Les plans sociaux se multiplient actuellement. Que faudrait-il faire pour que la situation économique en France s’améliore et que cesse l’hémorragie des faillites et des plans sociaux ?
Comme différents plans sociaux se succèdent actuellement, assombrissant ainsi l’avenir d’un certain nombre de français, Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin ont cru bon de monter au créneau et de traiter les dirigeants de ces entreprises de » patrons voyous « .
S’il ne s’était agit pour eux que de dénoncer les fautes dont certaines de ces entreprises ont pu se rendre coupables – la pollution au plomb par METALEUROP par exemple – ils auraient eu parfaitement raison.
Mais Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin ont surtout donné l’impression de jouer à cette occasion les gauchistes de circonstance car, à mots couverts, ce qu’ils semblaient surtout reprocher à ces entreprises, c’est d’avoir osé licencier leurs salariés ou d’être en passe de le faire. Bref, si ça va mal, c’est comme d’habitude la faute des sales patrons !
On ne saura pas si nos deux révolutionnaires lambrissés reprennent aussi à leur compte les discours pathétiques que n’ont pas manqué de tenir à cette occasion un certain nombre de nos vrais gauchistes, vrais démagogues à savoir :
D’abord, que si ces entreprises ont fait faillite, c’est parce qu’elles ont été mal gérées par des dirigeants incompétents. On se demande dans ce cas ce qu’attendent ces » experts » pour racheter ces entreprises, réembaucher l’ensemble du personnel et faire fortune en gérant, correctement cette fois, ces entreprises puisqu’ils s’en prétendent capables.
Ensuite, que les dirigeants de ces entreprises étaient guidés par le profit – faute impardonnable s’il en est. C’est vrai quoi ! Ces dirigeants ne pouvaient-ils pas en effet créer des déficits abyssaux et les faire combler par les pauvres français à l’image de ce que font chaque jour nos grandes entreprises publiques (Le Crédit Lyonnais autrefois, FRANCE TELECOM aujourd’hui, la SNCF chaque année, etc…) ?
Au lieu de s’accoutrer des poncifs gauchistes, Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin pourraient pourtant faire beaucoup pour que de tels plans sociaux n’aient plus lieu et que la sitution économique en France s’améliore.
Pourquoi tant d’entreprises françaises se voient contraintes de fermer leurs portes en effet ?
C’est essentiellement parce que l’Etat obèse que nous avons en France empêche par ses trop lourds impôts un grand nombre d’entreprises d’être économiquement viables. Contrairement à ce qui a été dit dans tous les médias, si ça va mal, ce n’est pas à cause des patrons, c’est à cause de l’Etat et des trop lourdes charges qu’il fait peser sur l’activité économique.
Si l’Etat se réformait de manière à fournir des services meilleurs et moins chers aux citoyens – ce qui selon nous les libéraux est parfaitement possible – il pourrait alors réduire les impôts qui pèsent sur les entreprises. Celles-ci seraient alors beaucoup plus facilement rentables et elles n’auraient donc plus à déposer aussi souvent le bilan qu’aujourd’hui.
Nos gauchistes d’opérette de l’Elysée et de Matignon savent donc maintenant ce qu’il leur reste à faire pour améliorer la situation économique de la France et arrêter l’hémorragie des faillites et des plans sociaux : entreprendre enfin les réformes libérales dont la France a besoin.
Mais en sont-ils seulement capables ?
FEDERATION DES VICTIMES DE LA JUSTICE ET ANNEXES !
(Déclarée au journal officiel le 19 mai 1998 – Association flottante de type horizontal).
Monsieur Robert Baconnier.
Administrateur de Lafarge Ciment.
French Business.
ANSA 39, rue de Prony.
75017 Paris.
St-Varent 11 octobre 2006.
Jacques Goguy.
2, rue du Fief de la Croix.
79330 St-Varent.
Tél 05 49 67 68 03.
E mail jacques.goguy@tiscali.fr.
Objet : vous employer une personne dans votre entreprise au Japon qui est un voyou.
