M. Paccalet et ses coreligionnaires disparaîtront, bon débarras !
Par L.E.I.L.A.
Morceaux choisis (et commentaires assortis) d’un article de M. Yves Paccalet publié dans la rubrique « Idées » du Figaro-Magazine du 15 avril 2006 sous le titre « La planète ? La situation est désespérée, mais pas grave… ».
En préliminaire j’indique deux liens pour ceux qui voudraient se faire une idée du profil de ce grand philosophe qu’est M. Paccalet… :
Bio d’Yves Paccalet
Un entretien avec Yves Paccalet
L’article est une auto-promotion de son dernier ouvrage L’Humanité disparaitra, bon débarras !.
M. Paccalet nous est présenté par les rédacteurs du Figaro comme un « philosophe, un écrivain et un écologiste. » Pour information, il est également biologiste, botaniste, zoologue et «Compagnon de route [de bateau plutôt !] de Cousteau». A ces titres, il bénéficie évidemment en France d’un crédit immédiat d’intellectuel « engagé » et sûrement « éclairé » comme aiment à l’écrire tant de journalistes de la presse suiviste et paresseuse. C’est également un poète : « le poète qui accompagna Cousteau ! »…
Cet « essai » est qualifié « d’humour écologique noir ». J’avoue ne pas bien saisir l’humour du propos… La seule vue du livre en librairie et la lecture de sa quatrième de couverture m’avaient passablement mis en rogne ; le contenu de l’article du Fig-Mag et des interviews diverses du monsieur n’a fait que confirmer l’urgence qu’il y avait à réagir à la publication de pareilles âneries. Vous l’aurez compris : je n’achèterai pas l’ouvrage et le déconseille à tous ceux auxquels je peux en parler pour au moins trois raisons développées ci-dessous :
- Les propos tenus relèvent de l’insulte à l’humanité et comme je revendique mon humanité, je considère que mes amis mes proches et moi-même sommes insultés.
- Incohérence de la pensée, imposture intellectuelle et pratique de l’anathème, monsieur Paccalet ne nous épargne rien. Ce n’est pas un philosophe mais un charlatan propagandiste de la peste environnementaliste (dite également peste verte).
- Le programme proposé, au-delà de son insondable stupidité, est une véritable menace pour la Liberté individuelle. C’est d’ailleurs la seule chose cohérente dans la pensée de ce « poète » : il a très envie que l’espèce humaine disparaisse et les solutions absurdes qu’il propose de mettre en œuvre pourraient y contribuer.
1 – Les propos tenus relèvent de l’insulte à l’humanité
M. Paccalet exploite son fonds de commerce «Cousteau-Calypso » pour surfer sur la vague écolo-environnementaliste… J’en suis ravi pour lui, même si cela me navre toujours de voir l’erreur intellectuelle et l’arrogance nourrir son homme. Il est certainement savant et compétent dans des tas de domaines. Cela rend la violence et la haine de soi que recèle son propos d’autant plus sidérantes ! Le fond de l’article et, j’imagine, du livre n’est qu’insultes et anathèmes. Au départ, un constat de base qui témoigne du profond sens de l’observation de M. Paccalet et auquel chacun ne peut que souscrire :
« L’homme n’est qu’un objet négligeable dans l’immense univers. Un habitant de hasard sur une planète minuscule […] à la périphérie de notre galaxie dans un univers qui en compte des centaines de milliards… » ainsi que « Nous sommes transitoires éphémères… ». Mais cela se gâte très vite pour partir dans l’invective : « L’homme se prend pour tout ; il n’est rien. » ou encore « l’homme n’a pas inventé grand-chose sauf la vanité, l’ivrognerie, l’épuration ethnique et la guerre nucléaire…». M. Paccalet pratique donc l’amalgame sans souci ! Passons sur la vanité, péché mignon dont lui-même est bien sûr exempt, grâce sans doute à la fréquentation des poissons… Je croyais naïvement que la vanité était un de ces délicieux travers humains, consubstantiel à notre nature et partant, commun à chacun d’entre nous. Mais M. Paccalet, qui est un grand scientifique documenté, en a sans doute trouvé le nom de l’inventeur ! (c’est quand il veut pour nous passer l’information…).
Monsieur Paccalet n’aime pas les ivrognes. Il n’aime ni Antoine Blondin, ni la scène d’ivrognerie des « Tontons Flingueurs », ni les chansons à boire. Il n’a jamais pris une bonne cuite avec ses potes écolos sur la Calypso !, il ne boit que de l’eau filtrée… ou de l’eau de mer ?
M. Paccalet est soit très chiant… soit très hypocrite !
Quant à l’épuration ethnique, les inventeurs sont connus : ce sont des dictateurs, criminels au cerveau dérangé et leurs serviteurs obligés. Alors sur quoi donc se fonde ce monsieur pour faire porter la responsabilité de ces abominations à toutes les personnes qui n’ont rien eu à y voir et qui n’en demandaient pas tant ? Dois-je ajouter qu’il y a eu aussi parmi l’engeance exécrée quelques résistants et quelques combattants de la liberté ?…
M. Paccalet monte vite en gamme pour décréter que nous ne sommes qu’«un australopithèque à peine dégrossi ; doté certes d’un cerveau de 1 300 CC 3 d’où peuvent sortir la peinture de Vinci et la musique de Mozart mais plus généralement l’idée du sexe, l’obsession du territoire, la pulsion de dominer son voisin ou de l’assassiner ».
Monsieur Paccalet vit dans la peur…
Lui et sa famille sont-en permanence menacés… par leurs voisins. Ils rodent à sa porte et d’ailleurs ils ne vont pas tarder à l’assassiner et à le violer ! J’accorde à M. Paccalet qu’après 15 années passées à regarder la mer et les poissons, une ville, avec des hommes dedans, cela peut sembler étrange et poser des problèmes d’adaptation. A sa décharge peut-être a-t-il, après la Calypso, emménagé au Val Fourré, à la Pierre Collinet ou aux Minguettes ? Cela pourrait expliquer sa parano…
M. Paccalet est dangereux !
Pour éviter de céder à sa propre pulsion de dominer et trucider ses propres voisins en toute occasion, je lui recommande de s’installer dans un lieu isolé, seul ou à la rigueur avec José Bové, Yves Cochet, Alain Lipietz – voire Denis Baupin –, sur le plateau des Mille Vaches par exemple (miracle, cédant à leurs respectives pulsions de meurtre ils s’entretuent !).
M. Paccalet est sans doute lui-même de la classe des Vinci et des Mozart… (en toute modestie et toujours sans vanité aucune). Il estime que cela l’autorise à mépriser les croyances de ses congénères dans un paragraphe ricanant et simpliste : « Ainsi finira la vie humaine avant les cantiques du paradis ou l’odeur de chair cuite de l’enfer » où « Yahvé, Allah, Dieu, et Manitou » (sic) sont fourrés dans un même sac.
La violence verbale anti-Homme (au sens d’être humain) monte encore d’un cran et nous voilà , nous les Hommes, gratifiés d’épithètes aussi gracieuses que « prolifiques », « sales », « destructeurs » et « teigneux »… M. Paccalet touche un « plus haut » à la fin de l’article où, au terme d’un raisonnement que même le pasteur Malthus ne reconnaîtrait pas :
- Les adultes sont ravalés au rang de « bagarreurs » (bon passons…)
- Nos enfants en bas âge ou à venir ne sont rien qu’« un tsunami de bébés braillards »
- Et pour faire bonne mesure nos grands parents et les personnes âgées qui nous sont chères sont « des vieillards rancis».
Je persiste à être vraiment hermétique à « l’humour écologiste noir » !
M. Paccalet est issu parait-il d’une « famille modeste de 7 enfants ». Il en garde sûrement un très mauvais souvenir. Quant à ses propres enfants, s’il en a, cela n’a pas du être facile pour eux ! Qu’est ce qu’il lui faisait à son bébé qui criait trop fort ? Il le secouait ou le tartait jusqu’à ce qu’il ferme sa sale petite gueule de « tsunami braillard » de 3 mois ? Les enfants crient, is jouent, ils sont pleins de vie et d’énergie et je les invite tous à hurler dans les oreilles de M. Paccalet à lui faire péter ses tympans mieux qu’un accident de décompression !
Quant à mes parents aujourd’hui âgés de 74 ans et à quelques autres beaux vieillards dont la liste serait trop longue à produire ici ils sont moins « rancis » que le vomi qui sert de discours à ce soi-disant philosophe !
2. Incohérence de la pensée, imposture intellectuelle, pratique de l’anathème et prophéties idiotes
– Incohérence de la pensée
Après avoir conchié l’humanité sans nuance, M. Paccalet aurait pu s’en tenir là , se contenter d’ajouter sa pauvre contribution aux innombrables « colères littéraires » plus ou moins justifiées produites par de meilleurs écrivains que lui…
Mais non, avec le conformisme appliqué et la paresse de pensée caractéristique de l’intelligentsia « écologôche », il enfile ensuite comme des perles des clichés adoptés sans examen, et qui n’ont d’autres justifications que d’être ce que Bertrand Lemennicier qualifie parfaitement de « cascade de répétitions ».
Affirmation non étayées ni argumentées, tissu de contradictions flagrantes et de facilités de langage.
Cela commence par la pratique de l’anthropomorphisme (figure de style chère à M. Paccalet), qui fait que « le cosmos s’amuse et les galaxies s’esclaffent… ». Je n’avais jamais remarqué qu’un objet, fût-il stellaire, eût la capacité de « se gondoler »… Mais soyons un peu cohérents tout de même ! N’est-il pas paradoxal que toutes ces merveilles de notre univers qui nous dominent et nous écrasent de leur intangible valeur intrinsèque, aient fini par s’approprier un trait aussi bêtement humain que… le rire ! « L’objet [et non le sujet bien sûr…] négligeable dans le grand univers » a quand même un attribut que lui envie les galaxies : il sait rire ! Il se poile à la première occasion ce gros blaireau…
Quelques simples questions, M. Paccalet :
- Nous n’avons pas forcément la prétention d’être la « raison d’être […] des quarks, et particules … », mais qui d’autres que les rejetons de « l’infecte engeance humaine » a découvert, expérimenté et rendu explicites des notions aussi complexes et abstraites ?
- Qui est ce « sale » qui invente, en vrac, le tout à l’égout, la chasse-d’eau et les produits chimiques pour fosse septique ? Pourquoi dépensons-nous autant d’énergie à fabriquer et échanger du savon, des parfums et des produits de beauté ?
- Pourquoi ces monstrueuses bêtes, assoiffées en permanence de sexe, avides de se reproduire, ont-elles inventé, fabriqué et vendu des millions de pilules contraceptives, de diaphragmes et autres préservatifs ? Et comment de pareilles bêtes teigneuses ont-elles pu se forger des croyances aussi farfelues que le célibat des prêtres ou l’abstinence sexuelle ?
- Qui donc découvre le plastique et la pétrochimie et préserve ainsi quantité de matières naturelles que nous savons rares et difficilement accessibles ?
Comment, en un mot, étant aussi destructeur, avons-nous réussi à prospérer au milieu de cette nature qui parait-il « nous rejette » ?
Il semble que M. Paccalet n’a malheureusement pas eu le temps de se poser des questions avant d’écrire ses sornettes ! Il est vrai qu’y répondre en s’interdisant la mauvaise foi intellectuelle et la facilité de langage demande le temps de la réflexion et de la rigueur…
M. Paccalet préfère concourir pour le prix Nobel de l’auto-contradiction lorsqu’après avoir pris la posture du sage scientifique et rationnel, il s’inquiète soudain de savoir qui sera là « pour reconnaitre que notre auto-destruction était notre plus bel exploit ? ».
