faire autrement, pour nous, pour la planète, compter (presque mesquinement !) cette énergie afin de l’utiliser au mieux !
Oui me direz vous mais pourquoi certains ont-ils accès à davantage d’énergie (IV) ? (V,d)
Ce serait long à développer ici (V,d), mais et bien sûr sans justifier certains excès, il est beaucoup plus efficace que l’énergie reste parfois concentrée avant et afin d’être mieux utilisée (V) ( c’est là aussi une loi naturelle contre laquelle on ne peut rien ! voir notion d’entropie etc. ) … Mais de toute façon, dans notre pays, même les plus défavorisés reçoivent plus que le flux planétaire moyen par habitant !
Nos grands parents n’en avaient-ils pas moins … ? et ils n’étaient pas, moins heureux ! (demandez à vos grands-parents) … au contraire !
En conséquence, quel que sera notre choix ce dimanche … l’avenir sera difficile, très difficile !
mais permettez moi de nuancer, ne sera que ¨matériellement¨ plus difficile,
la vie sera toujours belle ! le ciel étoilé toujours magnifique à admirer, avec nos enfants, nos compagnes et nos compagnons à aimer… et au lieu d’asservir notre regard à l’écran de l’i-phone nous pourrons le porter davantage sur nos enfants et sur les beautés de ce Monde !
Quel que sera notre choix la Réalité Physique de ce Monde s’imposera, et ce, quelle que loi ou décret pourra –t- on prendre, quelle que certaine vis on aura bien voulu tourner et en quel que sens que ce soit !
Tout au plus les transitions seront plus douces si l’on accompagne la Réalité , Réalité qu’il faut pour cela reconnaître, de façon à , justement mieux, ne pas gaspiller (1) notre énergie de qualité en une énergie dégradée (V) ! (En effet, toutes les énergies ne sont pas de la même qualité)
Vous l’avez compris la science de l’énergie (2), l’économie (3) et l’écologie (4) ne sont que les facettes d’une même science !
(1) inutile au bonheur humain durable.
(2) thermodynamique
(3) thermodynamique des échanges et transformation dans ce système qu’est la société humaine et sous-système du système Terre.
(4) thermodynamique des échanges et transformations dans un système vivant, la Terre, biosystème fermé mais pas isolé car en échange avec deux sources de chaleur que sont le Soleil et l’espace à 3 Kelvin .
Ma conclusion est donc celle là :
Lequel parmi tous nos candidats, tous démagogues (car s’adressant croient-ils tous plus ou moins, à un peuple idiot et crédule) prend le mieux en compte les contraintes économiques qui exaspèrent certains d’entre nous mais qui ne sont en fin de compte que des contraintes naturelles dues aux lois physiques ?
Lequel nous tient un discours adulte, nous cache le moins possible cet avenir « prometteur » …
eh oui ! prometteur ! Vous choquerais-je ?
Prometteur car moins nous aurons de matière pour obnubiler notre regard, certes en préservant des conditions minimales d’énergie et de temps (5) permettant de vivre une vie humaine heureuse, et plus nous pourrons nous focaliser sur des choses beaucoup plus importantes ! Nous étions malades de cet excès, obèses de trop de bouffe, malade de ne plus bouger comme en ont besoin les animaux que nous sommes, obnubilés par le matérialisme (6), le blackberry du voisin plutôt que le temps de jeu avec ses enfants !
En aucun cas ce ne sont les partis de gauche qui tout en affichant leurs préoccupations environnementales (avec raison), en refusant l’énergie nucléaire, en refusant les énergies du carbone , en prônant une meilleure répartition planétaire (et c’est juste !) ; et qui analysant pourtant clairement les problèmes nous incitent bizarrement à courir toujours plus, à obtenir plus, à demander plus (7), plus de matière, plus d’énergie alors que notre part est déjà trop élevée et nous rend malades …
et nous font l’illusoire promesse d’augmenter notre part d’énergie déjà bien au dessus de la moyenne, en nous assurant pourtant vouloir partager davantage avec le reste de la planète !
Le critère d’honnêteté (ou de moindre démagogie) et de réalisme, est donc dans ce choix, l’assurance d’être le moins déçu (8), c’est celui du candidat qui a essayé de nous maintenir au plus proche des Réalités !
cordialement,
À votre décision
(5) Deux grandeurs antinomiques qui elles aussi exécutent une danse troublante (grandeurs conjuguées) qui nous contraignent à un choix (du type beurre ou argent !) , à un équilibre entre elles !
(6) On devrait dire l’énergiétisme ! Mais la matière, c’est aussi de l’énergie !
