Il semble souvent difficile de réduire les dépenses de l’état. Pourtant certaines sommes pourraient facilement être économisées en appliquant de simples principes de bonne gestion. Exemple :
« Il n’y a pas de petites économies au ministère des affaires étrangères du Danemark. La Chancellerie a annoncé mardi que ses diplomates et employés, y compris les ambassadeurs, ne voyageront plus en classe affaires lors de leurs déplacements professionnels en Europe. Ils devront se contenter de la classe économique ou, mieux encore, attraper un vol sur une compagnie aérienne à bas prix. Les voyages de jour d’une durée de vol de 6 heures maximum en dehors de l’Europe doivent également être entrepris dans les mêmes conditions, souligne également la directive. Avec cette mesure, le ministère compte ainsi économiser environ 6 millions de couronnes danoises par an, soit 807.000 euros ou encore 10% de son budget voyages ».
Et pourquoi pas chez nous?
putain de cookie… enfin bon, restons « jean némar »
pour l’instant.
Ixpsen, rassure toi, tout de même, tous les
fonctionnaires ne sont pas des crétins patentés, il y
en a même qui arrivent à faire des économies (oui,
en France). Tiens, ce matin, on a mis au point la
réorganisation de l’usage des voitures dans ma
petite unité (#40 personnes): environ 6000 euros
d’économie en année pleine (à partir de 2004) soit
20% de notre budget bagnoles. et on va faire pareil
pour d’autres postes de dépenses.
Cà parait peu, mais de nombreuses unités de base
de l’état sont engagés dans une telle démarche de
cumul d’économies de bout de chandelle.
Le problème est que au lieu d’être rendues au
contribuable, ces économies semblent redépensées
à tort et à travers, l’état central redistribuant les
économies des uns dans les gaspillages des autres
! l’état ne sait pas réduire son périmètre, dès qu’une
« queue de crédits dépasse », il redépense sans
compter. qué miséria…
Oui dans le cadre du fonctionnariat en général, non dans le cadre de la diplomatie ou de la représentation.
Cette façon de faire me rappelle quelque film comique (voir Louis Defunes.)
Il est bon pour un ambassadeur de se trouver dans des endroits de même standing que les gens qu’il va rencontrer le soir à un cocktail. Il a des chances de nouer conversation avec des ressortissants du pays dans lequel il se rend. (Quelque peu plus influents et mieux informé des sensibilités de son pays que le touriste qui rentre à la maison classe éco)
D’un point de vue plus humain, ce pauvre bougre risque de se sentir diminué par rapport a des collègues d’autre pays, bénéficiant d’autres moyens. (Essayez. Allez place Vandôme en Renault cinq et tentez de changer 15 dollars en euro a un passant… il appel la police. Recommencez en Lotus…)
Bref, on risque de prendre envers notre ambassadeur (le représentant de nous-mêmes) un ton quelque peu condescendant…pire de le confondre dans le flot de touriste et de l’empêcher de s’approcher de la voiture officielle avancée pour son hôte du soir, qui lui, voyage en classe affaire.
D’une manière plus générale, un ambassadeur véhicule l’image de son pays d’appartenance…
Je sais que la France est pauvre, ce n’est peut être pas judicieux de le revendiquer sur le toit du monde.
« Je sais que la France est pauvre, ce nÂ’est peut être pas judicieux de le revendiquer sur le toit du monde. »
« notre ambassadeur (le représentant de nous-mêmes) »
Voilà un bel exemple, comme tout le message, de manipulation mentale : La « France » c’est quoi?
le « standing de la France » c’est quoi?
C’est moi? En quoi? Comment? J’ai signé un contrat de représentation de moi-même?
Personnellement je ne me sens pas concerné (sauf par la coercition fiscalo-policière qu’ils exercent) par les faits et gestes des hommes de l’Etat. L’ambassadeur de France au Guatémala peut se coller une plume dans le cul en dansant le houla hop, je vois mal en quoi cela atteint mon standing (pourtant je suis français, malheureusement…).
Toute réduction des dépenses publiques est un bien car cela libère au moins d’une partie de l’oppression fiscale.
Toute augmentation de dépense (toujours pour la « grandeur de la France ») est un mal car elle augmente l’oppression.
En fait ce message tend à faire croire que les hommes de l’Etat peuvent être utiles.
Mais je suis bien d’accord, ce n’est pas en les faisant voyager en classe éco qu’on parviendra à réduire leur malfaisance, c’est en s’en débarassant carrément.
On pourrait suivre l’exemple de la nouvelle zélande : suppression de toutes les subventions à l’agriculture, on ferait d’une pierre 2 coups :
– réduction de la charge fiscale des contribuables
– croissance de l’afrique..
Pas besoin de faire compliqué qd on peut faire simple..