Bonne question ! Qui donc hein ? Dieu peut être ? Manitou ?… Et bien M. Paccalet, qui a réponse à tout, a la solution ! Je vous le donne en mille : la Terre elle-même dont nous sommes parait-il « l’hôte par erreur » ! Il nous la divinise vite fait, la pare de grandes vertus humaines pour lui faire dire qu’elle « va nous donner une claque » comme à un garnement impoli… Pour quelqu’un qui méprise ouvertement toute forme de mysticisme, qu’il soit chrétien, islamique, juif ou amérindien, c’est quand même balaise ! Prenons simplement acte que M. Paccalet est un être humain normal, comme chacun de nous, prêt à succomber au premier délire religieux : et pour M. Paccalet c’est le culte de Gaïa ou la secte des éco-guerriers, au choix…
L’imposture écologique
Au nom de la science, M. Paccalet déclare que nous détruisons notre « Maison Commune » « par nos saccages », notre « croissance » notre « progrès ».
Nous voilà rendus responsables en vrac : « de la guerre nucléaire, du réchauffement climatique, de l’effondrement de la biodiversité, de l’empoisonnement de l’air et de l’eau. » Et avec cela qu’est ce que je vous mets ? Je n’ai ni ses diplômes, ni son immense savoir scientifique mais deux ou trois faits m’interpellent…
- « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (Lavoisier). Si ce monde, les ressources et éléments qu’il contient sont finis, l’homme, dans cette nature pas toujours très hospitalière, ne fait par son action que transformer la matière existante. L’action humaine n’ajoute ni n’enlève de matières polluantes ou toxiques. On peut discuter longuement des choix plus ou moins pertinents de combinaison d’éléments chimiques testés mais, que je sache, nous n’émettons pas plus de CO, souffre, chlore et autres cochonneries toxiques que n’en émettent les plantes, les animaux ou les entrailles de la terre !
- Comme l’a remarqué M. Paccalet, Nous ne sommes qu’une petite chose dans l’univers. Nous savons qu’une petite variation de l’axe de la terre sous l’effet de je ne sais quel mouvement cosmique ou qu’un déplacement de courant froid ou chaud dans un océan peut bouleverser le climat voire nous rayer du paysage en peu de temps (à la grande joie de Paccalet !). Alors faire porter à la seule Humanité la responsabilité de tels phénomènes relève au mieux de la farce !
- Si les scientifiques semblent s’accorder sur le fait que nous vivons une période de réchauffement, ils ne sont de loin pas tous d’accord pour en faire porter la responsabilité à l’action de l’homme.
- Et puis entre nous, depuis trois millions d’années que nous infestons la planète nous avons du en vivre un paquet de changements climatiques ! Alors un de plus ou un de moins, nous nous adapterons à Dame Nature comme d’hab’ ! (Si Paccalet et ses Brigades Vertes nous en laisse la possibilité…)
Prophéties idiotes
« Du coté de la science l’inquiétude est palpable… maints éléments laissent supposer que l’homo sapiens ne passera pas le 21ème siècle »
« En consommant les humains vont s’autodétruire, et plus vite qu’on ne le croît ! »
Il eût été surprenant que le profit, la consommation et ce vilain défaut consistant à vouloir à tout prix s’échanger des biens et services sur des marchés ne soient pas hautement suspects aux yeux de M. Paccalet… Une question quand même : Qui est ce « on » qui ignore que les humains vont périr plus vite qu’il ne le croît ? C’est votre voisin assassin, violeur, sale et méchant ? C’est moi ? Aucune raison sérieuse ne fonde la prédiction, pas un argument ! C’est péremptoire : nous voilà tous morts avant la fin du 21ème siècle !
Oser se qualifier de philosophe, après une pareille démonstration de fumisterie intellectuelle, est un affront aux hommes et aux femmes qui ont consacré leur vie avec rigueur et discipline à faire avancer la pensée humaine et la compréhension de notre univers (par exemple Ludwig von Mises).
Imparfaits, c’est sûr, nous sommes, comme dirait Yoda ! Mais n’en déplaise aux apologues de la décroissance, nous n’avons jamais eu d’autre choix pour survivre que comprendre, apprivoiser et transformer notre environnement. C’est précisément cette compréhension que nous avons de nous-mêmes et des avantages que nous tirons de l’échange qui nous a permis de progresser (avec quelques hoquets et ratés divers certes) et de nous adapter toujours mieux. Et au risque de décevoir M. Paccalet et ses coreligionnaires écologistes, sauf accident cosmique – et si les ayatollahs verts de tout poil veulent bien nous lâcher la grappe –, cela va continuer comme ça bien au-delà du 21ème siècle !
3 – Les remèdes proposés par M. Paccalet constituent un danger pour la liberté et l’humanité
Après l’insulte, l’imposture et l’anathème, M. Paccalet nous propose son super programme en trois mots clé et un résultat attendu : « La décroissance ! Le peu ! Le partage ! En un mot la paix »
L’inculture économique des « leaders d’opinions » et des coteries « intellectuelles » qui tiennent la tribune en France est insondable. Elle a souvent été évoquée et dénoncée sur ce site, n’y revenons pas. En l’occurrence nous constatons que les inusables poncifs du pasteur Malthus et les délires techno-constructivistes du Club de Rome sont à nouveau très « tendance » : outre « l’immigration choisie » à la « discrimination positive » en passant par le « patriotisme économique » et autres délires socialistes/étatistes, les avatars foireux de la pensée du bon pasteur et des mercantilistes du 16ème prospèrent par ailleurs parmi les zélotes de la nouvelle peste verte (de Mickey 3D à Chirac en passant par les crypto staliniens ou trotskystes d’ATTAC) et malheureusement au-delà …
En tout cas le message est clair :
« Arrêtez donc, stupides congénères de prendre des risques, de produire pour d’autres et d’échanger vous crèverez beaucoup plus vite et bon débarras ! »
Recherchez « La satisfaction par le peu » et « le partage ! »
Cela va être la fête !
Si je comprends bien l’idée de M. Paccalet, les hommes n’ont qu’une solution pour éviter la grosse catastrophe : consommer moins et produire moins.
Si l’on considère que la progression démographique est « tsunamique » cela veut dire à court terme : moins de biens et services produits pour un plus grand nombre de demandeurs.
Cela sent la pénurie, l’ambiance à table se dégrade singulièrement ! Et c’est là que M. Paccalet nous recommande, de partager. Compte tenu des travers humains qu’il stigmatise (agressif, bagarreur assassin, violeur…) la séance « partage » s’annonce comme un très beau bordel… En fait de « paix » son super programme va surtout nous plonger rapidement dans un bain de sang !
Mais rassurez vous, pour nous faire passer tout cela en douceur les Paccalet, Cochet, Voynet, Contassot, Lepage (Corinne pas Henri !), Kosciusko-Morizet, Hulot, Jancovici et consorts se lanceront dans de magnifiques campagnes de propagande expliquant à ceux qui n’ont rien ou pas grand-chose et qui veulent s’enrichir, que « les ressources sont rares certes, mais il convient surtout de ne rien faire »… Ils développeront la thèse du « peu » et du « partage » auprès des millions de Chinois, de Russes, d’Indiens ou Coréens qui sortent peu à peu du totalitarisme, des castes, ou du féodalisme et auxquels la possibilité rendue de travailler et de créer a permis, en 15 années, de gagner plus de confort et d’amélioration de leur vie que dans les 50 à 100 précédentes. Je vois bien les « paccaletistes » expliquant leur programme devant des assemblées atterrées :
« Bon les gars cela va bien ! Arrêtez de vouloir acheter des voitures pour partir en week end avec votre tsunami d’enfants braillards. Pour vos pique-niques d’été laissez tomber le vin ou la bière au frais dans la glacière buvez de l’eau tiède et mangez des baies ! (et encore pas trop car il faut préserver la Nature) Eteignez la clim en été et ne chauffez pas en hiver. Ne faites pas de ponts, pas de route vous n’avez pas besoin de circuler. N’affrétez pas de navire, ils pourraient couler. Arrêter de lutter contre les moustiques avec vos insecticides ! Laissez-les vous empêcher de dormir, vous piquer, et vous coller la malaria ! Bref, à genoux, contemplez Déesse Nature ! Célébrez-la avec dévotion ! Et laissez vous crever…»
Charité bien ordonnée commençant par soi même, je suggère donc à M. Paccalet et à ses coreligionnaires écolo-catastrophistes et partisans de la décroissance de montrer l’exemple :
- Arrêtez d’écrire et de faire la promotion de vos âneries. Non seulement cela fera baisser le taux de connerie au m2 mais l’humanité va économiser au moins trois stères de bois ! Et je ne vous parle pas des économies d’encre !
- N’achetez plus de papier toilette, utilisez les invendus de votre pauvre littérature (et hop, encore trois stères de bois !).
M. Paccalet, soyons sérieux : ce n’est pas avec du « peu » que les hommes s’en sortiront mais avec du plus ! Jusqu’à plus ample informé, pour mieux se nourrir, se loger, faire dormir nos enfants « braillards » au chaud, les éduquer, les divertir et nous divertir (pour oublier que nous somme une misérable chose plantée par hasard dans une queue de galaxie), il faut plus de tout ! Ce n’est pas en bridant nos capacités de compréhension, de création et d’expérimentation, que l’on s’en sortira. Et ce n’est pas non plus en qualifiant à tout bout de champ « d’éthique » ou de « social » ou de « environnementally friendly » des comportements inadéquats invitant à la paresse…
Nous résoudrons nos difficultés en créant des techniques et des produits nouveaux qui répondront mieux à nos besoins, en mettant à disposition du plus grand nombre des solutions plus économes, plus pratiques et qui ouvriront de nouvelles possibilités d’expérimentation et d’économie de moyens en se combinant. C’est grâce à des technologies humaines sophistiquées issues de ce processus d’amélioration continue que M. Paccalet a pu plonger avec M. Cousteau et filmer les merveilleux fonds marins et mieux comprendre la vie sous la mer. Ce sont ces mêmes technologies qui permettent à l’ineffable M. Nicolas Hulot de produire et réaliser ses émissions. Monsieur Paccalet, de grâce, arrêtez de cracher dans la soupe et de mépriser l’action des hommes et des femmes qui prennent des risques pour produire les biens et services que vous achetez ! Quant à la question du nombre d’humains, lorsque je regarde le pourcentage de terres habitées et de surfaces cultivées et exploitées je me dis qu’il y a encore une sacré marge pour mettre encore une belle pincée « d’australopithèques mal dégrossis » sur cette planète sans que cela pose le moindre problème ! Et puis si nous laissions les parents décider combien ils veulent faire d’enfants ? Hein qu’est ce qu’il en pense M. Paccalet ?
