« Mise en concurrence de la sécurité sociale, augmentation de la csg pour les personnes agées, récupération sur la succession des dépenses médicales de fin de vie,contribution obligatoire des assurés sur chaque boite de médicaments : exposées dans Le Monde, les idées du PDG de la Société Générale, Daniel Bouton, pour réformer l’assurance maladie suscitent une vaste réprobation. L’UMP parle de « provocation ». »
Source / Les Echos Une véritable provocation en effet! Pourquoi modifier un système qui fonctionne aussi bien que l’assurance maladie? Il est vrai que le déficit du régime est peu significatif : à peine quelques milliards d’euros. Pas de quoi s’affoler!
Apparemment, les syndicats et les hommes politiques sont d’accord, le trou ne doit être bouché ni par une augmentation des recettes (en particulier pour les personnes qui consomment le plus), ni par une baisse des dépenses (qualité des soins qu’on ne peut rationner). Toute privatisation est bien sûr exclue au nom de l’égalité devant les soins.
Examinons donc les absurdes propositions de Daniel Bouton : cette véritable provovation. « Mise en concurrence de la sécurité sociale » : Cela voudrait dire qu’on pourait trouver des organismes plus efficaces et ceux dans le privé? Cela semble impossible étant donné la qualité du service public qui permet à chacun un accès à des soins de qualités. De plus, cela semble être une première étape vers une privatisation du système qui entrainerait certes une réduction des dépenses mais au prix d’une inégalité d’accès aux soins ce qui est bien sûr inconcevable par tous : chacun paierait pour ses risques propres : invraisemblable! Et la solidarité?
« Augmentation de la CSG pour les personnes agées » : on croît rêver : pourquoi les personnes agées paieraient elles plus parce qu »elle consomme plus : aucune logique, quid de la solidarité intergénérationelle.
« Récupération sur la succession des frais de dépenses médicales de fin de vie » : devrait on payer pour des soins gratuits et dus alors qu’on en a les moyens? C’est bien sûr à la collectivité de supporter ce coût et à la solidarité nationale.
« Contribution obligatoire des assurés sur chaque boite de médicaments » non remboursable : responsabiliser les assurés? Et pourquoi pas les medecins? Est-ce une solution pour baisser les dépenses. Non bien sûr les soins doivent rester gratuits, l’existance des mutuelles est déjà un pis-aller.
On le voit ces propostions de sont que des provocations de la part des patrons visant à exploiter les pauvres salariés et non aucune rationalité. D’ailleurs pourquoi réduire le déficit de la sécu? Il n’y a qu’à prendre l’argent aux entreprises et aux patrons non?
Responsabilisation, utilisateur/payeur , différentiation, concurrence pour rationalisation : ça ne marchera jamais! Enfin, c’est ce qu’ils disaient…
Je suis évidemment en accord avec le ton général de l’article,
cela dit, pour information, Claude Reichman, en qui on peut faire
confiance concernant les questions de « Sécurité Sociale », vient de
déclarer dans son émission de Radio-Courtoisie que le texte de
Daniel Bouton était grosso modo du bidonnage de technocrate…
Par ailleurs voir
http://www.claudereichman.com/articles/Article%20Parisien0001.
pdf
Notez que Bouton (ex-bureaucrate) ne parle pas de privatisation…
Alors que le monopole de la Sécu est aboli, en Droit (voir le site de Claude Reichman).
L’empereur est nu, mais personne n’ose le dire.
Qui a dit ceci :
« Mais que sera devenue la moralité de l’institution
quand sa caisse sera alimentée par l’impôt ; quand nul,
si ce n’est quelque bureaucrate, n’aura intérêt à défendre le fonds commun ; quand chacun, au lieu de se faire un devoir de prévenir les abus, se fera un plaisir de les favoriser ; quand aura cessé toute surveillance mutuelle et que feindre une maladie ne sera autre chose que de jouer un bon tour au gouvernement ?
(…)
« L’État se verra contraint de demander sans cesse
des subventions au budget. LÃ , rencontrant l’opposition
des commissions de finances, il se trouvera engagé
dans des difficultés inextricables. Les abus iront toujours croissant, et on en reculera le redressement d’année en année, comme c’est l’usage, jusqu’à ce que vienne le jour d’une explosion. »
C’est Frédéric Bastiat (1801-1850).
Comme quoi le problème (et la veulerie des politicards et bureaucrates) ne date pas d’hier.
