Pourquoi « extrême-droite » ne veut rien dire ? L’extrémisme est un anti-concept ; la catégorie n’a pas de définition claire ; l’usage du terme est relatif aux pays et aux tendances politiques ; le terme est un instrument de propagande socialiste.
1. l’extrémisme est un anti-concept
En général, le terme d’extrémisme prend deux sens différents, tous deux anti-conceptuels.
a) Ceux qui cherchent à imposer leurs valeurs par la force:
L' »extrémisme » ne signifie rien et ne peut rien signifier :
– les groupes qui cherchent à imposer leurs valeurs par la force ne sont pas « extrémistes », ils sont POLITIQUES, par définition de la politique.
– Et les groupes politiques qui cherchent à imposer d’autres normes que la non-agression ne sont pas non plus « extrémistes », ils sont ÉTATISTES c’est-à -dire esclavagistes, schizophrènes, anti-moraux et criminels, par définition de l’étatisme.
Ni la « droite », ni la « gauche » actuelles ne représentent plus des valeurs déterminées, encore moins justifiées. La qualification d' »extrémisme » est purement anti-conceptuelle, c’est une malhonnêteté inventée par les communistes.
La gauche actuelle en est arrivée à appeler « d’extrême-droite » toutes les valeurs qui dominaient la société avant l’imposition de l’anomie pseudo-démocratique et socialiste, et qui disparaissent progressivement sous son influence. si c’était le cas, alors la France d’avant mai 68 était majoritairement « d’extrême-droite »
François Guillaumat
b) Ceux qui poussent une idée jusqu’au bout. Ce terme est donc toujours relatif à l’idée qui est poussée jusqu’au bout, et ne peut pas avoir un sens en soi. Mais dans ce cas là ils ne sont pas plus extrémistes, mais tout simplement soit plus cohérents (par exemple les anarcho-capitalistes par rapport aux minarchistes), soit plus cohérents et en même temps plus criminels (les communistes par rapport aux socialistes.)
Les termes de gauche-droite, à la base, viennent des positions des partis au parlement, et donc sont toujours liés à un pays, et donc ne sont pas du tout pertinents pour décrire des idéologies politiques, indépendantes du contexte.
Lorssqu’il s’agit de partis qui ne sont même pas représentés au parlement, tels que FN/MNR+LO/LCR, cette terminologie a encore moins de sens. Si ce n’est que, par extension, le terme « gauche » est associé aux idées propres au parti siégeant à la gauche du parlement, et le terme « droite » aux idees propres au parti siégeant à la droite du parlement. Dans ce sens-là , parler d’extrême-droite impliquerait « les idées de la droite, en plus extrême » et parler d’extrême-gauche « les idées de la gauche, en plus extrême ». Dire que Le Pen c’est Chirac en plus extrême ne veut strictement rien dire, il ne s’agit pas ici des mêmes idées de base en plus cohérent, mais d’idées différentes, tout simplement. Dire qu’Arlette c’est Jospin en plus extrême donne déjà plus de sens, mais il serait plus exact de dire : en plus cohérent, en plus criminel.
2. quelles caractéristiques claires ?
Quelles peuvent donc bien être les caractéristiques communes de « l’extrême-droite » ?
a) L’antisémitisme? L’antisémitisme sous couvert d’anti-sionisme est aujourd’hui partagé par bon nombre de gauchistes et d’islamistes.
b) Le nationalisme ? Partagé par certaines gauches, par exemple Chevènement, et non partagé par tous les mouvements classés par la gauche à l’extrême-droite. Certains sont nationalistes, tels Le Pen, d’autres plutôt pan-nationalistes ou identitaires.
c) L’autoritarisme ? Partagé par certaines gauches.
d) Le totalitarisme ? Plus propre à caractériser les communistes.
e) Le racisme ? La gauche n’a souvent rien contre le racisme anti-blanc, ni contre la « discrimination positive ». Sarkozy propose le racisme institutionnel pro-arabe.
f) La xénophobie ? Le critère même n’a pas de contenu clair non plus, s’il s’agit d’une opposition à l’ouverture totale, immédiate et sans condition des frontières, elle est largement partagée par une large partie du spectre politique. S’il s’agit au contraire d’une opposition à toute immigration, elle n’est pas partagée par toute « l’extrême-droite ». Les identitaires par exemple font la distinction entre immigration européenne et extra-européenne, distinction que l’UE en général et même la Suisse fait également.
g) Le nazisme ? Et « l’extrême-droite » israélienne ?
h) L’imposition des idées par la force ? Propre à la politique.
i) La violence directe? Ne caractérise pas forcément tous les mouvements nationalistes, et caractérise aussi certaines gauches.