Le point vraiment inquiétant dans tout cela c’est que dans l’esprit d’un nombre croissant d’honnêtes et bonnes personnes, l’imposture a acquis le statut de vérité. Le terrain est idéal pour faire passer des lois inspirées par l’idéologie « rouge-verte » (soit dit en passant quand on mélange le rouge et le vert cela fait du « brun caca »â€¦). La mise en Å“uvre de leur programme nous mène droit à une nouvelle forme de fascisme (une forme renforcée diront les pessimistes) fondée sur un encadrement toujours plus réglementé des conduites jugées « non écologiquement correctes » (les campagnes de l’Etat actuellement diffusées à la TV sont de ce point de vue édifiantes…). Il n’est plus absurde de se demander à quel moment les hommes de l’Etat vont sauter le pas et criminaliser et pénaliser les attitudes ou comportements « non écologique » des individus. A quand des tribunaux de citoyens sélectionnés par des ayatollahs vert inspirés par un petit livre vert envoyant des « délinquants » dans des jolis Camps de Redressement Verts (ou plus prosaïquement nos actuelles prisons !) ? [précision : je parle ici des écologistes, je ne parle pas des autres « verts » et des vrais ayatollah, c’est un autre sujet…]. Des petits matons persuadés de leur bon droit y persécuteront au choix :
- des entrepreneurs teigneux qui voulaient à tout prix produire et vendre des de produits chimiques qui « polluent » ;
- des indisciplinés qui s’obstineraient à ne pas trier leurs déchets ;
- voire, en cellule de grand isolement, des biochimistes et des généticiens irresponsables qui auraient voulu concevoir de nouveaux OGM ou pratiquer le clonage thérapeutique…
En fait de sauvetage de l’espèce et de « paix » les solutions régressives proposées par les Paccalet et Cie conduisent immanquablement à la répression, à l’injustice, à la haine et à la ruine.
Alors M. Paccalet, soyez gentil, retournez sur votre bateau, et en attendant la fin prochaine de l’espèce que vous appelez de vos vÅ“ux, continuez à filmer les poissons avec lesquels vous semblez avoir une vraie complicité. Mettez vous donc au service des dauphins ou des pieuvres (« l’intelligence de la mer »), ils vous verseront le salaire qui correspond à votre travail ! Continuez à méditer vos concepts psychanalitico-structuralisto-zoologiques avec les cétacés ! Nous n’avons pas besoin de vos leçons, de vos impostures, de vos idées fausses ! Nous avons besoin de liberté et de responsabilité pour construire chacun à notre manière ce que nous appelons avec une énorme vanité « notre bonheur » !
Le dernier mot à Ludwig von Mises et son Å“uvre maîtresse L’Action Humaine, que M. Paccalet serait inspiré de lire au lieu d’empiler des clichés bidons et des prophéties dignes de Paco Rabane.
« Du point de vue de l’éternité et de l’univers infini l’homme n’est qu’un point infinitésimal et les changements produits par l’activité humaine ne sont qu’insignifiants. Mais pour l’homme, l’action humaine et ses vicissitudes sont ce qui compte réellement.
L’action est l’essence de sa nature et de son existence, le moyen de préserver sa vie et de se hausser au dessus du niveau des animaux et des végétaux.
Si périssables et évanescents que soient les efforts humains, pour l’homme et pour la science humaine ils sont d’une importance primordiale ».
Excellent article, passionnant à lire. Tout y est dit.
Bravo!
Paccalet, c’est un copain du Dr. « doom » Pianka ?
http://www.sas.org/tcs/weeklyIssues_2006/2006-04-07/feature1p/index.html
Je voulais juste rectifier les grosses conneries que tu dis (sans aucune réferences scientifique digne de se noms). Si la nautre emmet de CO2 (et pas de CO) elle en emmène moins que l’homme et ce même CO2 emis par la nature (respiration/fermentation) est réabsorbé par la nature (photosynthèse)… C’est ce qu’on appel le cycle du carbone (regarde c’est pas sorcier à ce sujet tu pourras peut être comprendre). Cet équilibre naturel a été fortement déregulé par les emissions de CO2 d’origine humaine (depuis le XIX)… Il y a un consensus scientifique sur les causes humaines du refauchement de la planète. Regarde le site de l’ONU et les accords de Kyoto, s’il existe des quotas de CO2 c’est pas un délir des « écologochos » mais bien une realité scientifique acceptée par les industriels!!
T’as citation de Lavoisier me fait bien rire tellement elle ne veut rein dire, tu devrait te renseigner sur la chimie avant d’ouvrir ta gueule : on peut toute à fait produire des composés toxiques à partir de composés naturel dont la toxicité pour l’homme est très faible et nul pour l’environement… L’homme à crée plus de 3 milliards de molécules chimiques nouvelle et on ne connait correctement la toxicité de 10000 d’entre elle… Il ne faut être aussi binaire quand on parle de toxicologie : TOUTES les substance chimique synthétisé par l’homme sont toxique (à partir d’une certaine dose) alors que très peu de substance naturel le sont (ou à des dose plus élevé)… Exemple (le meilleur venin de serpent est moins toxique de de la soude ~ produit lessive)
Et ce que tu dis sur le changement d’inclinaison de la terre c’est de la grosse merde (tu parles sans savoir exactement comme les journalistes ignorants que tu critiques). L’axe d’inclinaison ocsille et se qui change le cilmat de façon periodique, mais selon une periode de 10000 ans minimum (rien à voir avec le rechauffement de ces 100 dernière année).
Tu devrais vraiment te renseigener sur les problèmes environementaux (le obervations des scientifiques justifient (au moins en parti) un tel pessimisme. Et si tu ne veux pas t’en occuper (c’est ton choix on a le droit d’être con et irresponsable) respect au moins ceux qui s’y interesse…
Merci, Fabrice pour ce cours de chimie… Je confesse volontiers ne pas être spécialiste… et admets assez volontiers ne pas avoir assez fouillé le sujet.
Maintenant tes propos confortent l\’idée que l\’espèce humaine est véritablement une erreur de casting sur cette planète et de ce fait tu rejoins avec enthousiasme la cohorte des ecolos-étatiste prêts à réglementer
Quant aux références de l\’ONU
Maintenant
Bon je recommence ! j\’ai fait une fausse manip !
Je disais donc : Quant aux références de l\’ONU je ne manquerai pas de les consulter pour enrichir ma culture en chimie ! Cela dit, tu accrédites la thèse du consensus sur la responsabilité de l\’homme dans le réchauffement du climat. Je maintiens quant à moi avec force qu\’il n\’en est rien et que beaucoup de scientifiques sérieux se gardent bien de conclure sur ce point. Et avec mon pauvre niveau en physique-chimie je continue à penser que les forces de la nature sont des facteurs de changement du climat autrement plus puissants que l\’activité humaine.
Foin de chimie et de physique, l\’objet de mon article était de toute façon de dénoncer les propos haineux et le mépris insultant de M. Paccalet pour ses congénères.
Pour ton info, Fabrice, sache que cette ordure y va si fort qu\’il inquiète même tes petits camarades partisans de la décroissance et de l\’ecolo-collectivisme. Ceux ci n\’hésitent pas à dénoncer son extrémisme et à le qualifier de \ »nazi\ » (pour une fois c\’est plutôt justifié mais on pourrait tout aussi bien dire \ »staliniste\ », \ »maoïste\ », \ »khmer rouge\ » etc….) :
http://www.decroissance.org/textes/paccalet.htm
Par ailleurs, t\’es pas obligé de traiter les personnes qui écrivent sur ce site de con et d\’irresponsable.
Il doit normalement être encore possible de se parler normalement !
La vie elle même est une erreur! L’homme comme toutes les animeaux lutte pour sa survie, plus grace à une évolution naturel mais une évolution culturel d’ou la necessite de reglementé. La justice, laconstituion les droit de l’homme sont de reglements indipenssable pour que tous les hommes vivent libre dans la même société… Tu diabolises tellement les reglementations que t’en devient presque anarchiste!
Paccalet est peut être traiter extremiste mais je prefère toujours me faire mon propre opinion… Il faut plutot chercher à comprendre les causes de ça véhémence ou alors ne pas s’y interessé (quand on fait qqu’chose autant le faire corectement). Je ne suis pas aussi fataliste que lui sur l’avenir de notre planéte (que l’on ne sauvera pas on la quittera toujours d’après l’ONU dans eniron 3000 ans), le développement durable, l’harmonie avec la nature est une belle utopie, ce qui importe c’est de respecter la nature, de la comprendre pour pouvoir continué a l’admirer pendant quelques siècles… La reglementaion est l’unique moyen de preserver les trésors de la biodiversité indispensable au développement de nos conaissances en biologie (et les applications en biotechnologie, pharmaceutique,médecine…) mais aussi et surtout pour la survie de notre espèce parce qu’on est bloqué sur la terre pour encore 3000 ans et on aura toujours besoin d’eau de légume et d’oxygène!!!
Je n’arriverais surement pas à te convaincre de l’influence de l’homme sur l’environement. Sans être une Verité scientifique (vertité qui n’existe pas ou alors après certaines approximations dont on doit verifier qu’elles soient negilgeables…) cependant les carottes galcières, la periode de vendange des bordeaux, les sites de reproduction des oiseaux, l’augmentation des catastrophes naturels, etc montrent tous un rechauffement qui dépasse de loin (par son accéleration) n’importe quel phénomène nature et qui peut être relier directement au niveau de CO2 dans l’atmosphère dont l’homme est responsable…
Pour plus de references va voir le World Meteorological Organisation je crois qu’il y a aussi un dossier bien détaillé sur BBC news et surtout un dossier du CNRS :http://www2.cnrs.fr/presse/journal/2825.htm
Il est clair que Fabrice est un pur produit de la propagande écolo-communiste. La peur du réchauffement de la planète est un prétexte pour contrôler l’activité humaine par un état mondial redistributeur et coercitif. Si la propagande est bien faite, et elle l’est manifestement, Fabrice n’est qu’un idiot utile de l’écolo-mondialisme communiste. Ses arguments sont exclusivement « scientifiques » et de ces prémisses incertaines autant quantitativement que qualitativement, il aboutit à des conclusions de nature morale, économique et politique alors que manifestement il ne connaît rien à l’économie ni à la science morale, qu’il ne fait pas de différence entre une tyrannie écolo-mondialiste et une société fondée sur la liberté individuelle.
La présentation du réchauffement planétaire comme un danger majeur et urgent a bien évidemment pour but de passer sous silence le fait que les moyens politiques que les écologistes gauchistes veulent mettre en oeuvre consistent en une destruction de la civilisation de la liberté et que le véritable danger est là .
Le coût humain de l’application du protocole de Kyoto n’est évidemment pas du tout aperçu par notre écolo-fasciste. Il lui faudrait un peu de connaissance en économie. Il préfère que la biodiversité soit le critère absolu de l’action politique plutôt que la survie de millions d’individus qui dépendent d’une croissance mondiale aussi soutenue que possible. On voit bien que pour lui, l’homme n’est pas concrètement la valeur absolue, comme c’est le cas aussi pour tous les écolo-suicidaires. L’Homme n’est pour eux qu’une valeur lointaine et abstraite, et concrètement, qu’une partie de la nature comme les autres, au même plan que les autres éléments de sa chère biodiversité.
Pour finir, je n’entrerai pas dans le détail de ses arguments « scientifiques ». Il me suffit de constater qu’il s’appuie sur un prétendu consensus des scientifiques. Or ce consensus n’existe qu’au sein des organisations qui précisément sont payés pour défendre toutes les thèses dont dépend leur existence. Ce sont des organisations mondialistes hautement politisées. Leur objectivité ne dépasse celle d’un bureaucrate qui aurait à défendre son budget.