J’ai une très intéressante proposition à faire pour essayer de boucher le tristement célèbre « trou de la Sécu » :
Eradiquer le cancer, ce gouffre, ce fléau innommable… pas moins !
J’AI LA SOLUTION…
Si-si c’est vrai, je vous assure… mais continuez plutôt la lecture.
Il y a un moment dans la vie où l’on prend conscience de certaines choses très simples… non par raisonnement, par déduction… non par la simple intelligence, mais par quelque chose de plus fort qui demande plus d’énergie, de concentration et de courage. Quelque chose que l’on appelle la conscience.
La conscience est beaucoup plus puissante que la raison, que le raisonnement.
Raisonner est très facile et à la portée de tous : 2 et 2, 4 ; 4 et 4, 8 ; 8 et 8, 16 ; etc… etc… etc… etc…
On raisonne plus ou moins bien selon que l’on est plus ou moins intelligent, mais cela ne mène pas à grand chose. Depuis que le monde est monde les hommes passent leur temps à raisonner. Certains très habiles arrivent même à prouver que + c’est – ou que – c’est +, que noir c’est blanc, blanc c’est noir, rouge bleu, bleu rouge, que l’on ne peut être sûr de rien et qu’ils peuvent le démontrer etc… etc… etc…
Le raisonnement occupe, mais il ne mène à rien, sinon à produire de grands chercheurs qui cherchent, de grands savants qui savent ou de grands réalisateurs qui réalisent, ce qui, en l’occurrence est très bien.
Mais le plus important, la base de tout est depuis toujours la prise de conscience.
La prise de conscience, sans réfléchir, comme ca, Paff!
Le silex et l’étincelle… Paff!
L’arc et la flèche… Paff!
La roue… Paff!
La terre est ronde… Paff!
L’attraction … Paff!
Le poids de l’air… Paff!
La force de la vapeur… Paff!
La maladie et la bactérie… Paff!
Le virus est un spermatozoide de bactérie… Paff !
J’ai réalisé ce dernier « Paff ! » en 1981.
On en a tous un peu de « génie », sauf les savants bien entendu, ou du moins 99% d’entre eux.
Depuis plusieurs mois, je recommence à diffuser auprès de grands spécialistes la prise de conscience que j’ai faite en 1981: « les virus sont des spermatozoides de bactéries »
Ce qui est d’une évidence sidérale… Je n’ai jamais eu aucune réponse. Pas l’ombre d’une.
Pourtant cette constatation ouvre le champ à d’incroyables possibilités de prévention ou de guérison totale.
Mais voilà il y a un hic : cette petite évidence révélée bouleverse les bases, toutes les bases de la Bactériologie et de la Virologie.
Donc « patouch ! ». Messieurs les savants ne veulent personne dans leur pré- carré.
Et puis… jeter aux orties des décennies de doctes travaux, unique raison de vivre de milliers de savants depuis près d’un siècle… vous n’y pensez pas !
La théorie que je leur envoie est courte, simple, accessible à tous.
Si-si, à tous… je n’ai personnellement aucun diplôme particulier, sinon le Bac.
Lisez-là et vous comprendrez tout.
Tout sauf une chose : pourquoi les savants sont-ils passés et passent-ils encore à côté d’une telle évidence, et pourquoi continuent-ils à fermer les yeux.
Au risque de passer pour un mégalo-parano, si ce n’est déjà fait, je crois que, dans le cas du cancer, on peut parler sans risquer de trop se tromper de « LA GRANDE BÊTISE DES SAVANTS ».
Voici donc la théorie :
Les gesticulations tous azimuts de nos chers savants ne seraient-elles qu’une farce cruelle. C’est bien possible.
J’ai découvert en 1981 quelque chose de particulièrement intéressant, très intéressant même et qui aurait dû interpeller le monde scientifique et médical… « ça y est, encore un mégalo ! » vous dites-vous…
Non-non, je crois réellement avoir fait une trouvaille qui aurait dû interpeller… au lieu de cela… RIEN, ab-so-lu-ment rien, le mépris, l’ignorance totale… comme si j’étais un de ces nombreux « fadas » parano-mégalo, en manque de notoriété… peut-être, mais je ne crois pas…
J’en ai parlé à quelques docteurs quand l’occasion s’en présentait, mais je n’ai jamais eu en retour qu’une oreille distraite, voire agacée, ou de vagues sourires condescendants et navrés, très condescendants et très navrés, invariablement accompagnés de quelques mots du genre: « Vous pensez bien … depuis le temps qu’on cherche… etc… etc… »
Honte à moi qui avait osé m’attaquer à ce sujet… tabou, pré-carré de quelques crânes bien remplis. C’était quasiment un crime de lèse majesté…
On allait se gausser doucement dans les labos… vous pensez bien…
Une fois de plus, je me rendais compte que les gens savants manquent souvent d’originalité, de fantaisie, d’astuce, d’ingéniosité, d’audace, voire de courage… pas toujours, mais souvent… et pourtant ils sont loin d’être bêtes… du moins je veux le croire… mais revenons un peu en arrière.
