A mettre en parallèle:
Je reproduis quelques lignes d’article dans Le Monde (avant qu’il ne disparaisse dans leurs archives payantes…):
Le 19 septembre, le porte-parole de la LCR a publié avec le sociologue Michaël Löwy Che Guevara, une braise qui brûle encore (éditions Mille et une nuits, 14 euros). Un mois plus tôt, il annonçait la création d’un « nouveau parti anticapitaliste » prenant de court les militants de son organisation. Insensiblement, l’image donnée de la LCR change. Fini le temps où le candidat n’était « qu’un camarade parmi d’autres ». Désormais, ses amis revendiquent l’aura de leur candidat qui « pèse » 1,5 million de voix. On parle du « parti d’Olivier », fondé sur le « programme présidentiel d’Olivier ». Son livre en est une illustration : les auteurs expliquent « l’actualité ardente » des idées du guérillero pour la « rénovation » et « le socialisme du XXIe siècle ».
On a aucune peine à croire qu’Olivier soit animé de la même rage fanatique, et meurtrière, que celle de Guevara. Cette idéologie trouvera toujours des fous pour la servir.
Et vous pouvez écouter sur le même sujet :
Les impostures du mythe du Che dénoncées par les écrits de Guevara
Youhou !!!
Je découvre voter site aujourd’hui !
En voilà une belle bande d’allumés !
ça, je savais pas que ça existait des aztèques comme vous.
Dites donc, vous allez finir par sauver l’humanité avec vos thèses !
Ou alors, c’est le plus gros canular de la blogosphère votre site, c’est ça ?
Bon sang mais c’est bien sûr ! Vous êtes une joyeuse bande de farceurs qui voudraient se moquer des madeleinistes ?
Rrrhhoooo, c’est po gentil ça !
Notre grand maitre a dit que les grèves passaient désormais inaperçu. Nous, pauvres otages de ces communistes sans cÅ“ur, allons enfin pouvoir vivre heureux sur notre planète libérale. Je remercie Dieu d’avoir permis ce monde où la liberté prend tout son sens dans le fait d’entreprendre. Il faut travailler pour être heureux. Il ne faut pas dépendre des autres ni se sentir solidaire, il faut néanmoins être fier de notre beau pays et de notre culture. J’ai du sang gaulois dans mes veines, je veux travailler le dimanche, je veux que l’on supprime mes congés car je sais que c’est le seul moyen pour nous de remonter la pente.