Et pour ceux qui voudraient lire une présentation plus sérieuse du débat sur le réchauffement planétaire je conseille par exemple d’André Fourçans, « l’effet de serre : le grand mensonge ? » (Seuil, 2002). Beaucoup de contre-vérités y sont réfutées, beaucoup d’exagérations dégonflées et les pseudo-solutions écologistes soumises à l’analyse coût-bénéfice (chose que les écologistes ne savent pas faire tant leur désir pathologique d’ « abolir » l’économie est fort). Ensuite on pourra lire Pascal Bernardin qui a bien saisi l’enjeu politique qui se trame derrière le prétexte du réchauffement planétaire : http://www.olavodecarvalho.org/convidados/bernardin.htm
C’est la que les paroles de Rueff, souvent citees par Georges Lane, prennent toutes leur signification :
«Les systèmes malthusiens donnent à leurs auteurs toutes les apparences de l’action généreuse, alors qu’ils organisent la misère et la ruine»
Le totalitarisme renait toujours sous de formes nouvelles, on pensait lui avoir coupe la tete et voila qu’elle repousse : il prenait le visage du national-socialisme et du marxisme au xxe siecle, il renait aujourd’hui sous les habits de l’islamisme, de l’ecologisme, de l’altermondialisme.
Ne soyons pas dupes : ce sont toutes des variantes d’un meme Mal.
Bonjour, je viens de lire votre article et vos commentaires : je n’ai pas lu le livre de Mr Paccalet, je ne pense pas être un militant d’aucune sorte mais pourtant d’un point de vue objectif je ne comprend pas vos réactions concernant l’influence de l’homme sur le climat et sur son environnement.
Il y a des faits qui peuvent être contestés, d’autres découlent de la simple logique: nous brulons actuellement 10 milliards de litres de pétrole PAR JOUR dans notre atmosphère, à partir de ressources qui mettront probablement des millions d’années avant de revenir à leur état initial. Nous détruisons nos forets, nous polluons nos eaux, nous épuisons nos ressources (la pêche en est un bon exemple).
Maintenant dans quelle mesure l’Homme a modifié son environnement, je comprend que les points de vue divergent. Il est cependant un fait que nous ne pouvons contester : nous ne vivons pas actuellement en équilibre par rapport aux ressources qui nous font vivre et qui font vivre « nos voisins ». Essayer de trouver des solutions collectivement en refusant un peu de notre confort personnel (et c’est l’objectif du protocole de Kyoto), c’est pour moi justement je pense une belle preuve d’Humanité.
amicalement,
Zedh
Zedh, mon grand lapin, vous autres les bien intentionnés vous êtes terribles.
Vous ne connaissez pas un poil de théorie économique, de théorie on dit bien, non pas des faits. Des faits, des chiffres vous en connaissez pleins et vous les enroulez dans tous les sens.
Vous n\’en connaissez pas davantage sur l\’histoire et bien d\’autre choses.
Vous voulez remettre le sort de l\’Humanité entre les mains de gens qui sont ignorants, non motivés et irresponsables. Les politiques et les fonctionnaires au fond du fond sont motivés par leur carrière et leur retraite. Ce genre de système ne corrompt pas les hommes, ce sont certains types d\’homme qui sont attirés pour servir ces systèmes.
On en vient à regretter le temps des rois et des aristocrates. Au moins on pouvait s\’opposer, critiquer. C\’était eux, ce n\’était pas nous. Aujourd\’hui le peuple est souverain, l\’état c\’est nous. Résultat si on n\’est pas d\’accord on est un ennemi de l\’Humanité, hier du peuple de Staline et de Mao ou de la race, aujourd\’hui de la grande tribu de Kyoto rêvée par les bien intentionnés.
Vous créez une nouvelle religion. La religion de la nature de l\’environnement, de la décroissance.
On regrette le temps de la bonne vieille religion avec les processions pour la pluie derrière le curé. Le curé faisait la quête, on donnait si on voulait. Aujourd\’hui, on est taxé d\’office pour Kyoto, et plusieurs fois plutôt qu’une.
Et puis.
Ça se réchauffe ou pas? Trend millénaire, multi millénaire, ou blip temporaire. Quid de l\’activité solaire? Quid de la végétation avec plus de CO2? Ça pousse mieux? Ça fixe? Au fond, c\’est bon ou c\’est pas bon?
Il y a des centaines de questions sans réponses.
Et les ressources? Qu\’est ce qu’une ressource? Quand le bois s\’épuisait autour des villages du Moyen Age, on pensait au pétrole?
On est tous d\’accord pour ne pas vivre dans une poubelle, mais c\’est compatible avec bien des choses.
On n\’en sait pas plus que vous ; mais on ne veux pas remettre notre sort entre les mains de gens incompétents prétendument \ »au service du peuple\ ». En outre le \ »peuple souverain\ » dans certains cas est extrêmement dangereux.
As tu remarqué que les guerres sont beaucoup plus meurtrières depuis que le peuple souverain en armes monte aux frontières. On glisse sur les remodeleurs de sociétés socialistes parfaites, nationaux socialistes – nazi -, internationaux socialistes – staliniens ou maoïstes.
D\’accord Kyoto c\’est soft à côté. Mais c\’est un début. Monsieur Yves Cochet – on le cite en tant que symbole – veille. Décroissance, cartes de rationnement. Il n\’a pas encore parlé de respiration – carte de rationnement d\’oxygène – et de reproduction. C\’est un Paccalet politique. Dommage qu\’il ne soit pas candidat, on en aurait entendu davantage.
On n\’en sait pas plus que vous mais en n\’en profite pas pour vous imposer des solutions.
On dit : cherchons les ensemble par des interactions volontaires et non violentes.
On ne se cale pas en conquérants sur notre ignorance.
Lis Fabrice un peu plus haut : tout ce qui est produit par la nature est bon, tout ce qui est produit par l\’homme, mauvais.
Il ne doit pas y aller souvent dans la nature. Il ignore que la nature est dangereuse, très dangereuse. Qu\’elle produit des poisons sous toutes les formes : gaz, liquides, minéraux, composés, toxines de bactéries, d\’algues, de champignons… Qu\’elle glisse, étouffe, noie, brûle, écrase….
À partir de là , il fait un programme avec toi.
C\’est facile de dire que « nous ne vivons pas en équilibre ». Pour sûr, ma bonne dame, nous vivons dans un système dynamique, on ne retourne jamais à un état initial. (Pour les snobs intellectuels : « on ne se baigne jamais deux fois dans la même eau. » Héraclite.)
Faites nous un programme pour « sauver le soleil » qui \ »gaspille\ » une énergie colossale dont nous n\’interceptons qu\’une infime partie.
Bon ça suffit. On sonne la soupe.
À plus. Salut à tous et sauvons la planète.
Zedh a parfaitement raison
Dis moi zozo t’as sniffe un pot d’echappement pendant trop longtemps ou t’as trop tire sur pif gadget facon salut les coco
Le grand probleme avec tous les liberaux d’internet d’aujourd’hui c’est qu’apres avoir ete prive de tribune pendant des lustres ils croient se rendre credible en balancant des reflexions aussi stupides que vide. ici ton copier coller genre marabout bout de ficelle, ailleurs celui sur la theorie liberale de la prostitution.
ca me fait bien rire de se vanter d’etre expert en economie non en science non en interpretatologie, je vais te faire une confidence ta prose ca ne sort pas encore de harvard ni du chicago.
Du point de logique, le fait que Yves Cochet soit un con, ne te donnes pas automatiquement raison en critiquant quelqu’un en qui tu crois avoir reconnu une ressemblance pas tres frappante, venant d’un partisan du pluralisme c’est pas tres fin
Je vois pas en quoi le fait d’etre liberal interdit de consider le rapport avantage/cout lie aux changement de mode energetique, avant de parler de macro-economie (comprenez diplomatie) mieux vaut savoir faire un bilan comptable et aborder les choix de maniere impartiale, plutot que de faire des discours pompeux
Enfin rien de bien personnel, j’espere que tu l’auras compris. Le but de mon intervention n’etant pas la mais ici:
Une petite question leur bateau avec quelle energie il avance et qui le repare quand il est en panne?
a ce sujet voir: http://fr.wikipedia.org/wiki/Calypso_(bateau)
Réponse à Jeff :
A part vociferer et etre malpoli, et en dehors du charabia, je n\’ai pas vu la moindre once d\’expliquations…
Sans doute fais tu parti de cette secte adoratrice de l\’Etat – du collectivisme?
Pensée unique totalitaire quand tu nous tiens!
Le plus marant dans cette histoire c\’est que de vieux gauchistes déçus virant au fascime vert viennent faire la leçons – au capitalisme – en matierre d\’économie d\’energie, au sens faire mieux avec moins soit la croissance, non? , ou d\’autres moderations en tout genre (capital santé, non?).
Concernant ton bateau – calypco j\’aimerais savoir comment une economie dirigée par des fonctionnaires et sans capitaux aurait pu le créer! Decroissance quand tu nous tiens!
j’allais dire merci jeff pour cet éclairage de moi même que j’allais copier coller dans ma rubrique « connais toi même » et puis je me suis dit zut ça y est il carbure les soirs d’été à l’éthanol avec un peu d’armoise de Chine, c’est mieux que le méthanol et c’est plus lent mais jeff n’est pas pressé.
il se projette un max sur son prochain.
pour ceux qui pourraient se poser des questions à partir de début de pensées réveillées par des bribes de son texte à jeff, pluralité, avantage/coût, bilan comptable, disons le : il est impossible de faire le moindre calcul si ce n’est individuellement, temporairement, localement, tellement les données sont douteuses, partielles, incomplètes, complètement perturbées par les interventions, réglementation, fiscalités, redevances, royalties, subventions, … le tout sur le fond d’une énorme ignorance kyotesque.
on répète pour zedh : on peut contester plein de choses et les prémisses de la simple logique doivent être vérifiées.
on commence par : qu’est ce qu’une ressource? on continue par : ça réchauffe ou pas? c’est pollué ou pas dans les villages naturels de l’Inde et du Yemen ou à Londres?
pour les faits contestés voir « Leading scientific journals are censoring debate on global warming » by Robert Matthews (Filed: 01/05/2005)
la différence avec les kyotards c’est qu’on est ignorant et qu’on le sait et que les kyotards sont ignorants et ne le savent pas.
l’ignorance même habillée en macro, modèles, mathématiques, reste de l’ignorance.
on reprendra la conversation jeff quand t’auras débourré et mis le sens en face des mots et des phrases.
rien de personnel non plus jeff, le but de mon intervention n’etant pas la mais ici : c’est une constante de maints bourrés et non bourrés, non libéraux et non non quasi libéraux, de prendre la confusion qu’ils portent en eux pour de la logique.
il n’y a rien d’étonnant à cela quand on voit qu’ils s’attaquent à des questions très complexes, de façon globale, macro, Georges dirait de façon holiste.
pour voir comment une « pensée complexe » devient une pensée confuse, jargonnante, contradictoire par l’approche holistique, voir des textes récents d’un chantre de la « pensée complexe », edgar morin.
Je vois que la censure est monnaie courante dans ce monde « libéral ». J’avais pris la peine de répondre patiemment à son excellence zozo mais il semblerait que des personnes ont la démocratie facile dans le coin. Il n’importe, voici un résumé de ma réponse, méprisable mais néanmoins légitime : profit à court terme contre réflexion environnementale, il sembleraient que certains ici aient clairement choisi le côté de la balance : après tout dans 50 ans lorsque nous serons 6 pieds sous terre, quelques degrés de plus ou de moins dans l’atmosphere ca changera quoi ? l’essentiel c’est d’avoir une bonne retraite, pour pouvoir utiliser son bon vieux 4×4 jusqu’à la fin de ses jours et qu’on vienne pas nous em..erder avec ces histoires de quotas.
Je crois que ma précédente réponse était plus raffinée désolé. Bon tant que j’y suis quelques citations de notre ami si hautain :
« il est impossible de faire le moindre calcul ». Tiens donc ben voyons ! Qu’est ce quon fait alors, on joue aux dominos en attendant que ça passe ? on sort la boule de cristal ?