1981 : 5 personnes autour de moi, dont une très proche et que je considérais comme mon père spirituel, sont emportées par le cancer. Je suis révolté, hors de moi et décide d’en finir une fois pour toutes avec cette « saloperie ». Très présomptueux tout ça, mais qui sait ?!
Du moins ça partait d’un bon fond.
Pendant 6 mois je vais m’instruire tous azimuts sur le problème et échafauder théorie sur théorie, les unes plus loufoques que les autres. Chaque fois je m’en aperçois, et peu à peu… lancinante, une idée se fait jour, qui devient vite une évidence, une terrible évidence, quelque chose d’énorme, de colossal, un tremblement de terre, une bombe atomique : depuis des dizaines et des dizaines d’années, les plus grands cerveaux du monde se trompent. Ils cherchent sur des bases fausses, complètement fausses, to-ta-le-ment fausses… ils ne trouveront JAMAIS, ils ne peuvent pas trouver, aussi intelligents et savants soient-ils.
Mais allez leur faire comprendre ça. Qu’un pauvre type comme moi, d’intelligence moyenne, sans grande connaissance sur le problème vienne leur donner la leçon… non ! Il n’en est pas question…
C’est ainsi que je me suis épuisé pendant un an ou deux à faire circuler ma théorie, toute bête, toute simple et tellement évidente dans le milieu médical, universitaire ou spécialisé… mais c’était par trop prétentieux… quelques secondes de lecture et elle finissait immanquablement au panier.
Je n’ai jamais eu que 3 misérables réponses, aimables, convenues, condescendantes, extrêmement « butées ». Il était tout à fait exclu de remettre en question les bases de la bactériologie et la virologie… et pourtant!!!
J’ai eu la terrible impression qu’on ne m’avait pas compris…
Le raisonnement était pourtant simple… trop atypique peut-être… il bousculait trop de conventions…
Maintenant que j’y repense, c’est évident : ils n’ont rien compris…
Pendant 24 ans, j’ai donc abandonné tout espoir d’être entendu.
Entre temps 24 de mes collègues de travail mouraient du cancer (une moyenne de 1 par an), dont ma propre femme.
Aujourd’hui je me ré-attaque au problème: mais le problème est moins le cancer que l’entêtement des savants.
J’ai depuis compulsé sur internet quelques ouvrages sur la question dont certains extrêmement pointus, touffus, compliqués, frisant l’ésotérisme.
TOUS me confortent dans l’idée que j’ai raison.
Mais allez leur faire comprendre!…
Personne ne m’a jamais dit que je me trompais et si oui, pourquoi je me trompais. Nos chers savants seraient-ils impolis ?!
Jugez plutôt :
Je vous envoie cette fameuse théorie qui n’en même pas une… mais plutôt et tout bêtement la réalité des choses.
Tout est venu un jour d’une prise de conscience :
« Et si toutes les reproductions animales étaient sexuées… »
Cela expliquerait tout !!!…
Mais il faut d’abord faire trois observations basiques.
La première est sur le processus d’investissement de l’ovocyte par le spermatozoïde.
Le spermatozoïde « meurt », oui il meurt… il faut bien regarder la réalité en face et appeler un chat un chat… Il meurt, donc, son enveloppe reste à l’extérieur et son noyau file rejoindre le noyau de l’ovocyte auquel il se fond.
Ensuite de quoi la cellule ovocyte se divise en deux, puis en deux, puis en deux, etc…
La deuxième observation a trait à la reproduction des virus.
Le processus d’investissement de la bactérie ou la cellule par le virus est le même que le processus d’investissement de l’ovocyte par le spermatozoïde.