Monsieur le Président du Conseil d’Administration,
Je vous serais obligé de bien vouloir prendre connaissance du dossier ci-joint.
Je trouve inadmissible qu’une entreprise sérieuse engageât un être aussi ignoble aussi méprisable, Eric Goguy en poste au Japon.
Cet indigne individu n’a aucune moralité, pour son profit égoïste c’est fait complice d’individus peu recommandable, pour spolier la fortune de mon père.
J’ai engagé plusieurs procédures contre cet escroc, j’ai même la ferme intention de faire une publicité plus importante concernant cette affaire, qui est sur Internet.
Personne n’accepterait les moyens qui ont été employés pour détourner cet héritage, je vous demande de faire en sorte que ce malfaiteur quitte votre entreprise.
Vous assurant que j’emploierai tous mes efforts pour que soit condamné ce scélérat, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président du Conseil d’Administration, l’expression de mes sentiments respectueux.
Le secrétaire national de la fédération.
Jacques Goguy
patrons-voyous.fr a pour objectif de répertorier les patrons-voyous en France.
C’est à dire ceux qui, sciemment, ne respectent ni le code du travail, ni les
salariés, ni la collectivité, ni les syndicats, ne vénèrent que l’argent, le
pouvoir, qui ont été condamnés au pénal ou au tribunal d’instance pour les
élections professionnelles.
Seront présents sur ce site : Les patrons condamnés de manière définitive,
procédure individuelle ou collective, en correctionnelle, cour d’appel ou cour
de cassation, chambres criminelles, pour notamment : non respect du code du
travail, discrimination, entrave, infraction à l’hygiène, homicide ou blessure
involontaire, mise en danger d’autrui, abus de recours au CDD, atteinte à la
dignité de la personne, annulation d’une élection professionnelle au tort de
l’employeur, etc…
Mon ex-famille Brunet : dis les Thénardier. Quand le crime d’État se mêle au sacrilège, avec la complicité des juges renégats
Mon histoire est vraie, la responsabilité de l’État est mise en cause dans cette affaire d’escroquerie. Cette entreprise est tout bonnement scandaleuse, immorale, indécente indigne d’une République démocratique.
Je suis victime des Thénardier, de la justice mystique et vaporeuse en diable, je lutte contre cette extrême sévérité, froide comme la mort. J’ai cru, pauvre sot ! Que les juges protégeaient les victimes ?
Tout beau ! Je suis mouton, mais je défends ma laine.
Plus les effets sont grands, plus je cherche les causes.
La justice sous son voile épais, ne craint les scandales, sauf, l’homme téméraire qui de raison, contre le vent des passions qui souffle sur la terre, ne saurait entraîner vers les hontes d’ici-bas !
Depuis longtemps, je soupçonnais les Thénardier, mon divorce en 1995, m’a délivré de cet enfer enchaîné.
En 1956, je suis orphelin à 15 ans, ma mère est décédée, elle avait 44 ans, le ciel m’est tombé sur la tête.
Dans mon malheur, j’ai eu la chance d’être hébergé dans une famille d’une très grande charité, des humains, des vrais, des purs, d’authentiques bienfaiteurs, qui m’ont inculqué les vraies valeurs de la vie, mon éducation était axée sur les grands principes, la morale, le respect des autres, l’honnête, les règles de bienséance, des personnes d’une grande vertu chrétienne. Ma reconnaissance est éternelle pour la famille Généchaud d’Airvault.
Étant mineur ; j’étais sous tutelle, mon oncle est tuteur, un homme honnête, mais pas facile à vivre, un ascétique.
Jeune ouvrier peintre, je suis employé dans une entreprise de Thouars.
Puis chez un décorateur Roger Rat, un homme très gentil, je lui demande, s’il connaissait une chambre à louer, il avait fait des travaux de peinture chez les Brunet rue Lafontaine, ces gens avaient une chambre à louer.