« Des faits, des chiffres vous en connaissez pleins et vous les enroulez dans tous les sens. ». C’est pas plutot le rôle des économistes ça ?
« Vous n\’en connaissez pas davantage sur l\’histoire et bien d\’autre choses. » Soit.
« Quid de la végétation avec plus de CO2? ». Le problème c’est que vous vous y connaissez autant en climatologie que moi en economie/histoire/bien d’autres choses.
« Qu\’est ce qu’une ressource? Quand le bois s\’épuisait autour des villages du Moyen Age, on pensait au pétrole? ». Je suppose quil faut répondre sans utiliser les mystiques chiffres qui forment des nombres diaboliques, donc une ressource c’est pour moi une matière qui nous permet d’exister, de vivre voire de survivre. J’en vois au moins 3 essentielles : la nourriture, l’eau, l’air. Il y a bien aussi le pétrole pour l’homme occidental, mais j’ai bien trop peur d’être censuré ..
Quant à nos ancetres moyenneux, ben ils attendaient que ça repousse ! Il faut dire qu’ils étaient pas à 2-3 famines près ..
Bien cordialement,
Zedh
de son excellence zozo à Zedh, mon grand lapin,
Je ne doute pas de l’intérêt de ton excellent développement qui n’a pu être publié.
Comme ton résumé me laisse à penser que tu n’as pas saisi un certain nombre de points de mon texte, je te le recommande à nouveau.
Ce n’est pas essentiellement pour cela que je t’écris.
Je te recommande la lecture d’un article du Timesonline : Let’s look on the sunny side.
Court, bien écrit, il commente le lancement des sondes Stereo de la Nasa : Solar Terrestrial Relations Observatory, qui apporteront de nouvelles données et permettront peut être de passer d’une certitude métaphysique sur le réchauffement de la planète et ses causes à un attitude plus scientifique de critique des théories et d’examen des différentes facettes de la réalité.
C’est moins excitant que d’imaginer comment sauver l’humanité et organiser par la contrainte la vie de millliards de gens mais
beaucoup plus satisfaisant intellectuellement.
A+
une certitude métaphysique est une certitude qui ne se discute pas et ne se critique pas
le réchauffement ne se discute pas
la cause du réchauffement si réchauffement il y a ne se discute pas
zozo, Marc Grunert et votre bande, vous n’êtes que des pasquins qui vous complaisez dans l’enculade libérale sarkozienne…
Redescendez sur Terre, la vraie !
Tout comme vous, j’aime la liberté, mes libertés et celles des autres, dans un respect concensuel. Mais il y a qqch que vous oubliez et qui est une vérité absolue :
« c’est la nature qui nous a donné vie, et donc, c’est elle qui est prioritaire sur nous, pas l’inverse ! »
A partir de là , il suffit que constater l’existant, et donc de s’apercevoir que l’on pollue beaucoup et que l’on consomme énormément de nos Ressources. Désolé d’être factuel, matérialiste et concret, mais c’est la réalité qui permet de vérifier vos si précieuses Théories économistes. Donc, arrêter de dire n’importe quoi et de traiter les gens d’écolo-communiste ou de totalitarisme quand ils réfutent vos dires !
Je connais toutes vos théories libérales ou capitalistes car j’en viens, et je n’ai rien d’un coco et d’où socialiste que je n’aime pas ! mais je pense maintenant qu’il faut arrêter de vénérer le module américain pseudo libérale, car il est justement Totalitaire et impose au monde entier sa loi, sa puissance, sans aucune concertation.
Ce sont eux qui « défoncent » le plus notre planète, et ils s’en foutent royalement ! or, de part leur attitude, ils nous privent de libertés aujourd’hui et encore plus demain…
PS : désolé pour ma grossièreté, mais vos comments intolérants et élitistes m’ont vraiment énervés.
centriste, tu es un branque pharamineux, un bf qui n’est pas économe des mots et s’en gargarise
vérité, absolu, nature
ça commence par ton ignorance
si tu n’en as aucune idée
elle est comme la notre, immense
en plus la tienne est arrogante
sauver la planète, rien que ça
transformons nous en dieu le père
la nature (pour autant que l’on sache ce qu’est la nature), la nature se moque de tes états d’à me et de tes soucis pour elle
la pollution de l’un est la vie de l’autre
tu crois qu’elle s’est fait du souci quand des microorganismes se sont mis à faire des déchets tels que l’oxygène qui sont devenus la source de notre vie?
si tu es incapable de te faire une idée de la place de l’homme dans l’univers à partir des connaissances scientifiques, limitées, de notre époque, reviens aux poètes
lis le poème âbime de victor hugo
il avait une vision autrement plus saine que les bf et zozos trépigants à grosse tête
(il y a une très grande variété de zozos)
de toutes façons rassure toi
le problème des rejets, des ressources et du reste sera réglé bien en dehors de toi et de nous par la pente naturelle des neuf dixièmes de l’humanité qui se tamponne de ces élucubrations
sans compter la pente naturelle de la très grande majorité des autres, centristes, communistes, socialistes, libéraux, étatistes, etc. quand on touchera à ce qui les préoccupe en premier
qu’est ce qui les préoccupe en premier?
pose toi la question
ce sera y répondre
quant au libéralisme si tu l’associes au mot totalitaire
tu n’as rien compris
tu n’en a jamais été
tu as baigné dans la même confusion mentale qu’aujourd’hui
tout ceci dit sans intolérance, sans élitisme
simplement factuel
Mon cher zozo,
J’ai aimé ton commentaire, il m’a même fait sourire…
Je te félicites chaleureusement car tu n’as pas été intolérant, ni élitiste, tout en constatant les faits…chapeau bas !!!
Par contre, tu as qq peu déformé mes propos, ou bien mal interprété je suppose…
En effet, je ne me suis jamais vanté de vouloir sauver la planète (la croyance ou non en Dieu le Père n’y changera rien), mais juste qu’il faudrait y faire un peu plus attention, et surtout calmer les ardeurs de certains (les américains notamment). Je pense (malgré mon « ignorance », car je suis (certain) !) que c’est indispensable si l’on veut garder notre confort quotidien sur le très LT.
De plus, j’affirme que la Nature, enfin de ce que j’en sais, pré-domine sur l’Homme et non l’inverse, elle le démontre d’ailleurs fort bien lors des catastrophes naturelles (et dire que « l’Homme est une partie de la bio-diversité de la Nature » est pour moi une réalité irréfutable, et non être un écolo-suicidaire…)
Pour finir, je ne suis dans aucune confusion mentale, passée ou actuelle, car tu as délibéremment déformé mes propos. Aussi je te retourne ce constat !
Je n’ai pas dit que le libéralisme était totalitaire dans le fond, loin de là , mais que le libéralisme américain s’imposait au reste du monde (dans la forme) de FACON totalitaire, car il faut le suivre ou mourrir. Cette différence est claire, et non confuse…
ouaf!
La lune, mars sont remplies de ressources. Elançons nous dans l’univers, terraformons, peuplons et s’ouvrira à nous une ère de prospérité et de progrès inimaginables aujourd’hui. ç a ressemble à de la science fiction et pourtant c’est pour demain. Et encore une fois les américains seront les premiers. Ce sont eux qui sauveront la terre car ils seront les premiers à en partir!
« Et encore une fois les américains seront les premiers. »
les ricains ??? pourquoi avoir fait une station spatiale plutôt qu’une mission permanente sur la lune ?
Je crois que les chinois vont damer le pion de beaucoup dans cette histoire.
ouaf, ouaf, centriste
zozo bio-divers se sent d’humeur plus explicative que polémique, alors allons y
tu dis
« juste qu’il faudrait y faire un peu plus attention, et surtout calmer les ardeurs de certains (les américains notamment) »
bien. Qu’est ce qu’une ressource?
Imagine la scène, il y a quelque dizaines de milliers d’années
réunion consensuelle et démocratique de la tribu
objet : inquiétude quant à l’utilisation massive des pointes de flèche
épuisement du gisement connu de silex, il faut chercher de plus en plus loin
on avance dans le temps
nouvelle réunion
nouvel objet : le climat se réchauffe, les grands animaux de la steppe froide se font de plus en plus rares
la catastrophe est proche
l’observateur martien qui a assisté à tout cela hoche la tête avec pessimisme
il n’y aura bientôt plus grand chose à observer
il va voir ailleurs
il repasse par hasard des milliers d’années plus tard et n’en croit pas ses yeux
les tribus pullulent, les techniques foisonnent, les ressources abondent
mais …
des centristes inquiets demandent des réunions consensuelles et démocratiques car les ressources s’épuisent
alors?
halte là ! dit centriste, aujourd’hui on connait tellement plus de choses, on est tellement plus intelligent
bien vrai?
tu prends des bribes d’information pour des connaissances
l’information n’est pas la connaissance
tu peux recommencer cette histoire pour des tas de choses, le bois, le charbon de surface, les escargots, …
une ressource est liée à un état de connaissances, à des techniques disponibles, à des prix relatifs que l’on est prêt à payer
la clé en est des idées dont on ne sait comment elles jaillissent dans des cerveaux individuels
pas dans des réunions consensuelles, intelligentes, démocratiques, à la suite desquelles on va confier à des gens qui ne connaissent pas, qui ne font pas, qui ne sont ni compétents, ni motivés, le soin de diriger des gens qui font et qui sont motivés
on ne connaît pas aujourd’hui les idées de demain
on enlève les moyens de développement à des gens qui pourraient découvrir et développer
(mais on ne sait pas qui sont ces gens là et on n’a aucun moyen de savoir qui ils seront)
pour les mettre entre les mains de gens ni compétents, ni motivés, des cnrs, des académies des sciences, des cerns, de gigantesques projets internationaux, des comités onusiens de recherche et de régulation
halte là dit centriste
cette recherche au hasard, ces découvertes au hasard c’était bon pour les âges obscurs
aujourd’hui on connaît tellement plus de choses, on est tellement plus intelligent, l’union, l’organisation font la force
bien vrai?
regarde autour de toi les découvertes et développements des dix dernières années
ceux qui sont significatifs et importants pour le bien être général
bonne réflexion
un petit mot sur libéralisme et totalitarisme
tu dis
« que le libéralisme américain s’imposait au reste du monde (dans la forme) de FACON totalitaire, car il faut le suivre ou mourir »
un modèle libéral ne s’impose pas par la force
le libéralisme est l’interaction volontaire des individus et des organisations volontaires
on ne leur impose pas d’échanger et de coopérer
s’ils veulent c’est bien, s’ils ne veulent pas c’est leur problème
on peut seulement leur demander que les règles suivies soient les mêmes pour tout le monde s’ils veulent participer tous ensemble
et on se protège contre leurs interventions violentes
cela s’appelle égalité devant la loi, libertas sub lege
(les autres modèles de liberté et d’égalité administrées montrent leurs limites très vite
on patauge dedans, on est embourbé dedans
regarde autour de toi)
si tu penses qu’un modèle libéral n’est pas cela, on ne parle pas de la même chose
«si tu penses qu’un modèle libéral n’est pas cela, on ne parle pas de la même chose»
Justement, malgré la quantité de post, sur la PL et ailleurs, d’articles s’évertuant à définir ce qu’est le libéralisme, il y en a toujours pour se ramener la gueule enfarinée et sortir que le libéralisme, c’est les ricains, que tout est lafotoricains(tm), donc que c’est la faute au libéralisme.
Encore une fois: les Etats-Unis sont parmi les pays les plus libéraux mais l’état américain, qui malgré sa faible taille relative est un des plus gros au monde, est un état comme les autres, alimenté par le racket, donc complètement pas libéral.