Là aussi, le virus meurt, son enveloppe reste à l’extérieur et son noyau s’infiltre jusqu’au noyau de la bactérie ou de la cellule, s’y fond et… très vite apparaissent à la surface de la bactérie ou de la cellule, des petits bourgeons, comme des rejets, qui se crèvent en libérant des virus identiques, tout neufs… on dit que le virus s’est fait « répliquer ».
Etrange, très étrange !!!
La troisième observation concerne la reproduction des bactéries… à un moment donné, on ne sait pas pourquoi, elles décident qu’elles vont se diviser « spontanément », comme ça, avec leurs petits bras musclés. La « génération spontanée » quoi!…
Etrange, très étrange !!!
Une idée jaillit et s’impose d’elle-même :
Et si les virus n’étaient rien d’autres que des « spermatozoïdes » de bactéries, bref des agents fécondants…
Tout se passerait comme si… :
-Chaque bactérie produisait son agent fécondant particulier : un Virus.
-Ce virus ferait se diviser les bactéries de la même race tandis qu’il serait simplement rejeté en « répliques » par les autres bactéries ou les cellules animales.
Intéressant non !
Voilà une idée à creuser…
Il apparaît donc évident que la procréation est « virale ». Cela commencerait par le spermatozoïde et l’ovule et se répèterait sur le même schéma jusqu’à terminer un être complet : les deux cellules issues de la première division produiraient chacune un virus, c’est à dire un agent fécondant, mais fécondant d’une certaine façon… les cellules fécondées se diviseraient donc d’une certaine façon et produiraient elles aussi leurs agents fécondants spécifiques et ainsi de suite…
C’est facile à imaginer mais très difficile à dire, comme toutes les choses trop évidentes…
Vous souriez, mais je pense qu’il n’est pas plus bête de dire que les virus sont des agents fécondants de bactéries que de dire que les bactéries sont de génération spontanée et que les virus sont des parasites : vous avez déjà vu une puce ou une tique mourir pour parasiter… ?!
Mais venons-en au cancer :
Et si certains virus devenaient pour une raison X, fécondants pour certaines cellules… !!!
Il y a du souci à se faire pour les recherches à venir.
Comment nos savants peuvent-ils trouver.
Comment trouver de l’eau en forant partout, sauf au-dessus de la nappe… la nappe étant représentée en l’occurrence par ces quelques mots : les virus sont des agents fécondants de bactéries.
Bien sûr cela paraît très simpliste et prétentieux, mais c’est un pari à tenter.
Voulez-vous miser ? La roue tourne…
Ma femme, ma belle-mère, mon père, mon meilleur ami ainsi que 24 personnes en 24 ans sur mon lieu de travail, sont morts du cancer. Mon frère est actuellement en chimiothérapie.
C’en est trop!
Quand me ferai-je entendre? Mettra-t-on encore 10, 20, 30, 40, 50 ans pour découvrir enfin que j’avais raison!!!!!!!!!!!!!
J’ai une idée de contamination et deux idées de thérapies possibles. Si cela vous intéresse…
Hé oui, rien que ça ! On aura tout vu !…
Puisque vous me le demandez si gentiment, je vous explique…
Donc on part de ce postulat qui s’impose : les virus sont des agents fécondants… et donc tous les virus sont potentiellement oncogènes.
Postulat qui n’est pas plus bête que celui qui consiste à dire que les bactéries sont de génération spontanée et les virus des parasites… RI-DI-CU-LE !
Il va bien falloir que tous ces beaux messieurs l’avalent ça, sinon aucune véritable avancée ne se fera dans le domaine de la bactériologie ou de la virologie, si ce n’est de nouvelles et incroyables trouvailles très savantes, fumeuses et absconnes du genre de celles qui fleurissent sur les sites internets spécialisés… trouvailles qui en emmèneront d’autres et d’autres et d’autres encore plus complexes mais qui ne feront véritablement pas avancer les choses.
Il faut à tout prix qu’ils finissent par accepter cette idée toute simple, « que les virus sont des agents fécondants » et qu’ils sont TOUS cancérigènes… Je respecte leur intelligence, leur savoir, leurs travaux, mais quand même, quand même!!!…
Bref, je continue mon explication: comment un virus peut-il être fécondant pour une cellule ?… sans doute est-ce encore une fois pour une raison très simple : la bactérie mère du virus ressemble étrangement à la cellule de tel ou tel organe. Le noyau du virus, s’infiltre jusqu’au noyau de la cellule et, malin… la trompe.