Et les autres catégories géographico-politiques ?
Certaines des critiques pour le terme « extrême-droite » s’appliquent également pour gauche, droite et extrême-gauche. A la différence près que ces trois termes sont en général assumés par ceux qu’ils désignent d’une part, et qu’il y a une certaine cohérence entre les divers mouvements de gauche d’autre part: par exemple, l’opposition au capitalisme, à la mondialisation, à la guerre. Le rejet de certaines préférences telles que l’homophobie ou le racisme, ainsi que des valeurs traditionnelles telles que la famille, partagé par les communistes, les socialistes et les anarcho-communistes. Et il y a bien une certaine linéarité: ceux qui se considèrent comme d’extrême-gauche sont effectivement plus opposés au capitalisme et plus « anti-racistes » que ceux qui se considèrent de centre-gauche. Ces termes ont en général un sens plus compréhensible et mieux défini. Ces points ne sont pas spécifiques à la gauche, certains peuvent être partagés par la droite, mais ne sont pas partagés par toute la droite, alors que toute la gauche est d’accord là -dessus.
3. le problème de la relativité du terme
Le problème est double: d’une part, comme nous l’avons vu, ces termes sont liés à la représentation des partis au parlement, et donc sont liés à des situations locales. D’autre part, même au sein d’un même pays, le terme d’extrême-droite a une signification qui varie selon la tendance politique de celui qui l’utilise. Le fait est que ce terme est utilisé systématiquement par la gauche et les médias de gauche et les pseudo-intellectuels de gauche, peu par la droite, et rarement si ce n’est jamais par ceux qu’il est censé désigner.
exemple 1: USA/France
Chirac est de droite, W. Bush est de droite, on est bien avancés. Aux USA, Chirac serait à la gauche des démocrates, et donc serait « de gauche ». Le parti démocrate est de gauche, par définition, puisqu’il siège à la gauche du parlement US. Les républicains sont de droite, par définition, puisqu’ils siègent à la droite du parlement US.
Si l’on compare avec la France, l’UMP (droite du parlement) serait plus proche de la gauche américaine que des républicains, et les républicains seraient plus proches du FN (pro-peine-de-mort, anti-avortement, patriotes, traditionalistes, etc…) que de l’UMP. Et d’ailleurs, en Europe, W. Bush est souvent qualifié d’extrême-droite par les alter-mondialistes et autres communistes, ce qui a du sens du point de vue européen, dans la mesure ou SI Bush était un député européeen il serait très à droite au parlement, mais n’a pas de sens du point de vue international.
Si quelqu’un prétend utiliser les termes de gauche-droite dans un cadre international, il aura le choix entre:
a) Une approche relative à chaque pays: il se retrouvera donc avec une même dénomination pour des mouvements qui n’ont pas grand chose en commun (par exemple, l’UMP français et les républicains US)
b) Une approche spécifique à un certain pays, par rapport à laquelle il jauge le reste du monde. Par exemple, on se place du point de vue de la France, le PS à gauche, l’UMP à droite, le FN à l’extrême-droite. Et donc dans ce cas là on devrait classer par exemple les républicains US à l’extrême-droite, les démocrates US à droite, et les nazis américains, puisqu’il ya là -bas de vrais mouvements nazis qui ne sont pas interdits, ben euh, il faudra créer une nouvelle terminologie du genre extrême-extrême-droite ». D’ailleurs j’avais déjà vu apparaître ce genre de termes ridicules, « extrême-droite dure » en l’occurence, pour désigner feu Unité Radicale.