Pour mon malheur ! Je suis tombé chez les Thénardier de Thouars, en plus dégoûtants, en plus pervers, en plus ignobles, des crapules, déguisées en bon samaritain. J’étais, jeune, insouciant, mes pas m’avaient conduit chez les Thénardier.
Mon oncle avait dû s’informer de mon bien-être, et dévoiler mes origines allemandes, ainsi la fortune de mon père.
Ce qui avait fait saliver ces monstres, Madame Thénardier était veuve, mère de quatre enfants, deux fils et deux filles, un fils travaillait à la SNCF, une fille était mariée à un cheminot, le plus âgé un traîne-savates alcoolo, allergique au travail, son épouse employée dans une pharmacie thouarsaise, la plus jeune des filles logeaient chez sa mère.
Elle travaillait en usine et se prostituait le soir et les week-ends, une fleur impure qui avait un gamin le fruit de ses débauches effrénées, une garce, au lit c’était une superbe affaire, elle venait toutes les nuits se vautrer dans mon lit, pour une garce c’en était une vraie, la chose était préméditée, me faire épouser la marchande d’amour, qui était de onze ans mon aîné.
Afin de me soumettre ces créatures maléfiques ont élaboré un plan diabolique, me droguer, chose facile la femme du charognard travaillait dans une pharmacie place St-Médard, ces crapules ont pris des risques, j’étais sous tutelle mineure, de temps à autre il testait l’efficacité du produit sur mes capacités à réagir.
J’étais sous dépendance de cette racaille.
J’accuse, l’État de ne pas avoir rempli sa mission, les tutelles n’offrent aucune protection pour les orphelins de père et de mère, l’autorisation de mariage par le conseil de tutelle devait être refusé, pour les raisons suivantes : cette personne beaucoup plus âgée que moi, de plus elle avait un enfant, elle se prostituait, sa mère une voleuse, je n’avais pas effectué mon service militaire.
La responsabilité de l’État est engagée dans ce dossier.
La suite prouve que cette famille était des gens peu recommandables.
L’objectif de ces crapules, voler la fortune de ma famille allemande, l’exploité par Robert Brunet le pernicieux, ces créatures m’avait fait signer sur la partie basse d’une feuille blanche, j’étais bien sous soumission chimique, ensuite ; ils me font vendre la maison de ma mère avec tout son contenu, je n’ai perçu aucun centime de cette vente, j’avais un gros pincement de cœur mêler de honte, je tenais à cette maison qui contenait ma jeunesse, les meubles de ma mère, etc. encore la drogue.
Ma vie avec cette femme ne m’a apporté aucun bonheur, pour cette raison, j’avais une vie extra conjugale. Elle me maintenait sous contrôle avec la drogue fournie par sa belle-sœur, elle se vantait de temps à autre de me manipuler avec ses produits, si cette créature ne m’avait pas conditionné, je ne serais pas resté, j’ai été sur le point de quitter la mégère dans les années 1980, elle avait dû doubler la dose, de temps à autre ma personnalité, mon état d’âme changeait, ma mémoire avait des défaillances.
Je prends ma retraite en 1991, cela contrariait les plans de cette femme de mauvaise vie.
Procédure de divorce en 92, avec obligation de domicile séparé.
Le divorce est prononcé en juillet 95.
Ces malfaiteurs sont plus abominables que les Thénardier, le mot racaille est bien faible pour imager ces montres. Ils m’avaient tout pris même ma maison de Vrines, d’une valeur de 110 millions d’anciens francs idem, pas un centime !
Les Thénardier sont des brigands, des bandits de grand chemin.
Le forfait étant incomplet, voler la fortune de mon père, rien ne retient ces maudits, ils ont payé Guillot pour qu’il me drogue ; conditionné à forte dose par Guillot, Nicolai, Boutet que je côtoyais journellement. Ces malfaiteurs m’ont conduit le 4 mars 1999 chez le notaire Tabourier, j’ai signé un acte de plusieurs pages avec mes initiales, à la dernière, j’ai signé mon nom, inconscient étant fortement annihilé par la drogue, était présent Guillot et Nicolai ces individus m’avaient conduit chez le notaire en me tenant par les épaules, j’étais vraiment mal en point, il y avait le notaire de St-Varent Grellier, j’étais surpris de voir mon ex-beau-frère Brunet, le malotru, réjoui de sa scélératesse naturelle.
