De Villepin poète plus haut que son cul

Dominique de Villepin est notre ministre des affaires étrangères. Il a donc forcément beaucoup de temps à perdre.

Il va bientôt nous infliger un livre de poésie qui ne fera vraisemblablement d’ombre qu’aux ouvrages insipides des autres pédants imbus de leur personne qui foisonnent dans notre beau milieu cuculturel français archi-subventionné.

Mais il y a encore pire.

J’ai entendu dire que notre poète de ministre risquerait de se retrouver un jour prochain à l’académie française. Parler pour ne rien dire, le tout payé par le contribuable, ça doit-être pour lui une vocation.

Tant qu’à faire, pourquoi ne mettrait-on pas directement Dominique de Villepin au musée de l’homme, sur un grand piédestal (bien sur), avec une belle plaque dorée disant : Homme politique de la fin du deuxième millénaire ( beau parleur, parasite de la société ) ?