(7) Ceci ne signifie pas, qu’au cours d’un échange, vous devez tout accepter, et si demain sur le marché vous souhaiter acheter des pommes, marchandez ! marchandez, c’est le jeu et c’est même nécessaire au bon fonctionnement du système, mais soyez aussi conscient qu’il existe des limites que vous devez raisonnablement évaluer !
(8) car ceux qui en veulent plus, à moins qu’il ne s’agisse de lucidité ou de sagesse, seront déçus !
Notes
(I) Ce pic de flux par habitant a été atteint aux environs de l’année 1980 (voir par exemple , la troisième révolution industrielle, Jeremy Rifkin p 30) !
(II) Notons que les éoliennes ne peuvent extraire toute l’énergie cinétique de l’air car à la sortie, celui-ci doit bien être évacué et leur fonctionnement donne ainsi une analogie du fait qu’aucun moteur thermique ne peut extraire toute l’énergie du flux de chaleur qui le traverse pour de la source chaude rejoindre la source froide !
(III) et, il est très difficile de conserver ou de mettre ¨l’énergie¨ en ¨ordre¨ , les enseignants le savent bien, qui doivent sans cesse canaliser l’énergie débordante des élèves !
(IV) Observons déjà que la répartition de l’énergie concentrée sur quelques dizaines de milliers de personnes ne modifierait, une fois distribuée, que peu la part d’une centaine de millions d’autres !
(Au fantasme près, la Ferrari et la superbe villa du patron d’une entreprise de 1000 salariés ne procurera à chacun d’eux qu’un boulon et deux ou trois pierres, son salaire de 30.000 € un supplément mensuel de 30€ chacun !).
(V) Si dans une entreprise de 10.000 salariés l’entreprise dégage un bénéfice de 100 € par salarié cela représente une énergie d’un million d’euros qui aurait pu être distribuée aux salariés et sous l’action de 10.000 choix individuels (entropie) être transformée qui en match de foot, qui en gadgets informatiques, qui en CD de Madonna , en sortie restaurant ou autres sorties cinéma et glaces à la vanille, qui en livres de physique … alors que sous la forme globale de 1.000000 d’€ elle va sous l’action d’une seule et unique décision, difficile et délicate, si possible concertée entre gens compétents (a) pour ce genre de choix, être totalement orientée dans une seule direction, une seule réalisation beaucoup plus colossale et donc risquée (d’où l’importance de la qualité du choix, de la compétence et de la motivation des personnes qui le font) mais aussi beaucoup plus utile à l’avenir commun (projet de recherche scientifique ou médical, achat de machines permettant de transformer l’énergie de façon plus efficiente , mise en place d’infrastructures etc. ) !
Je n’ai, pour l’instant, parlé que des bénéfices dégagés par l’entreprise, mais pour des raisons sur lesquelles je reviendrai et que j’ai déjà ici commencé à aborder, la structure de la répartition des richesses dans la société ne peut être ¨ autrement qu’en exponentielle¨ (d) , c’est d’ailleurs celle que réclament, sans en avoir conscience, tous les humains (d), et qui reste la moins inéquitable (b) tout en assurant à chaque échelon une Force de motivation suffisante contre l’attrait de l’autre membre du couple de danseur : le Temps ! Temps que nécessite le travail manuel ou intellectuel, ou la capitalisation de l’énergie sous forme d’organisation et d’information au sein d’un cerveau, temps nécessaire pour déployer cette énergie et ces compétences mais qui s’oppose au temps vital, nécessaire aux échanges d’une vie Humaine équilibrée!
Par conséquent, soyons francs, il n’est pas anormal d’observer une répartition exponentielle des salaires ! Et, au risque de choquer je me dois de rajouter que le billet de dix euros se trouvant dans la poche d’un grand patron où les euros sont pourtant déjà concentrés et nombreux, a par ailleurs plus de valeur que celui qui se trouve dans la mienne ! Rassurez-vous, c’est la même quantité d’énergie ! mais il n’a pas la même valeur économique, car avec ces dix euros il va s’offrir un café dans un hôtel luxueux et ( une partie de) ces dix euros vont atterrir dans la poche du directeur de l’hôtel (poche dans laquelle les euros sont encore concentrés, mais déjà moins !) lequel va grâce à eux, à son tour, s’offrir une soirée Théâtre alimentant ainsi la poche des acteurs puis celle du plombier leur réparant leur baignoire qui à son tour permet à sa femme de ménage de vivre !