En genéral, plus on se déplace à gauche, plus ceux compris sous extrême-droite se déplacent a gauche aussi. Ainsi, pour le PS par exemple, Le Pen est d’extrême-droite. Chirac par contre, ah non non, c’est le sauveur de la république. Par contre, si on se déplace encore plus à gauche, on va dire chez les révolutionnaires communistes, eh bien, pour eux, Le Pen est d’extrême-droite ET Chirac est d’extrême-droite. Le terme est utilisé ardemment par la gauche, et avec des différences de sens, modérément utilisé par la droite socio-démocrate, et pas du tout utilisé par le reste de la droite. Quant aux 20% d’électeurs du FN, je ne crois pas qu’ils se considèrent d’extrême-droite. Comme pour néo-libéral, on se retrouve donc avec une appellation revendiquée par personne: ni les nationalistes, pensez à Le Pen et son « ni droite ni gauche », et dans la mesure où effectivement une partie de son programme est conservatrice et une autre socialiste, il ne correspond ni à la droite-UMP ni à la gauche-PS, ni à la droite-UMP en plus extrême, ni à la gauche-PS en plus extrême, ni les « identitaires », qui considèrent que droite=capitalisme-bourgeois-libéral, or justement ils sont contre le capitalisme, le libéralisme et la mondialisation ! Donc ils rejettent l’appellation d’extrême-droite aussi, et effectivement leurs idées ne correspondent pas à celles de la droite-UMP en plus extrême.
exemple 2: Israel
a) En Europe beaucoup de gens considèrent Ariel Sharon comme étant « d’extrême-droite », or je ne crois pas qu’il soit qualifié ainsi en Israël, où le terme désigne plutôt les partis à la droite du Likoud, les ultra-orthodoxes juifs et les « sionistes-nationalistes » qui sont pour l’expulsion des palestiniens/arabes/musulmans d’Israël (à ce sujet voir le post-scriptum de cet article).
b) Si l’antisémitisme est souvent considéré comme une caractéristique essentielle de l’extrême-droite en Europe, ça peut difficilement être le cas en Israel.
exemple 3: Suisse
Comment est désignée l’UDC dont le nom veut dire « Union Démocratique du Centre », et qui, en gros, a des courants nationaux-conservateurs, conservateurs et libéraux-conservateurs, et qui globalement est un parti conservateur ?
– La droite (UDC + Parti « libéral » + aile droite du PRD) considère tout simplement l’UDC comme « de droite ». Une bonne partie des électeurs de l’UDC se considèrent même « de centre ».
– Le centre (aile centre du PRD et du PDC) parle de droite dure.
– Les médias officiels et vaguement-centristes parlent de droite dure (ce qui fait quand même la majorité des médias)
– La gauche (PS, aile gauche du PDC, aile gauche du PRD) parle de nationaliste, populiste, certains cas isolés parlant de « fasciste », et parfois d’extrême-droite.
– « L’extrême-gauche » (i.e., les altermondialistes, les médias gauchistes, les communistes) parle d’extrême-droite / nazis / fascistes.
Nous voyons donc bien que le terme n’est pas universel, qu’il est toujours relatif à un pays d’une part, et à la tendance politique de celui qui s’exprime d’autre part.
4. pourquoi utiliser des termes qui sont des instruments de propagande socialiste ?
Les socialo-étatistes mettent sous extrême-droite tout et son contraire: l’autoritarisme comme le libéralisme, le capitalisme comme l’anti-capitalisme, le libre-échange comme le protectionnisme, les nazis comme les sionistes, etc.
En fait, quiconque s’oppose au socialo-étatisme, au système en place, et à l’idéologie anti-raciste, multiculturelle et tiers-mondiste, quiconque en dénonce les dérives, les contradictions et les conséquences catastrophiques, est considéré comme un extrémiste par les étatistes . La stratégie de la gauche consiste à adopter un terme anti-conceptuel, lui donner une définition vague et ensuite s’en servir comme instrument de combat contre leurs ennemis:
a) En faisant des associations fallacieuses de concepts qui n’ont aucun rapport entre eux, voire sont antinomiques:
étape 1: nazis = pas bien = extrême-droite
étape 2: nationalistes = extrême-droite
étape 3: extrême-droite = nazis -> nationalistes = nazis.