La cellule ne rejette pas le virus en « répliques ». Elle l’accepte et consent à se diviser, mais elle le fait évidemment de façon bizarroïde… c’est le cancer.
« LE VIRUS EST UN AGENT FECONDANT! » C’est tout. A partir de là tout s’explique.
L’existence même du cancer, prouve que LA PROCREATION EST VIRALE !
Le cancer ne serait-il qu’une procréation manquée ????????????? !!!!!!!!!!!!!
Peut-être !
Bref: Comment se débarrasser de ce virus ?…
Dans un premier temps, il faudrait en découvrir la bactérie mère. Elle peut très bien être hors du corps, et le plus souvent c’est le cas, car si elle était hôte du corps, il y aurait maladie bactérienne et ses virus la choisiraient par prédilection et n’infesteraient pas tel ou tel organe en le cancérisant.
L’affaire n’est pas mince : découvrir la bactérie dont la structure ressemblerait à s’y méprendre à la structure des cellules de tel organe cancérisé.
En fait ces cellules ressembleraient tellement à certaines bactéries que leurs virus, donc les agents fécondants de ces bactéries seraient acceptés par ces cellules les faisant se diviser constamment, anarchiquement et monstrueusement.
Il suffirait alors d’inoculer cette bactérie au sujet, ce qui provoquerait bien sûr une maladie bactérienne… mais maladie salutaire, car la bactérie mère absorberait très vite SES PROPRES virus. En guérissant la maladie bactérienne on guérirait le cancer. Vous allez me dire, « c’est un remède de cheval ». Sans doute, mais je n’ai pas trouvé mieux.
Avez-vous remarqué cette chose étrange… si vous regardez une carte statistique des cancers dans le monde : les populations « pauvres », qui n’ont pas ou très peu accès à l’hygiène, sont très peu touchées par le cancer, tandis que les pays riches, « propres » aseptisés, le sont d’une façon incroyable…
Certains pays, certaines régions, certaines populations (tziganes par exemple) semblent comme « protégées » du cancer par les bactéries qui éliminent quantité de virus en se reproduisant. Dans les pays « civilisés », sans bactéries ou très peu, les virus prolifèrent en quantité astronomique jusqu’à ce que l’un d’entre eux trouve une cellule qui veuille bien l’absorber pour se diviser. Apparemment la rançon d’un monde « sans-bactérie » est le cancer.
Et qu’on ne nous raconte plus que le cancer n’est pas contagieux. C’est absurde. Toutes les maladies sont contagieuses. Simplement certains individus ont plus d’inclination que d’autres à attraper telle ou telle maladie, ils y sont plus sensibles.
Un de mes collègues a enterré sa belle sœur d’un cancer, puis sa propre mère d’un cancer, puis sa femme d’un cancer, puis il s’est remarié à une dame qui venait de perdre son mari d’un cancer, puis lui-même est mort d’un cancer. A son enterrement on apprend que son gendre qui est là vient de se faire opérer pour la troisième fois d’un cancer.
Il y a eu en tout 6 cancers dans le secteur où travaillait ma femme : 2 dans son bureau et 2 dans chacun des bureaux contigus au sien.
Notre chien a un cancer. Nous en avons déjà enterré un suite à un cancer.
Etc… etc…
Souvenez-vous de la tuberculose avant que Koch ne découvre son bacille…
Il ne fallait surtout pas dire que c’était contagieux. Il fallait ânonner docilement ce que les plus grandes sommités médicales du monde serinaient à longueur de temps : il y avait des métiers « à », des régions « à », des familles « à », etc… etc… ce qui n’était pas faux, mais soutenir ou même suggérer que la tuberculose était contagieuse était un signe d’indiscipline manifeste, voire de bêtise… un vrai crime de lèse-majesté… Souvenez-vous !
Peut-être ai-je échafaudé une théorie tout à fait stupide et spécieuse… mais il n’en reste pas moins que le fait que la bactérie se divise d’elle-même, spontanément… cela me paraît aberrant. Pour moi, toutes les reproductions impliquent une sexualité, même si elle nous est encore invisible.
La génération spontanée, je n’y crois pas. Je n’y croirais pas même si j’étais très intelligent et très savant. Je pense que n’y croirais pas… c’est trop « gros »…
J’espère que ces quelques lignes vous auront touché et que vous y répondrez.
Merci et
Bonne journée.