Ainsi en retombant d’échelons en échelons, comme l’eau d’une cascade alimentant une turbine, les dix euros auront fait vivre beaucoup de monde ! C’est pourquoi ils ont plus de valeur économique ! car ils sont partis de plus haut, c.à .d. là où ils étaient dantage concentrés !
Pendant ce temps pour boire mon café, finalement fort peu différent du sien, il ne m’en aura coûté qu’un euro ce qui tombe bien car je n’ai que le dixième des revenus de ce grand patron (je simplifie un peu, vous l’avez compris) !
Mais, quelle est la différence entre son café et le mien ? à boire, aucune !
Le sien était plus chaud ! Non, je ne parle pas de la température du liquide mais de la température économique, il était plus chaud car consommé dans un contexte plus luxueux, au milieu de ses semblables et accompagné d’un « je vous en prie, Monsieur » c’est ce qui fait qu’il a consenti à l’acquérir pour dix euros ! Le milieu dans lequel il l’a bu était ¨chaud ¨ (non, je ne pense pas à Zahia, quoique ! ) mais comprenez luxueux c et c’est pourquoi il a plus de valeur économique, car comme de la chaleur retournant vers des sources froides alimente un moteur thermique, les euros descendant les échelons de la société entraînent le moteur économique et permettent à de nombreux salariés d’en vivre.
Finalement qu’a-t-il reçu de plus que moi (sur le plan matériel) ce grand patron ? pas tant que cela, mais par contre, du prestige, une forme d’autorité (je vous en prie Monsieur !) .
L’a-t-il mérité et pourquoi ?
Très probablement ( mais je vous l’accorde il peut y avoir d’autres raisons) car il a perdu du temps et de l’énergie étant jeune (le moment où il est le plus important de ¨profiter de la vie¨) pour, par le travail manuel accumuler du capital, faire des études et accumuler de l’information, en exploitant des qualités qui ne sont pas forcément les plus communes et mû par des goûts peut être peu répandus et donc rares et donc…peu probables … c.à .d. de forte néguentropie !
Pourquoi tenons nous tant à ces marques de prestige, d’autorité ? Je crois que vous connaissez la réponse ! Mais cette explication est d’un autre ressort !
Ainsi, vous l’avez compris, pour ceux qui connaissent la Thermodynamique, cette énergie qui se fragmente commodément jusqu’au centième d’euro, conçue justement pour être échangée, qui se disperse aisément, qui s’écoule des hautes températures vers les plus basses, vous l’avez reconnue…
eh oui ! c’est de la chaleur !
Et, les entreprises là dedans, quel est leur rôle ?
En simplifiant un peu, une de leur fonction est de re-concentrer au moins une partie de cette énergie en euros vers le haut, vers des poches ou des lieux à forte concentration en euros (ou la faire circuler sur des niveaux d’environ même température !) : ce sont des pompes à chaleur qui à l’aide de travail
(et par exemple le travail manuel des ouvriers, mais pas seulement) comme des Shadocks pompent les euros vers des niveaux de température supérieure !
(a) Et pas forcément élus ! mais impliqués par un intérêt réel, non idéologique à l’efficience du choix, car l’élection ne fait pas en ce domaine la compétence ! Et à moins d’un humain de qualité exceptionnelle sinon inouïe, l’intérêt de l’élu ne sera pas celui du choix le plus efficace et donc favorable à l’intérêt commun à long terme, mais à son intérêt particulier matériel (pot de vin, lobbying) ou politicien sur le court terme correspondant à sa réélection (lobbying d’une partie de l’électorat ) ou entaché d’idéologie.
(b) elle n’est d’ailleurs, dans le principe, pas inéquitable, mais elle le paraît ! Même si il peut s’y rajouter des sources d’iniquités mais qui n’ont rien à voir avec le principe qui est lui par nature incontournable !
(c) température économique == luxe = concentration en euros là ou l’objet est trouvé, acheté, consommé !
(d) Nous allons ici montrer sur un exemple, pourquoi la structure de la répartition des salaires ne peut être que d’allure exponentielle (géométrique)
Démonstration de quelque chose qui va vous étonner et ne pas vous faire plaisir et qui montre comment un comportement humain jamais pris en compte dans les modèles de Cité Idéale et que nul ne pourra changer conduit à un résultat qui dans un premier temps vous semblera sinon odieux au moins inacceptable !
C’est parti !
La répartition de la ¨ richesse ¨ du capital ou des salaires ne se fera jamais de manière linéaire !
Une remarque un peu difficile et qui dans un premier temps semble un peu dure dans ses conclusions, mais imparable ! Nous allons donc montrer que :
Les humains en ont une perception logarithmique (ou exponentielle selon le sens de parcours) et il ne pouvait d’ailleurs en être autrement par invariance du comportement humain avec la richesse (ce qui signifie que les humains ne sont pas différents, meilleurs ou pires selon leur richesse) !