Mon aîné qui est en poste au Japon a fait un long séjour en France en 1999.
Ce voyou a utilisé les produits à Guillot pour me faire signer une renonciation d’héritage.
La suite de cette escroquerie un désastre pour la France, de nombreuses usines ont fermés
Je suis très en colère contre cette bande de malfaiteurs, les Thénardier, la drogue m’empêchait de raisonner sainement, je me souviens de mon père, de la dernière fois qu’il est venu à St-Jouin de Marnes, et de ses dernières paroles ‘’tu ne manqueras de rien mon fils’’ quand il était en poste à St-Jouin à ma naissance il voulait me faire tatouer les armoiries de ma famille allemande.
Je me rappel de tout, ce qui augmente ma colère, je pouvais connaître ma grand-mère Élisabeth Müller avant qu’elle ne décède le 3 févier 1971.
Guillot est un voyou, il ne pouvait réaliser cette crapuleuse affaire sans le concours de Suire un individu aussi malhonnête que lui, ces crapules ont soudoyé la justice pour ne pas être inculpé pour leurs crimes.
C’est une affaire d’État, les responsables de ses graves évènements en toute justice doivent être sévèrement punis.
Sans la complicité d’Éric Goguy en poste au Japon, les escrocs me pouvaient réaliser cette spoliation, il mérite une punition exemplaire.
J’ai une sainte horreur des voleurs, de plus, dans ce cas de figure utiliser des drogues pour me soumettre, ces produits ont détruit ma santé, ces maudits ont souillé la mémoire de ma famille, il m’ont déshonoré, volé mon identité ma retraite.
Vous avez dit justice ? La chose, elle est transparente, cela crève les yeux !
C’est un idéal rêvé la justice, des milliers de personnes sont victimes de cette administration criminelle.
Ici dans cette page on se voit comme il faut, le vrai du faux !
Ces juges sont sages pour faire le mal, mais pour ce qui est de faire le bien vraiment ils n’ont pas de connaissance !
Des juges de la transgression, la semence du mensonge, ils ont conçu le malheur, et enfanté le méfait, sans cesse leurs pieds courent vers le mal, ils ont hâte de verser le sang innocent leurs pensées sont des pensées malfaisantes, pillages et effondrements, leurs jugements, ils les ont rendues tortueux.
Une solennelle assemblée de traîtres.
Chez eux ni bonne foi, ni honneur, ce sont des parjures, tous des traîtres, tous des hypocrites.
La honte serait honteuse de siéger sur leurs fronts.
Afin que cesse le pillage des usines, le 10 octobre 2012, j’ai déposé une plainte au parquet de Metz, au doyen des juges d’instruction contre l’infâme Éric Goguy, pour sauver l’usine Arcelor Mittal de Florange et Liège.
Que le juge mette tout en œuvre, afin que cesse la destruction de l’industrie française, que les responsables de cette escroquerie soient condamnés comme il se doit !
Jacques goguy, je prends la responsabilité de mes écrits. Cette affaire, je la mènerais à son terme.
Nous avons les oreilles rassasiée des mensonges de ces politiques bélliqueux.
Association Nationale des Victimes des Erreurs et Dysfonctionnements judiciaires.
Jacques Goguy délégué ANVEDJ 79.
Juriste bénévole contre les administrations criminelles d’État.
2, rue de Fief de la Croix
79 330 St-Varent. Tél. 05 49 67 68 03.
St-Varent, 20 mars 2015
Monsieur le matador du peuple, prince de Matignon
Manuel Valls Premier ministre
Hôtel de Matignon 57, rue de Varenne
75700 Paris.
Une affaire d’État sous haute protection politique.