Un truc sur les administrations : au lieu de gaspiller les restes de budget (vu à la DDTEFP de Montpellier et à la DDe du vigan) en fin d’année pour les voir reconduire, ils pourraient avoir la décence de rendre cet argent aux con-qui payent !!
« C’est moi? En quoi? Comment? J’ai signé un contrat de représentation de moi-même? »
Nous n’avons rien signé, certes. Mais nous sommes pourtant représenté par des pantin, les actions de nos représentants on une influence directe sur nos possibilités de vie, c’est indéniable… si vous n’y croyez pas allez faire un tour au Texas, contentez vous de parler français.
« Toute réduction des dépenses publiques est un bien car cela libère au moins d’une partie de l’oppression fiscale. »
Certes, j’en conviens, cependant vous n’êtes tout de même pas assez naïf pour croire que d’éventuelles économies nous seraient rendues ? Elles seraient simplement transférées à d’autres portefeuilles d’état, qui bien sûr nous seraient encore moins utiles… (Hasard : logement, solidarité, aide provisoires de tous genres…)
« En fait ce message tend à faire croire que les hommes de l’Etat peuvent être utiles. »
Je pense en effet que les hommes d’états peuvent êtres utiles, même nécessaires.
(Ne serais ce que la nécessité du bourreau, la délégation de la violence…)
Il convient là de redéfinir l’homme d’état. Un représentant du peuple oeuvrant pour le bien commun et s’attelant aux tâches que ses électeurs lui auront déléguées.
Et cela marche très bien tant que la culture harmonise les points de vue. Puisque que c’est la culture qui fait le peuple, le peuple est correctement représenté.
Les problèmes que nous avons aujourd’hui sont issus de divergences culturelles profondes. L’état n’est que le reflet de la majorité.
Nous payons le pris des erreurs du passé.
« si vous n’y croyez pas allez faire un tour au Texas, contentez vous de parler français. »
argument sans fondement logique, donc nul.
« Mais nous sommes pourtant représenté par des pantin, les actions de nos représentants on une influence directe sur nos possibilités de vie, c’est indéniable »
c’est la force policière qui a une influence sur nous, avant de discuter vous feriez mieux de fonder vos concepts, cela vous éviterait de répéter les aneries socialistes nationales ou internationales
« vous n’êtes tout de même pas assez naïf pour croire que d’éventuelles économies nous seraient rendues ? Elles seraient simplement transférées à d’autres portefeuilles d’état, qui bien sûr nous seraient encore moins utiles… (Hasard : logement, solidarité, aide provisoires de tous genres…) »
donc il faut se débarrasser complètement de l’état, cqfd…
« Je pense en effet que les hommes d’états peuvent êtres utiles, même nécessaires. »
j’aimerais bien que vous me démontriez la nécessité de l’existence des hommes de l’état… en l’absence de démonstration vous ne devriez pas dire je « pense » mais je « crois », comme dans « je crois au père noël et au père fouettard »
« Un représentant du peuple oeuvrant pour le bien commun et s’attelant aux tâches que ses électeurs lui auront déléguées. »
mensonges socialistes, illusions perverses : les « représentants du peuple » n’oeuvrent jamais pour le « bien commun » car il est impossible de définir ce « bien commun » (somme des biens individuels) en dehors du fonctionnement libre du marché des échanges volontaires.
« la délégation de la violence »
il n’y pas de délégation de violence, il a monopole de la violence entre les mains des hommes d’une mafia nommée état
« Et cela marche très bien tant que la culture harmonise les points de vue. Puisque que c’est la culture qui fait le peuple, le peuple est correctement représenté.
Les problèmes que nous avons aujourd’hui sont issus de divergences culturelles profondes. L’état n’est que le reflet de la majorité.
Nous payons le pris des erreurs du passé. »
C’est le vieux rêve d’homogénéisation (raciale, sociale, linguistique) qui caractérise TOUS les socialistes (aussi bien nazis que bolcheviques) que vous nous resservez là . Chez les sociaux-démcrates cette homogénéisation prend des formes plus douces (c’est ce que vous appelez les « erreurs du passé ») mais elle subsiste comme but affiché (la pseudo-égalité des conditions, voyez la thèse de François Guillaumat, il aborde ce sujet dans la première partie).
En déclarant « le peuple est correctement représenté (aux conditions que vous avez exposées) » vous supposez vraie la proposition absurde suivante : « il est bon d’être dominée lorsque c’est par quelqu’un de mon clan, ma race, ma classe sociale, etc. ». Or, dire cela c’est rendre légitime la domination, un point c’est tout, car il est toujours possible de trouver un point « commun » (c’est la petite chose qui différencie les socialistes nationaux des socialistes internationaux). Vous vous retrouvez danc toujours avec une légitimation du pouvoir et de l’état (au nom de la classe, de la culture, de la race, etc.)