étape 4: nationalistes = conservateurs -> conservateurs = nationalistes
étape 5: nationalistes = extrême-droite = nazis -> conservateurs = nationalistes = extrême-droite = nazis
étape 6: nationalistes = non-tiers-mondistes et anti-discrimination-positive et anti-islamisme. nationalistes = extrême-droite = nazis -> non-tiers-mondistes et anti-discrimination-positive et anti-islamisme = nazis
étape 7: libéraux = non-tiers-mondistes et anti-discrimination-positive et anti-islamisme -> libéraux = nazis. Ariel Sharon = anti-islamisme -> Ariel Sharon = nazi.
b) En élargissant progressivement le sens de « extrême-droite » pour y associer et décrédibiliser le plus possible de leurs ennemis :
C’est connu depuis Staline et ça s’appelle la « technique du salami » : on détache progressivement de la droite des petits morceaux en les traitant de « fascistes », et eux seuls – et le reste de la droite, par bêtise ou par lâcheté, ne les défend pas contre ces mensonges jusqu’au jour où elle ne peut plus former de coalition majoritaire, parce qu’au lieu de la défendre, elle a participé elle-même à fabriquer une « extrême-droite » réputée « fâchiste » et infréquentable – et où, par isolement et abandon des gens normaux, la concentration des excités et des cinglés est devenue telle qu’elle finit par ratifier les diffamations organisées contre elle.
Bien entendu, ça ne marche que dans ce sens-là : seule la gauche est assez malhonnête et assez organisée pour nuire pour imposer une imposture aussi manifeste.
Que Madelin cherche à y échapper ne prouve qu’une chose : c’est qu’il espère que le couteau qui découpe le salami l’épargnera pour le moment. Mais l’expression d' »ultra »-libéralisme est déjà une tentative sournoise pour infliger aux libéraux un traitement équivalent à celui des « extrémistes », tout en ayant l’hypocrisie de ne pas les étiqueter ouvertement comme tels : ce n’est qu’un degré de plus dans la malhonnêteté, et qui peut jurer que ça ne marche pas ?
François Guillaumat
Le couteau est déjà arrivé près de nous: le MRAP parle d’« extrême-droite libertarienne » dans un de ses « rapports ». (mon commentaire)
5. pourquoi utiliser des notions douteuses plutôt que des termes claires ?
Pourquoi utiliser des termes imprécis comme extrême-droite, alors que des termes précis tels que nationalistes, identitaires, néo-nazis, etc. existent pour qualifier les différents mouvements regroupés à tort sous un même terme ?
Bien sûr, souvent ce que quelqu’un veut dire par « extrême-droite » est compréhensible. Est-ce correct pour autant ? Si j’écris keskisspass, tout le monde comprend, est-ce pour autant la bonne orthographe ? Si je dis néo-libéral ou ultra-libéral, c’est aussi compris par tous, sauf que personne ne sait exactement qui ça désigne, puisque personne ne se considère comme tel. Raffarin est-il ultra-libéral ? La mondialisation est-elle néo-libérale ?
Pourquoi utiliser des notions douteuses, si ce n’est pour se rendre complice de la propagande de la gauche ? Pourquoi ne pas plutôt utiliser des termes clairs et précis ?
les commentaires du MRAP dans le .pdf vers lequel vous avez mis un lien, on comprend combien que le rédacteur aime à faire l’amalgame pour mieux jetter la fatwa (tout ce qui n’est pas badgé MRAP est forcément fasciste). Procédé classique qui n’apporte rien, sinon à confirmer ce que le MRAP est et pense: un mouvement téléguidé par une certaine gauche, liberticide, anti-capitaliste, tiers-mondiste (même pas pour défendre et construire, mais pour réclamer et spolier), raciste (par discrimination soit-disant positive, mais donc fatalement négative pour la « race »/catégorie qu’elle ne défend pas) totalitariste, adepte de la censure de toute idée ne corespondant pas à son cadre idéologique.
En fait, on se rend compte finalement du vide idéologique de cette association qui ne cesse de se définir que par opposition à d’autres, mais jamais par production d’idées et édification d’un système/d’une théorie. C’est une bête et méchante censure qui se drappe dans les beaux sentiments qu’on n’a même plus envie de lui prêter.