Lettre en recommandé avec avis de réception..
Monsieur,
Vous devez la vérité aux victimes du génocide industriel français qui a été programmé par des politiques, les syndicats. Mon ex-famille Brunet dite les » Thénardier » c’étaient des novices, à côté de cette famille de vieilles charognes, des lucifériens, la malchance m’a conduit dans cette maison de débauche. Cette racaille ne risque rien, des membres du gouvernement sont impliqués dans ce dossier, ainsi que des magistrats.
Suire, contrôleur général de la police, individu à l’intelligence très ordinaire, d’une basse adulation aux gains prohibés ; à l’oreille la plus propice et la plus condescendante à commettre des actions inavouables, s’est offert au Thénardier en 1999 pour planifier l’extorsion d’un héritage, pas n’importe lequel, la première fortune de France ; Suire a pour joug le besoin. Ce démon hyperbolique entouré de frères s’autorise l’interdit.
Cet individu est un expert : en activité il devait percevoir des dons prohibés, retraité son emploi du temps lui permettait de s’investir dans une affaire considérable ; la destruction de notre industrie : la fortune de mon père étaient placée dans des entreprises françaises.
L’action sanguinaire de ces monstres d’une insoutenable cruauté ; ils ont jeté des milliers d’ouvriers à la rue, détruit des familles, ruiné la France, ils sont responsables de nombreux suicides, ces criminels sont protégés par la voyoucratie qui gouverne.
Je vous rappelle l’article 35 de la constitution du 24 juin 1793 » Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection, est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
Cette extorsion de fonds vous implique dans cette affaire. Vous avez été maire d’Évry, l’usine LU a été détruite par ces arnaqueurs.
Le 29 mars 2001, le directeur des ressources humaines quitte l’usine de nuit, cela me rappelle un événement identique qui s’est produit à Givet, le directeur Husseil de chez Cellatex a décampé de nuit, les témoins d’affaires scandaleuses quittent les lieux, n’ayant pas le courage de dire la vérité aux ouvriers.
Les ouvriers ont accusé à tort la direction du groupe ; c’est Suire et les Thénardier les responsables, la preuve Franck Riboud avait dit qu’il crachait dans la gueule des politiques devant ses ouvriers, la vraie raison c’est le retrait d’actions volées qui a occasionné ce génocide industriel.
Cinq mois avant la fermeture de l’usine LU de Calais, la CGT avait demandé l’usine pour un euro symbolique les locaux avec les machines, pour un syndicat patron ? Ils n’ont pas osé demander les salaires des ouvriers payés par le Groupe Danone. Les Camarades n’ont pas souffert de la crise ils sont impliqués dans cette escroquerie.
Une affaire aussi répugnante on l’entoure de mensonges infâmes, hypocrites à l’extrême pour faire plus vrai les syndicats ont employé un spécialiste en la matière, un avocat qui magouille avec le système. Philippe Brun pour gérer la crise, ce brigandage l’avait conduit à Soissons pour trois usines du lot, sans intérim l’usine LU, un rêve hideux pour les ouvriers.
Monsieur Valls maire socialiste d’Évry vous êtes venu au secours de l’avocat des Lu qui tentait d’accéder au CE : déclaration du Parisien du 15 octobre 2002 « une infraction pénale » : mon courrier vous dénonce une affaire beaucoup plus grave.
Avec votre collègue Lionel Jospin, Premier ministre de Chirac, en visite à l’usine il a fait cette déclaration malheureuse » l’État ne peut pas tout » c’est vrai, nos politiques sont des incapables, des trop payés, ce sont des fonctionnaires qui bénéficient d’avantages en nature, des privilèges supérieurs au règne de Louis XIV.
Même Robert Hue avait dit qu’il soutiendrait les Lu jusqu’au bout ! le sénateur savait que l’usine allait fermé, l’aide-soignant par devoir, a accompagné les ouvriers dans la destruction de leur outil de travail, une misère programmée pour ces pauvres gens; le seul secours qui était en son pouvoir.