Cessez d’associer de façon simpliste et puérile état, en l’occurrence américain, et libéralisme!
Je découvre vos commentaires après une trop longue interruption de visite de la Page Lib.
D’abord merci Marc, Nicolas et autres « Pasquins » et surtout merci à Zozo pour la patience et pour la force des arguments qui m’ont enrichi.
Merci aux autres également pour la contradiction. Même s’il semble parfois difficile de maintenir un niveau minimum de politesse ! Mais bon nous ne sommes pas obligés non plus de rester soft…
Il me faut d’ailleurs puiser dans ce qui me reste de courtoisie pour répondre à monsieur Jeff et à « un centriste issu de DL » (c’est quoi centriste ?) qui nous traite avec délicatesse de « Pasquins se complaisant dans l’enculade libérale sarkozienne ».
Je prends certes note des excuses en fin de commentaire mais je me permets de vous faire remarquer, cher « centriste », que ce genre d’anathème est typique de l’intolérance socialiste.
Vous devez certainement être très satisfait de vous-mêmes et de votre « belle » formule. Nonobstant le fait qu’elle soit très conne, elle témoigne malheureusement de ce talent démontré que possèdent les constructivistes de tout poil pour dégommer l’adversaire à coup de formules propagandistes censées se suffire à elle-même !
Le répertoire déjà édité en la matière est inépuisable et pourrait vous inspirer utilement. Vous pourriez par exemple qualifier Zozo ou moi-même de « cosmopolite bourgeois prosterné devant l’étranger »
Ou vous pourriez paraphraser Aragon lorsqu’il fustigeait la social-démocratie dans les colonnes de l’Humanité « Feu ! Feu ! Sur les ours savants de la social-démocratie ! Feu sur tous les Blum !… » Vous remplacez social démocratie par libéralisme et Blum par Reagan ou Thatcher et nous vous confondrions presque avec ce que vous êtes probablement au fond, un stalinien en herbe (verte !).
Les propos de Zozos sont patients et éminemment tolérants ! Mais vous ne les lisez pas !
Encore et encore les « pasquins » libéraux ne nient pas la possibilité d’un réchauffement climatique ! Nous ne traitons pas les gens « d’écolo-communistes ou de totalitarisme » par plaisir !
Nous essayons seulement d’alerter sur le fait qu’encore une fois un discours de haine (carrément spéciste en ce qui concerne Paccalet et quelques autres malades !) est tenu sur des bases qui ne résistent ni à la logique… ni aux faits.
Les marxistes se complaisent encore dans une théorie de la « valeur travail » fausse sur le papier et dont l’application envers et contre tous a entrainé le meurtre organisé de plus de 85 millions de personne entre 1917 et 1989. Alors permettez nous de nous alarmer que des personnes, surement pleines de bonnes intentions, fondent leurs certitudes sur « la valeur intrinsèque de la nature » !
Ce concept est encore plus insondablement stupide que celui de la valeur travail ! Les fondements logiques n’en sont, à la différence de Marx, même pas proposés ! (un vague brouet Malthusien mâtiné de Club de Rome !…) Et en prime vous voudriez que ce soit consenti sans examen, accepté comme un nouveau dogme !
Pour parfaire votre arrogante construction vous postulez, que la valeur intrinsèque de cette « Nature » la rend intangible par l’homme !
Ce faisant, vous qui prétendez être factuels et concrets, ignorez un fait fondamental : c’est l’homme qui attribue une valeur aux choses qui l’entourent ! Et cette valeur s’établit dans l’échange, que cela vous plaise ou pas ! Vous ignorez, ou feignez d’ignorer, que c’est le colonel Drake qui donne de la valeur au pétrole en en découvrant les vertus phénoménales pour le confort de l’homme… et en percevant les perspectives d’enrichissement personnel qu’il peut en tirer !
Tant que nous ne donnons pas une valeur à quelque chose, elle n’en a pas ! Mais il est vrai que ce bon Colonel n’est sans doute pour vous que le « Père de toutes les marées noires » !
La logique de votre démarche conduit à refuser l’existence même de l’homme ! Car si nous ne pouvons plus toucher à rien c’est pas gagné pour les générations futures !
Vos propos favorables au protocole de Kyoto montrent, si besoin était, que vous êtes malheureusement engagés dans la triste voix de la réification de votre faux concept.
Oh certes ! Comme le dit Zozo c’est pour l’instant moins grave que le Goulag ! Mais c’est aussi plus insidieux et plus continuellement invasif dans la vie privée (« La Grande Nurserie » comme dit Mathieu Laine).
Vous dites « On pollue beaucoup » mais c’est qui ce on ? Vous êtes désignez qui ? Quoi ?
Vous trouvez que Kyoto est une belle preuve d’humanité mais en quoi ?
En quoi cette cohorte de fonctionnaires internationaux, payés avec vos impôts et les miens, glosant des jours entiers dans des enceintes confortables et couteuses pour proposer des mesures coercitives touchant à ma vie sans justification précise est elle une manifestation de solidarité ? C’est quoi la solidarité quand elle est forcée ?
Vous consentez déjà à ce que des hommes de l’état plus ou moins inspirés, ajoutent quelques milliers ou centaines de milliers de fonctionnaires pour sévir dans la bureaucratie floue de la « défense de l’environnement ».
Déjà de merveilleuses réalisations :
• Un ministre communiste (Gayssot) estime raisonnable de détourner une autoroute pour ne pas perturber la vie du Scarabée Pique Prune ! Coût de l’opération nuisances écologique comprises ?
• Une bande de fonctionnaire en délire invente la Pastille Verte (cout de l’opération ?)
• La lumineuse opération des pots catalytiques qui a surement réduit l’émission de particules nocives mais a dans le même temps provoqué la surexploitation des mines de platine notamment à Norilsk avec des conséquences parait-il moyennes sur « l’environnement » !
Et déjà vous êtes pleins de merveilleuses idées :
• Comte Sponville veut interdire ou au moins limiter les bains !
• D’autre veulent taxer ceux qui ne trieraient pas leurs déchets comme demandé !
Qu’est ce que vous croyez ? Que ce sont les sales capitalistes pollueurs qui paieront les salaires des contrôleurs du volume d’eau par personne ? Et pas vous ? Que vous serez « du bon coté du manche » ! Que vous passerez à travers les amendes et les tracasseries administratives ?
Vous rêvez ! Ce sera comme pour le permis à point mes chéris ! Chauffard ou bon conducteur même punition ! Plus de permis si tu roules tous les jours !
Pour votre information (au cas où cela vous aurait échappé !), nous ne survivons dans les conditions qui sont les nôtres qu’en nous appropriant et en transformant ce que nous propose Dame Nature.
Cette Dame Nature que vous idéalisez n’est ni si bonne ni si douce ! Nous devons nous protéger en permanence de ses divers caprices et débordements !
Pour y parvenir les « pasquins libéraux pensent qu’il vaut mieux « laisser faire » et « laisser passer »,
Notre seule chance de nous tirer de tout cela, réchauffement climatique compris, c’est de faire confiance à l’individu et de respecter ses droits de propriétés !
Vous préférez réifier vos faux concepts concevoir, projeter en traitant les hommes et les femmes comme si c’était de la chair à saucisse formatable dans le boyau que vous leur avez prévu !
Alors oui de ce point de vue vous me faites peur !
Bien à vous tous
Malheureusement…
en lisant la’attaque ultra violente de LEILA contre Yves Paccalet, et la suite de violences dans les commentaires..
je ne vois qu’aveuglemment devant les paroles de cassandre…
et, à voir vos violences, vos attaques, vos insultes et guerres d’idéologies anti écologie..
je donne entièrement raison à Yves Paccalet…
——
——
en continuant à polluer, produire, gaspiller, et même fabriquer de nouvelles armes atomiques..
oui, l’humanité est vouée à disparaitre…
j’en fais encore partie.
mais je n’aurai que le regret que cette humanité bientôt disparue, n’ait jamais su trouver sagesse, dsciernement et paix..
vos écrits à tous me prouvent qu’il y a aucun espoir de sauver l’humanité…
atomisez vous bien
je ne reviendrai plus ici.
un h seul de 45 ans, sans enfants
dégouté des violences humaines
Ben dis donc c’est qu’il est malheureux le Guernesey !
Et tu sais pas lire mon gars ! l’ultra violent, le dézingueur d’humanité c’est pas moi ! c’est ton idole de Paccalet qui est un charlatan doublé d’un fasciste notoire !
Moi je les aime mes frères humains !
J’aime échanger, vendre, polémiquer, vivre avec vous tous !
Alors au lieu de te désespérer et de souscrire sans exament à l’imposture ecolo pense plutôt que t’es assez mariole pour survivre et faire face à ta destinée. T’as pas de mômes Guernesey ? navré pour toi, moi j’en ai trois je les aime et je souhaite qu’ils vivent libres.
Tu reviendras pas sur la PL ? Ben tant pis pour toi ! Tu vas rater des débats super sympas !
Sinon trouve toi une meuf ! il y en plein de sympas ! Même des écolos ! (Sauf Kosciusko Morizet mais tu t’en fout elle est déja prise !
L.E.I.L.A, j’ai eu l’occasion de lire le texte de Paccalet et sans vouloir abuser, il faut reconnaitre que votre diatribe manque sérieusement de profondeur.
« Tu reviendras pas sur la PL ? Ben tant pis pour toi ! Tu vas rater des débats super sympas ! »
y’a plus de débats depuis bien longtemps depuis que les libermémère qui savent tout mieux que les autres ont décidé de tuer le débat à la racine.
J’ajoute que de critiquer un livre ou un gus sans avoir lu plus loin que le 4ème de couverture c’est un peu gonflé.
Quant à Mme Kosciusko Morizet, elle est peutt être parlementaire, mais je pense qu’elle s’y connait un chouia plus que vous en risque industriel et dans la politique du risque en général. (D’après ce que j’ai lu, vos connaissances scientifiques s’arrêtent au niveau du cours élémentaire).
Passons.
la politique du risque en général
c’est quoi ça?
Merci de votre amabilité. Je sais pas si ma « diatribe » manque de profondeur mais votre propos ne répond pas aux problèmes soulevés par les propos spécistes de M. Paccalet. En prime ,comme le souligne Zozo avec pertinence, vous balancez des concepts comme « politique du risque » dont chacun est en droit de se demander ce qu’ils recouvrent.
Je suis nul en sciences. soit. Paccalet lui est trés bon c’est sur. Je n’ai jamais douté de ses merveilleux talents de botaniste et de spécialiste des poissons !
Là où il « déconne » c’est qu’il infère de son observation du milieu marin que l’homme n’est qu’une merde et un hote parasite de Gaïa.
Pardonnez moi cher Richard M, génie des sciences auto proclamé non concerné par les qualificatifs utilisé par son pote Paccalet, mais c’est une vision que je ne peux admettre.
Je persiste à trouver cela insultant à mon égard !
Et cela vaut pour la Koscusko Morizet ! député polytechnicienne et alors ? En quoi cela l’autorise-t-elle a préconiser activement taxes, encadrement et normes coercitives de comportement ?
Quand bien même il y a réchauffement (durable ou pas vous n’en savez pas plus que moi) ce que nous disons ici (Zozo, moi et quelques autres « Pasquins ») c’est que :
1 – les solutions coercitves sont toujours plus « polluantes ». La mer d’Aral et Tchernobyl (entre autres calamités) sont des résultats de l’irresponsabilité d’un régime totalitaire !
2 – Les solutions respecteuses des droits de l’homme (à commencer par le droit de propriété) et de la Liberté individuellle ne sont pas parfaites (les libéraux ne croient pas à la perfection) mais plus efficientes car elle partent du principe que les hommes aprennent de leurs erreurs.
