Lu dans Matin plus en juillet:
Belleville: Les artistes refusent l’expulsion
Les artistes de la Générale ont manifesté, hier, sur le parvis de l’Hôtel de Ville pour protester contre leur expulsion annoncée.
Ce collectif squatte depuis 2005 un bâtiment de l’Education Nationale de 6000m² à Belleville, rue du Général Lassale (19è). Vacants depuis dix ans, ces locaux sont voués à accueillir une annexe de l’hôpital psychiatrique Maison-Blanche. Hier, la mairie de Paris a tenu à rassurer les nouveaux artistes: « le Conseil de Paris a affirmé à deux reprises son souhait de rechercher, avec le Ministère de la Culture, la région Ile de France, les moyens d’une poursuite des activités artistiques et culturelles de La Générale ». Et de rappeler qu’une trentaine de membres du collectif avaient accepté un relogement à la manufacture de Sèvres (3000m²). « Cette délocalisation en dehors de la capitale ne correspond pas à notre projet artistique et associatif », déplore Paul Martin, porte-parole du collectif. Comme lui, une cinquantaine d’artistes ont refusé de s’installer à Sèvres. « La Mairie nous propose un autre lieu de 330m², libre dans un an, mais on ne sait où », explique-t-il. « on attend une meilleure proposition… »
1/ en plein Paris, l’Etat laisse libre pendant 10 ans 6000m². Au prix du m², que ce soit en location où à la vente, c’est un gâchis fantastique.
2/ l’Etat est incapable d’assurer la sécurité de ses biens, puisque les portes ont été forcées, qu’un collectif de zozos a pu s’y installer…
3/ on propose à ces artistes un relogement. Ils immobilisent une fortune d’actifs immobiliers et ont le culot de réclamer et se voir proposer un relogement ? On ne parle pas ici de réfugiés après une catastrophe naturelle, on parle de personnes ayant volontairement, sciemment enfreint le droit de propriété (fut-il de l’Etat)! Au mieux on pourrait espérer un règlement à l’amiable, au pire ils devraient avoir deux années de loyer à payer (à environ 20euros le m² dans Paris…)
4/ on voit bien dans quelle société on vit: 3000m² à Sèvres ne plaisent pas aux zartistes: « ça ne correspond pas au projet artistique et associatif ». Alors ils réclament à leurs amis socialistes et verts de la mairie de Paris de trouver mieux. Nul doute qu’ils auront mieux.
Après m’être étranglé en lisant cet article dans Matin Plus, je suis allé chercher leur site web et j’ai trouvé leur page « articles de presse« . Ils n’ont pas été pris au dépourvu: voilà deux ans qu’ils doivent être explusés! Ils savaient dès le premier jour ce qu’ils « risquaient » mais n’en ont cure! Ils préfèrent vivre en parasites, car ils savent qu’ils sont protégés des conséquences de leurs actes: la justice ne les condamnera pas, leurs amis politiques ne les attaqueront pas, et comme on a vu se mettent en quatre pour trouver des « solutions ». Leurs projets artistiques et associatifs ? Ce sera aux autres de les financer, eux se contentent de toucher le RMI et ne payent pas de loyer.
Mise à jour:
Richard m’envoie un lien vers un article dévastateur: la générale: visite non guidée. En vrac: La Générale est un lieu d’ouverture avec une porte blindée et un digicode à l’entrée, les expositions etc sont privées, réservées aux potes des artistes de La Générale, ils ne touchent pas de subventions mais n’expliquent pas pour autant comment ils se financent (ben tiens…)… Bref du délire. Allez le lire.
l’islam néo libéral est en marche,
à lire sur http://www.observatoiredesreligions.fr
La plupart des « experts sociaux » se sont trompés, y compris ceux de la CIA
Le réveil de l’islam est lié à la modernisation
à lire sur http://www.observatoiredesreligions.fr
On expulse des sans-papiers mais on conserve les parasites? Ayn Rand serait folle à l’heure qu’il est…
Il s’agit d’un véritalbe « gaspillage » organisé en dépit des arabesques que le marché politique a fait sur le depuis deux années .
Cordialement
Le temps des zartistes a assez duré. A quoi servent-ils? Je me le demande bien. Plus j’observe les Å“uvres de ces troubadours plus je suis sceptique, voir agacé. On devrait interdire l’art. Les zartistes feignants font ça pour ne pas travailler, et le pire c’est qu’ils s’en mettent pleins les poches. Je connais un zartiste dans ma rue qui peint et qui fait de la musique, je parie qu’il touche des allocations. Le monde est déjà bien compliqué, je ne veux pas être pris en otage par quelques zartistes qui font la loi. Ce ne sont pas les zartistes qui sauveront notre pays mais celles et ceux qui remontent leurs manches pour travailler et qui attendent impatiemment les réformes.
Bonjour,
Je ne parviens pas à trouver de lien me permettant de vous contacter directement. Aussi, je place ce message dans un commentaire, en espérant que vous le trouverez.
Voici la présentation d’un site qui, je pense, ne manquera aps de vous intéresser (voici l’edito de http://clicdedroite.blogspot.com/ ) Nous venons de lancer ce blog, avec une equipe de 5 rédacteurs.
Clic de Droite est un site maintenu par un réseau d’internautes dont le but est de réaliser une veille à destination du grand public sur les comportements illégaux liés à l’utilisation des technologies de l’information : logiciels, téléchargements illégaux, cybercriminalité, non respect des licences et des droits d’auteur.
Clic de Droite s’est donné pour mission d’informer les citoyens sur les actions actuellement menées contre la criminalité liée aux technologies de l’information. En transcrivant ici les nouvelles obtenues par les membres attentifs du réseau, nous espérons illustrer pédagogiquement quels sont les moyens mis en oeuvres pour faire respect l’ordre et les libertés des citoyens.
Face au danger aujourd’hui révélé de la circulation anarchique de l’information, des oeuvres (audios et vidéos), des images (pornographie) et de logiciels illégaux (souvent appelés « libres », à tord), Clic de Droite s’inscrit dans une ligne résolument opposée à toute tentatives de libéralisation de l’internet qui ferait de cet espace un lieu sans surveillance.
Clic de Droite soutien toute activité gouvernementale (lois, décrets, mobilisations, etc.) qui viserait à accroître la surveillance des technologies de l’information.