Si vous demandez à une femme de ménage gagnant par exemple 1000€ mensuel combien elle estimerait devoir gagner en devenant responsable du service entretien, gérer les dix autres femmes de ménage, s’assurer de la fermeture des locaux, de l’entretien et de l’achat du matériel etc. elle raisonnera en pourcentage et selon sa personnalité et sa culture vous demandera un salaire multiplié par un nombre allant de 1,2 (+20% ) à 2 (+100%) soit dans l’hypothèse basse une augmentation de 200€ !
l’augmentation demandée sera d’ailleurs d’autant plus élevée que sa culture de gauche l’incite à croire que les chefs gagnent beaucoup et ¨sans rien foutre¨ !
Essayez et vous verrez, car moi je l’ai fait !
Si vous proposez à un électricien au salaire mensuel de 2000€ de devenir responsable du service électrique (avec la responsabilité et la nécessité d’être disponible le week-end si problèmes, etc. ) il vous demandera de la même façon une augmentation allant de 20% (x 1,2) à 100% (x 2) !car pour lui l’augmentation de 200€ de la femme de ménage ne fait pas sens !
Si enfin un ingénieur de haut vol à 10 000€ mensuel doit prendre en charge tout le service de conception des freins pour les nouveaux modèles de voitures (avec la responsabilité de devoir être prêt pour la date convenue, la maîtrise des coûts et des ratés de production etc. le travail supplémentaire, et le risque d’une malfaçon engageant sa responsabilité et entraînant le rappel de 10000 voitures pour des raisons de sécurité..) il se moquera bien, lui dont le salaire est déjà suffisant pour assurer les besoins fondamentaux de sa famille des 200€ d’augmentation de la femme de ménage et il souhaitera lui aussi une augmentation allant selon les individus de 20 à 100%.
Conclusion :
à chaque échelon on multiplie le salaire par 1,2 au minimum (plus si c’est une personne de gauche qui fantasme sur les injustices et les chefs qui gagnent beaucoup trop à ne rien foutre !). Dans une grosse entreprise où il y a au minimum trente échelons hiérarchiques cela fait que le salaire du PDG doit être de 1,2 puissance 30 (1,2×1,2×1,2 x….)le salaire du premier échelon ; ce qui fait 237 fois le Salaire minimal !
Voyez comment la théorie (mon modèle !) fonctionne bien car ce sont les ordres de grandeur observés (par exemple salaire de M. Proglio) et qui font tellement réagir les syndicats !
Ce n’est pourtant que le résultat du comportement humain , celui de la femme de ménage comme celui de l’ingénieur !
Localement, dans l’échelle, chacun raisonne de manière linéaire et exige un accroissement de salaire en pourcentage … mais en prenant du recul pour considérer l’échelle dans sa totalité on constate que le salaire croît en exponentielle, ce qui signifie que nous ne sommes sensibles (au moins en ce qui concerne les avantages attachés à notre petite personne) qu’au logarithme de la richesse !
C’est d’ailleurs une loi générale de la physiologie, la loi de Fechner qui énonce que la sensation est proportionnelle au logarithme du stimulus physique, et dans notre cas si d’une part vous observez comment elle se construit et si d’autre part l’étendue de cette échelle des revenus était prise comme mesure de la justice sociale (mais en est-ce une bonne mesure ?) on pourrait en déduire que :
¨ plus de justice sociale¨ nécessite ¨plus de vénalité moyenne ¨ de la part des acteurs, ou tout au moins des décideurs !
C’est la même loi qui régit le fonctionnement de l’amplificateur de votre chaîne Hi-fi dont les fonctions propres sont aussi des exponentielles (réelles ou imaginaires) et qui fait que pour l’étudier on utilise les transformées de Laplace, comportement qui est contraint par les deux seules conditions suivantes :
1 ) la linéarité (un signal double à l’entrée produit un signal double en sortie )
2 ) l’invariance par translation temporelle [en gros votre ampli ne vieillit pas sur la durée d’écoute
d’un CD … ce qui est l’analogue de l’invariance du comportement humain avec la richesse !
(les riches ne sont ni meilleurs ni pires que les pauvres)].