Quant à « libermèmère » c’est un nouveau concept dont je meurre de connaître le contenu !
Vous dites qu’il n’y a plus de débat ! Soit mais vous avez quand même écrit le 27 ème commentaire sur ce post !
Allez je vais vous faire plaisir Richard M. je crois que je vais quand même lire le chef d’oeuvre du Paccalet (si possible sans l’acheter !) car vous avez raison sur un point : j’aurais du m’obliger à lire ces conneries « in extenso » avant de donner un avis.
Salutations au maitre de toute les sciences.
« En prime ,comme le souligne Zozo avec pertinence, vous balancez des concepts comme “politique du risque†dont chacun est en droit de se demander ce qu’ils recouvrent. »
La politique du risque, c’est justement de se poser la question de comment gérer tel ou tel risque d’après les informations dont on dispose. Chaque entreprise tente de le faire avec plus ou moins de succès mais elles travaillent toutes en relations avec les autorités publiques qui tentent avec plus ou moins de succès d’organiser cela.
« Là où il “déconne†c’est qu’il infère de son observation du milieu marin que l’homme n’est qu’une merde et un hote parasite de Gaïa. »
Relisez donc votre définition du parasitisme et vous vous rendrez certainement compte que certains comportements humains à l’égard de la nature sont parasitiques.
« Pardonnez moi cher Richard M, génie des sciences auto proclamé »
Pas autoproclamé, pas besoin. J’ai juste des bouts de papiers qui me disent que je suis un scientifique : un petit certes, mais j’en suis un. J’ai même 4 ou 5 publications qui attestent de mon travail. Passons.
« non concerné par les qualificatifs utilisé par son pote Paccalet, mais c’est une vision que je ne peux admettre. »
Que vous ne l’admettiez pas, certes. Mais d’aller jusqu’à l’invective.
« Et cela vaut pour la Koscusko Morizet ! député polytechnicienne et alors ? En quoi cela l’autorise-t-elle a préconiser activement taxes, encadrement et normes coercitives de comportement ? »
Demandez aux guignols qui ont a subir les déversement inopinés de métaux lourds dans leurs environs, ou ceux qui sont pollués par les insectes nuisibles suite à l’installation de telle ou telle autre industrie. Ou enfin, la découverte par les scientifiques que tel produit que l’on utilise présente un danger pour la santé jusqu’à présent inconnu et qu’il faut trouver une alternative… C’est tellement bon de bouffer du vioxx au petit déjeuner arrosé d’une bonne cuiller de lait de vache polluée au cadmium.
« Quand bien même il y a réchauffement (durable ou pas vous n’en savez pas plus que moi) ce que nous disons ici (Zozo, moi et quelques autres “Pasquinsâ€) c’est que : »
M’en cogne du réchauffement, j’ai toujours dit que l’on avait pas assez d’info et que les modèles étaient plus que curieux.
« 1 – les solutions coercitves sont toujours plus “polluantesâ€. La mer d’Aral et Tchernobyl (entre autres calamités) sont des résultats de l’irresponsabilité d’un régime totalitaire ! »
Quid de Three Miles Island ? C’est aussi un regime totalitaire ? Si vous voulez aller dans ce sens, regardez ce que la déreglementation peut produire dans les villes qui retraitent les déchets industriels et les métaux lourds…
« 2 – Les solutions respecteuses des droits de l’homme (à commencer par le droit de propriété) et de la Liberté individuellle ne sont pas parfaites (les libéraux ne croient pas à la perfection) mais plus efficientes car elle partent du principe que les hommes aprennent de leurs erreurs. »
Bien sur… La FDA a été mise en place parce que des margoulins vendaient des saletés qui ont tués et fait du mal aux gens. En 2006 rien à changé, il y a toujours autant de salopards qui essaient de mettre sur le marché des merdes. Sans réglementation, ils ne se gêneraient pas un seul instant. La réglementation REACH qui va entrer en vigueur va certainement emmerder plein de monde, mais de l’autre côté, elle va permettre de renseigner la population sur les risques associés par tel ou tel autre produit, ce que nombre d’industriels redoute car cela va les forcer à changer leurs pratiques douteuses.
« Quant à “libermèmère†c’est un nouveau concept dont je meurre de connaître le contenu !
Vous dites qu’il n’y a plus de débat ! Soit mais vous avez quand même écrit le 27 ème commentaire sur ce post ! »
La PL n’est plus ce qu’elle était : si vous aviez un tant soit peu suivi la chose depuis un peu plus longtemps vous auriez remarqué que les différentes factions de libéraux sont en bisbilles sur l’internet francophone…
« Tchernobyl (entre autres calamités) sont des résultats de l’irresponsabilité d’un régime totalitaire »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_accidents_nucléaires
http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_Carbide
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Bhopal
salut à toi Richard
ainsi tu reviens en force
lève un peu le nez de ton guidon scientifique et regarde ce que tu écris
« La politique du risque, c’est justement de se poser la question de comment gérer tel ou tel risque d’après les informations dont on dispose. »
Oui. Disons les connaissances plutôt que les informations. Il faut savoir quoi faire des informations dont on en est sursaturé, ce que tu sais dans ton état de chercheur de haut niveau. Chacun le fait constamment à son niveau consciemment ou pas.
« Chaque entreprise tente de le faire avec plus ou moins de succès mais elles travaillent toutes en relations avec les autorités publiques qui tentent avec plus ou moins de succès d’organiser cela. »
mais elles travaillent contraintes et forcées avec les autorités publiques qui ne sont pas spécialement bien équipées pour ce faire et pourraient se contenter de faire respecter les principes de responsabilité et de propriété privée : indemnisation par le responsable de celui qui est lésé. Les ressources publiques seraient mieux utilisées en ce sens.
Les « autorités publiques » sont multiformes, incohérentes, contradictoires, sans mémoire dans leurs différentes incarnations humaines. Deux exemples parmi beaucoup d’autres :
Pollution fluviale importante en aval d’une ville, pollution domestique. La drire constate, classe les mesures comme confidentielles, des années de délais… et se concentre sur la surveillance de la très grosse usine du coin qui respecte les normes et au delà .
Toulouse. Une explosion. L’usine originelle onia (office national des industries de l’azote) a été construite à la campagne. Plus tard, les permis de construire ont fleuri au voisinage. (Cela ressemble à Bhopal, mais là bas c’étaient des bidonvilles). Pourtant il y avait eu entre temps une énorme explosion dans une usine de produits de l’azote à Ludwigshafen. Certains locaux en étaient d’ailleurs très fiers : « leur explosion » avait fait beaucoup plus de dégâts que les bombardements de la guerre !
La politique du risque a un très grand avatar moderne. Elle dérive vers le principe de précaution qui atteint des sommets. Particulièrement vicieux : On ne sait pas donc on sait ce que l’on ne doit pas faire ! pour ne pas faire il faut faire autre chose et on l’impose ! Quasi imparable si on choisit bien son sujet. Exemple le réchauffement : l’échéance de vérification est la fin du siècle ; toutes les déviations par rapport à une normale que l’on ne sait pas définir seront imputées au réchauffement ; on est déjà prévenu. Pratiquement tous les programmes chers aux étatistes, interventionnistes, régulateurs, peuvent trouver leur place dans le fourre tout planétaire. Madame KM a trouvé une merveilleuse niche écologique !
La FDA itou. On part d’une bonne intention et le résultat après quelques décennies est qu’il y a des morts « selon les normes » par dizaines de milliers, dus à des médicaments homologués et des procédures approuvées. Personne n’en fait un fromage, personne n’y a intérêt. En conséquence de quoi on a stérilisé toute une partie de recherche diversifiée et spontanée sans que l’on sache si le coût n’est pas beaucoup trop élevé. On ne sait plus où sont les charlatans. Pasteur en était-il un ?
« elle va permettre de renseigner la population sur les risques associés par tel ou tel autre produit, ce que nombre d’industriels redoute car cela va les forcer à changer leurs pratiques douteuses. »
Imagine les problèmes qu’aurait un industriel avide aujourd’hui s’il voulait produire et vendre des couteaux si ce n’était déjà fait depuis des millénaires.
On s’efforce d’élever des zombies qui ont le droit d’avancer en toute sécurité les yeux fermés et qui peuvent faire sécher le chat dans le micro onde si on ne les a pas expressément prévenus que c’était à éviter. Ils ne sont cependant pas zombies quand il s’agit d’élire Madame KM et ses compagnons. Ce sont alors des « citoyens responsables, informés, intelligents voire très subtils. » (extrait composé de paroles de politiques parlant de leurs électeurs potentiels.)
« parasitisme de la nature »
un être vivant peut en parasiter un autre ou des autres. Madame KM et ses compagnons nous parasiteraient-ils ? mais des objets inanimés ? Qu’est ce que tu penses être « la nature » ? le lichen parasite-t-il le granit ?
Méfie toi de la nature ou de la planète. N’y vas pas vêtu de ta seule candeur et armé d’un seul couteau. Tu sais ce qu’elle vient de me faire la planète ou la nature ? elle m’a attiré dans un endroit très beau et sur l’itinéraire a recouvert une dalle rocheuse d’une fine couche de verglas. Pas grave à côté des continents qui dérivent et qui nous amènent Dieu sait où. Madame KM ne sait pas encore comment les ancrer. Une modification du levier d’Archimède ?
« les différentes factions de libéraux sont en bisbilles »
oui cher Richard, oui et il y a des discussions extra.
Quelques sujets : anarcho-capitalisme ou minarchisme ? s’opposer au pouvoir ou essayer de le canaliser et l’améliorer ? … etc.
et le top du top : les fondements de l’éthique à partir d’un seul axiome ou de principes pas entièrement diamantinement purs ? avec la seule raison ou aussi avec un peu de tradition et d’empirisme évolutif ? extra, extra, on peut même placer du gödel en analogie !
Cependant ces sujets sont très très en amont des discussions avec les non les libéraux qui ne s’y intéressent jamais et n’en comprennent pas la raison.
PS : pas besoin de lire le livre de Monsieur Paccalet. Google « Paccalet » et tu trouveras une interview où il y a l’essentiel d’une misanthropie qui ne manque pas de profondeur.
« Disons les connaissances plutôt que les informations. »
Il me semble que l’on récolte des informations afin de les transformer en connaissances. Dans le cas de la politique du risque, on en est toujours à discuter de la pertinence ou non des informations, de la façon de les interpréter et ensuite d’en tirer des conclusions que tout le monde accepte…
« mais elles travaillent contraintes et forcées avec les autorités publiques qui ne sont pas spécialement bien équipées pour ce faire et pourraient se contenter de faire respecter les principes de responsabilité et de propriété privée : indemnisation par le responsable de celui qui est lésé. Les ressources publiques seraient mieux utilisées en ce sens. »
Elles travaillent contraintes et forcées et c’est la meilleure chose qui soit car sinon elles ne le font pas. En l’état actuel des choses, sans cette contrainte (voir REACH, pros & cons) elles ne font que réfuter les informations pour pouvoir continuer leur business, c’est un impératif économique simple : ca coûte.
Prenons les industries chimiques et pharmaceutiques : quand on a l’occasion de se rendre compte de quelle manière sont effectuées les études cliniques où l’on teste généralement le placébo contre le candidat et que les effets secondaires sont minimisés voire même éradiqués des résultats pour permettre une meilleure promotion du produit on est en droit de se demander en tant que victime potentielle ce qui se passe. Ce que j’aime le plus c’est de voir quand il y a eu des responsabilités évidentes a quel point il est difficile d’indemniser les victimes… A quel point la justice devient une farce.