Beurk
Autre concept que celui de « non agression » – qui fait procède de la pensée et de l’action humaines – à opposer à l’anti-concept de l' »extrémisme », celui de « vol légal » – qui procède des règles de droit -.
Le vol légal est commis en permanence par ceux qui parlent d’extrémisme, comme s’ils voulaient se « dédouaner », et qui n’hésitent pas à aller jusqu’à ce que je dénommerai l' »abus de vols légaux ».
Rappelez-vous Nietsche : il y a une grandeur dans le mal qui est aussi difficile à atteindre que la grandeur dans le bien. Avec eux, nous y sommes.
A l' »abus de biens sociaux » et ce qui en découle, qu’ils se font forts de réprimer!, je juxtaposerai l' »abus de vols légaux » et le « recel d’abus de vols légaux » où ils végètent.
Pour preuve de « recels d’abus de vols légaux », quelques unes des 585 subventions votées par le Conseil de Paris cette semaine, pour un montant total de plus de 20 millions d¹euros volés aux Parisiens.
SOS Racisme : 40 000 Euros
UNEF : 30 000 Euros
Ligue des Droits de l¹Homme : 110 000 Euros
Droits devant : 10 000 Euros
ProChoix : 9 500 Euros
Union départementale CFTC : 112 026 Euros + 16 100 Euros
Union départementale CFDT : 412 872 Euros
Union départementale des Syndicats CGT-Force Ouvrière : 90 403 Euros
Mag Jeunes Gais : 15 000 Euros
Centre Lesbien, Gai, Bi et Trans de Paris : 100 000 Euros
Fédération sportive Gaie et Lesbienne : 4 000 Euros
Debout Etudiants Gays et Lesbiennes : 3 000 Euros.
Source : bulletin Internet de La Droite Libre.
Ces chiffres sont à ajouter en particulier aux chiffres qu’on a pu donner à propos du Forum social européen qui s’est tenu en décembre à Paris et dans la région parisienne.
Quoi de mieux que d’étiqueterles opposants à sa guise et selon ses idées et ne laisser que les miettes du parti central comme seules sources d’information pour mieux téléguider le vote de tout un peuple ? La stigmatisation politique est la bien la meilleure propagande qui soit puisque après quelques années, la population y adhère consciemment et sans se rendre compte de la manipulation subie ! La « servitude volontaire » est le résultat concluant des méthodes étatiques de désinformation. Si Etienne de la Boetie était encore de ce monde, il aurait fort à faire ! Notamment avec l’éducation nationale.
En essayant de discréditer tous ses adversaires,la gauche ne parvient qu’à démontrer qu’elle n’a définitivement plus aucun projet ni idéal de progrès.Elle se contente de refuser tout ce qui est nouveau et qui la remplit de peur.Désormais,les libéraux représentent le progrès,comme fin XVIIIème-début XIXème siècle.Les marxistes ont durant un siècle et demi réussi à faire croire que la mise en commun qui durait depuis la préhistoire était un progrès. Depuis la chûte du mur de Berlin,ils apparaîssent pour ce qu’ils sont.Ecologistes,islamistes,anti-mondialistes –> même combat.
La Berlue a changé de nom.
Il est vrai que son ancien patronyme devient de plus en plus difficile à porter…
Moi qui suis catalogué comme gauchiste, ici, je vais donc rappeler que je suis :
anti-islamistes
anti-écologistes
et pro-mondialiste.
Alors remballe tes sottises et arrête de simplifier STP.
« Il est vrai que son ancien patronyme devient de plus en plus difficile à porter… »
???
« Moi qui suis catalbla bla bla bla… »
Mais je ne te qualifie pas de gauchiste(qui dans mon langage signifie réactionnaire,eh oui),alors arrêtes la paranoïa STP.
A part ça,j’ai lu un article sur le forum des 4 vérités dont on pourra admirer l’hallucinante conn****.Si quelqu’un veut s’amuser à répondre au comique qui a écrit ça,il peut,mais je ne suis pas sûr que ça ne sois pas du temps perdu.
http://www.les4verites.com/phorum/read.php?f=1&i=739&t=739
http://www.allterego.info