En physiologie, c’est cette loi de Fechner qui fait que votre œil peut détecter dans la nuit une cigarette rougeoyante à plusieurs kilomètres, mais supporter aussi les phares de la voiture qui arrive en sens inverse ou la lumière du jour* mais bien sûr quand on vous éclaire avec une lampe de poche vous ne voyez plus la cigarette qui se trouve à coté il vous faut un supplément de flux lumineux d’au moins dix pour cent (par exemple) pour qu’il puisse être détecté et de même quand vous êtes éclairé par les phares (comparez avec ce qui se passait pour les salaires !).
* L’avantage d’un tel fonctionnement obéissant à une telle loi est donc une grande plage de mesure !
C’est cette loi aussi qui fait que votre oreille n’est sensible qu’au logarithme de la puissance sonore et de l’utilisation d’une échelle en décibels !
De la même manière c’est une loi physique (que l’on ne peut changer !) qui fait que les intérêts que vous demande votre banquier croissent selon une loi mathématique en exponentielle , cela résulte et est contraint par deux choses :
1 ) la linéarité (une somme (prêtée ou empruntée) double génère des intérêts double (si c’était moins que le double le banquier préférerait prêter cette somme double à deux emprunteurs différents, si c’était plus, l’emprunteur préférerait répartir l’ emprunt de la somme totale sur deux banquiers différents ).
2 ) l’invariance par translation temporelle (ce qui suppose des conditions économiques constantes se traduisant dans un système honnête par une absence d’inflation ! sinon avec une inflation positive c’est pire !).
Tout cela ne préjuge pas de la valeur du taux qui ne saurait être zéro, car sauf à ses enfants, qui prêterait de l’argent à quelqu’un pour le recevoir dans vingt ans alors qu’il pourrait en profiter maintenant alors que de plus il est jeune ( et donc en profiter plus intensément) et que notre appétit pour la Vie et ses plaisirs nous pousse à tout vouloir et tout de suite !
Seuls les humains peuvent définir la valeur du taux qui devrait être celui qui incite suffisamment de personnes possédant quelques économies à placer sur le marché une somme juste suffisante pour ceux qui souhaitent emprunter afin d’investir ou de brûler la vie par les deux bouts !
En fait les intérêts devraient même croître plus vite qu’en exponentielle ! Pourquoi ?
car pour les humains les lois ne sont pas invariantes par translation temporelle vu qu’au bout de 80 à 100 ans on finit, c’est prouvé, par mourir ! (mais ne le répétons pas aux banquiers !)
Bref, si la courbe de répartition des salaires vous hante prenez en le logarithme et appelons :
revenu , le logarithme du salaire : r = Log (salaire/RSA) ,
et Richesse, le logarithme du capital : R = Log (Capital/ capital unité ) ; capital unité sur lequel il y aurait beaucoup à dire !
En bref mesurons le stimulus en Eurobel ou en Dollarbell, Dirhambell ou en Joulebell !
Ceci ne veut pas dire qu’il faut accepter n’importe quoi, et qu’il n’existe pas d’injustice mais ce qui est injuste (et inefficient) c’est que quelqu’un se retrouve à un poste ne correspondant pas à ses compétences et ses efforts (emploi semi fictif) , ou à un emploi fictif, ou rémunéré d’un salaire surévalué même dans l’échelle linéarisée ; ou, dans l’autre sens à un poste inférieur à ses capacités !
Comme on peut le voir cette répartition permet de motiver à chaque niveau les humains à s’investir dans leurs fonctions et ce, quelque soit l’échelon ; de créer une Force de motivation pour attirer la personne concernée vers l’échelon supérieur plus exigeant en temps, en énergie, en capacités (c à .d. en temps et énergie investis pour les acquérir !) force croissante avec le gradient de revenu
( revenu = potentiel de motivation), qui lui reste constant sur toute l’échelle !
Il y aurait encore beaucoup à dire* sur l’efficacité de cette distribution qui, assure un apport suffisant d’énergie à chaque échelon, mais permet, au sommet, d’obtenir des concentrations élevées d’énergie (tout comme l’œil pouvait supporter de lumières intenses) ; concentrations qui sont le fer de lance de la progression Humaine et qui permettent à l’humanité d’atteindre à chaque instant le meilleur de ses potentialités et de consacrer au mieux toutes ses capacités disponibles pour acquérir de nouvelles connaissances, développer de nouvelles techniques, bâtir de nouvelles infrastructures pour le bien commun, bref donner source au Progrès, ce qui n’aurait jamais été possible avec une répartition linéaire ou constante !
* Mais on s’arrêtera lÃ
Merci !
Claude Sponem
Voici une video que vous pouvez voir avant, pendant ou après la lecture de ce texte en supposant que vous ayez été suffisamment courageux pour me supporter jusqu’ici !
http://videos.senat.fr/video/videos/2012/video12508.html