Même le père Noël Mamère avait prévu des mouchoirs papier pour les pleurs « le travail jetable et les employés kleenex » un glorieux péril à la charge des contribuables, sous le joug du despotisme politico mafieux en place, c’est l’indomptable fougue électorale à faire des voix.
Tous des hypocrites, les politiques, les syndicats, les délégués ne souffrent pas de la crise exemple Maurad Rabhi qui était délégué CGT Cellatex est devenu l’adjoint à Thibault, la misère ne se partage pas de la même façon, le délégué des Moulinex avait remplacé Thibault, on lui avait refait un appartement à neuf pour plus de cent mille euros.
Feu Marc Blondel né le 2 mai 1938 à Courbevoie patron de FO, entre le 26 octobre 1992 et le 1er mars 1994, mis en examen pour recel des fonds de Chirac qu’il savait provenir du délit d’abus de confiance, en l’espèce en ayant bénéficié de l’emploi de M Abdoulaye Kote chargé de mission rémunéré par la ville de Paris, d’un montant de 75.712.36 euros.
La vérité, ils ne possèdent que le mensonge pour nous tromper, ils ont plongé la France dans la misère de leur aveuglement et de leur concupiscence, une nouvelle matrice.
L’Å“uvre nauséabonde de Suire, cet individu ne se serait pas investi dans mes affaires aucune usine n’aurait fermé. C’est un holocauste industriel programmé au niveau de l’État, c’est un crime de haute trahison, un acte de terrorisme, pour quelle raison ce malfaiteur est en liberté, Monsieur Valls ministre de l’Intérieur en lettre recommandée vous avez été avisé des nuisances de Suire, je vous demande : vous êtes franc-maçon, si un frère a le droit de commettre un crime d’État ?
Cellatex, Bata, Job, Daewoo , Danonex, Galeries Lafayette,Turboméca Samaritaine, Levi Strauss & Co, Moulinex,Cormelles-le-Royal (Calvados) et Alençon (Orme), Adelshofen Marks & Spencer, Bata Shoes, Bataville (Moselle), Danone, les 3 Suisses, Air Lib, Aerazur , Metaleurop Nord, Noyelles-Godault et Courcelles-lès-Lens (Pas-de-Calais), AEFTI, AFR, Lainière de Roubaix, GIAT, Saint-Chamond, Bosch, Venissieux, Libération, Alcatel-Lucent, Nortel, Airbus, Charles Jourdan, Romans-sur-Isère, Baxter, Amilly/Montargis, Bénéteau Vendée, Brodard Graphique, Calaire Chimie, Carrefour, Caterpillar, Celanese. ChristianLacroix, Conforma, Continental, Cofinoga, Dekra,Dexia, Ethicon, ESSEX, F2R, Fagor, Brandt, Fenwick-Linde,Filtrauto,Fonderie du Poitou,Laboratoires Eclair, Laboratoires Fournier, La Redoute, Maison de Valérie, Meadwestvaco,Melitta, Michelin,Molex etc.
Les événements ci-dessus ce n’est pas la faute de l’Europe, mais l’Å“uvre d’une organisation criminelle qui vous implique dans ce dossier, de plus, vous avez été informé, la famille Suire n’est pas un exemple de probité, ce sont des âmes faibles à faire le mal, et me lasse de la fuite de ses responsabilités, protégée par une justice qui tombe en lambeau. Le fils qui est commissaire divisionnaire a détruit sa femme le 10 janvier 2005.
Notre sécurité n’est plus assurée dans ce pays, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénal , vous avez pour obligation de prendre les mesures qui s’imposent afin que justice me soit rendue.
Salutations, Jacques Goguy.
Vous pouvez diffuser cette lettre, je prends la responsabilité de mes écrits.
Voir sur Internet : Suire ancien contrôleur général de la police, eric goguy, guillot flic, jacques goguy , renault bijoutier à sablé, juge cormery etc..