Il y a tant d’anecdotes à ce sujet… mais au fait, une anecdote plus une anecdote plus une autre (et ainsi soit il), cela ne fait il pas une représentation de la réalité ?
« Deux exemples parmi beaucoup d’autres : »
Si vous souhaitez prendre en compte tous les accidents industriels, chimiques et nucléaires il me semble que vous verrez qu’il n’y a pas de schéma clair qui se dessine…
« Pollution fluviale importante en aval d’une ville, pollution domestique. La drire constate, classe les mesures comme confidentielles, des années de délais… et se concentre sur la surveillance de la très grosse usine du coin qui respecte les normes et au delà . »
Et alors ? Primo j’ignore la spécialité de l’usine, deuxio j’ignore les raisons de la pollution de la ville. Quelles conclusions voulez vous tirer ?
« Toulouse. Une explosion. L’usine originelle onia (office national des industries de l’azote) a été construite à la campagne. Plus tard, les permis de construire ont fleuri au voisinage. (Cela ressemble à Bhopal, mais là bas c’étaient des bidonvilles). Pourtant il y avait eu entre temps une énorme explosion dans une usine de produits de l’azote à Ludwigshafen. Certains locaux en étaient d’ailleurs très fiers : « leur explosion » avait fait beaucoup plus de dégâts que les bombardements de la guerre ! »
Je trouve que c’est toujours intéressant de comparer ce qui n’est pas comparable : quid de la responsabilité des vendeurs ? quid de la responsabilité de l’usine (périmètre de sécurité) ? quid de la responsabilité des acteurs locaux (qui en plus d’être des magistrats sont des hommes, voire même des propriétaires terriens) ? Quant à Bhopal, toujours pas de résolution…
« La politique du risque a un très grand avatar moderne. Elle dérive vers le principe de précaution qui atteint des sommets. Particulièrement vicieux : On ne sait pas donc on sait ce que l’on ne doit pas faire ! pour ne pas faire il faut faire autre chose et on l’impose ! Quasi imparable si on choisit bien son sujet. »
Le principe de précaution est certainement un problème, cependant, nier que la consommation d’un litre d’octane par une voiture consomme plus de 7 m3 d’air produit plus d’1m3 de CO2 et 1/2m3 de vapeur d’eau et que la différence avant/après est problématique tant au niveau purement chimique, thermodynamique ou même biologique, eh bien c’est du foutage de gueule.
« Exemple le réchauffement : l’échéance de vérification est la fin du siècle ; toutes les déviations par rapport à une normale que l’on ne sait pas définir seront imputées au réchauffement ; on est déjà prévenu. »
JE ME REPETE : JE M’EN COGNE !
« La FDA itou. On part d’une bonne intention et le résultat après quelques décennies est qu’il y a des morts « selon les normes » par dizaines de milliers, dus à des médicaments homologués et des procédures approuvées. Personne n’en fait un fromage, personne n’y a intérêt. En conséquence de quoi on a stérilisé toute une partie de recherche diversifiée et spontanée sans que l’on sache si le coût n’est pas beaucoup trop élevé. On ne sait plus où sont les charlatans. Pasteur en était-il un ? »
Il est vrai qu’entre temps rien a changé, n’est ce pas ? Tant au niveau des résultats qu’au niveau du financement et des responsabilités (OGM, nanotechs, etc)…
Quant à Pasteur, cette histoire comme quoi ce ne serait qu’un charlatan : je vous laisse prendre du silanol au petit déjeuner…
« Imagine les problèmes qu’aurait un industriel avide aujourd’hui s’il voulait produire et vendre des couteaux si ce n’était déjà fait depuis des millénaires. »
Nous ne sommes pas en face du même type de risque et nous n’avons pas les mêmes avantages. Un produit qui a des effets cumulatifs sur l’organisme de celui qui le consomme et sur ses enfants n’a pas le même impact qu’un couteau. Pourquoi n’avons-nous plus de peintures au plomb par exemple ?
« Qu’est ce que tu penses être « la nature » ? le lichen parasite-t-il le granit ? »
Ce que je pense être la nature, c’est un ensemble écologique dans lequel il existe un équilibre biologique. La destruction de cet équilibre est inquiétante et problématique. Jusqu’à présent l’argument d’ «utilité» ne saurait répondre au questionnement scientifique.
« oui cher Richard, oui et il y a des discussions extra. »
Ah bon ? J’avais cru saisir qu’en dehors des ultras d’un bord et de l’autre il n’y avait plus beaucoup de discussion. Sauf si pour vous des : « oh, c’est génial » ou des « mais vous avez tout à fait raison mon cher ami » sont une forme de discussion.
« les non les libéraux qui ne s’y intéressent jamais et n’en comprennent pas la raison. »
J’ai toujours trouvé puéril les qualifications libéraux/ non libéraux : supérieurs/inférieurs… et tutti quanti. Cette attitude est toujours aussi nuisible pour le libéralisme…
« PS : pas besoin de lire le livre de Monsieur Paccalet. Google « Paccalet » et tu trouveras une interview où il y a l’essentiel d’une misanthropie qui ne manque pas de profondeur. »
Oh lala qu’il est vilain ce méchant paccallet. Ceci dit votre dernière phrase clos parfaitement votre propos : « pas besoin ».
Richard tu es étonnant.
Tu es un chercheur.
Professionnellement tu pratiques le doute critique.
Mais quand tu passes aux autorités publiques, tu es dans le domaine de la foi.
Tu penses que les autorités publiques vont corriger ce qui ne marche pas, qu’elles vont réussir. Il suffit d’augmenter le degré de contrôle et de régulation a priori. Il suffit d’augmenter leurs moyens.
Elles vont avoir une action de qualité.
Pourtant tu donnes des exemples de ce qui ne marche pas.
Dans le domaine du contrôle des industries chimiques et pharmaceutiques, où l’appareil réglementaire est déjà énorme.
Tu analyses quelques raison de douter des autorités municipales. Que penses tu des autorités départementales, régionales, nationales, européennes ? Tu ajoutes même la justice. Tu notes aussi que les acteurs publics sont des hommes.
Tu crois en la gestion bureaucratique qui n’est pas un appel à la responsabilité, à l’initiative et à l’esprit critique des acteurs, de tous les acteurs, mais un suivi de règles formelles censés tout prévoir, et protéger de tout.
Demandes toi si ce que tu penses être la solution n’est pas en fait la plus grande partie du problème.
Pourquoi veux tu rajouter une couche supplémentaire de ce qui ne marche pas au lieu d’essayer autre chose qui s’appuie sur les mécanismes du comportement humain que tous pratiquent, sur les incitations auxquelles tous répondent ?
Pourquoi penses tu que des industriels puissent prospérer en fabriquant des produits dangereux, inutiles, inefficaces? Crois tu cela ne se saura pas, et que leurs clients continueront comme si de rien n’était? Tu es vraiment pessimiste quant aux uns et aux autres.
Évidemment on ne pourra jamais savoir ce que l’on a perdu en étouffant les initiatives ; on a perdu tout état de référence, et la terre continue à tourner pendant ce temps.
Tu as raison sur le cumulatif. C’est dangereux. On meurt beaucoup plus de cumulatif
que de coups de couteau. Le vase finit toujours par déborder et c’est la bière.
On sait que les périodes de liberté plus grande ont donné des résultats étonnants. Explosion des populations, disparition des famines, allongement de la vie, dans les aires géographiques concernées. (Voir le Manifeste Communiste.) Bien sûr, beaucoup trouvent que ce n’est ni assez, ni bien. D’autres auraient préféré ne pas naître ou auraient préféré mourir en bas âge. Monsieur Paccalet trouve qu’il en a beaucoup, beaucoup trop d’autres (dont il n’a pas besoin pense-t-il). De gustibus non disputandum. (Ne discutons pas des goûts et des couleurs.)
« d’en tirer des conclusions que tout le monde accepte… » Aucune risque Richard.
« La destruction de cet équilibre ».
Richard tu sais très bien que ce type d’équilibre ne se détruit pas. Il se déplace. Il s’est déplacé depuis le « tout gaz carbonique » des origines de la vie sur terre jusqu’au « pas mal d’oxygène » d’aujourd’hui. La meilleure chance de l’humanité est la diversité dans la liberté, qui lui permet de s’adapter rapidement à l’inattendu et l’inconnu. Les autorités publiques souhaitent l’uniformisation (harmonisation) et le contrôle (régulation). C’est dangereux.
« J’ai toujours trouvé puéril les qualifications libéraux/ non libéraux »,
alors il faut le dire à 90% ou plus de la population française. ‘Libéral’ avec adjectifs ou adverbes associés, est devenu quasiment un insulte réservée aux ennemis du genre humain.
Réfléchis à la distinction entre information et connaissance. Elle est intéressante. Tu peux partir du problème de l’apprentissage d’une langue ou de la formation initiale d’un professionnel. Entre l’information, qui est immédiatement disponible, et la connaissance il y a des années de travail personnel. Comment se placent tes connaissances par rapport aux immenses bibliothèques et sources d’informations auxquelles tu as accès ?
On croit avoir fait son travail en fournissant des informations. On en est à peine au début. C’est ce qui rend très souvent les discussions si difficiles. On joue au ping pong ; c’est amusant mais pratiquement inutile si on ne touche pas aux connaissances de celui qui ne fait pas un certain effort parce qu’il n’en a soit pas le temps soit pas l’envie.
Paccalet est fatigant et décevant : il peut toujours dire qu’il y aura la vie après l’homme. Une énième extinction après tant d’autres et avant d’autres encore. On le sait tout ça.
Mais ce soi-disant philosophe de formation, qui découvre avec dépit et sur le tard que l’homme est un animal comme les autres et inversement, qui ne sait toujours pas que Nietzsche n’a jamais écrit un livre appelé « La volonté de puissance », tient des propos à la fois nostalgiques et futuristes complètement délirants : le « pataquès » qu’il dénonce, c’est le sien.
De son engagement soixante-huitard à ses voyages, il a toujours été dépassé par une réalité qui ne répondait pas à ses voeux. On lui parle de réalités humaines (dans tous les sens du terme), de ces villageoises du Penjab ou d’ailleurs qui peuvent vivre modestement leur petite vie grace au micro-crédit de Yunus et ce grand déçu de tout s’esquive sur des querelles de petites-bourgeoises féministes d’antan qu’il a connues. A l’appui de toutes ses thèses négatives, un coq-à -l’âne perpétuel que même un altermondialiste sommaire ne se permettrait pas. Les thèmes les plus dramatiques, qui mériteraient un abord ciblé des plus sérieux, côtoient l’amplification grotesque : le polpotisme écologiste comme solution finale aux prénazis de naissance que nous sommes.
Il rêve de « vie primitive » sans se douter que les primitifs, ou que les familles qui vivaient « comme au XIXème siècle », pouvaient « rêver » pour la plupart de bien autre chose qu’un système d’auto-régulation féodal ou tribal, à plus forte raison les femmes. Comment croit-il que l’on « s’interdisait » toute expansion démographique? On ne s’interdisait pas en accord avec la nature : on crevait avant l’âge, on étouffait sa vie et celle des autres, c’est tout.
On ne peut être manichéen quand on se prétend scientifique et anthropologue : il n’y a pas les totalement bons et les totalement méchants; si certains rêveurs déplorent le recul de la « vie primitive » des papous et des amazoniens, on ne peut fermer non plus les yeux sur l’introcision des fillettes et leur viol collectif rituel dans certaines de ces tribus, du Pérou à l’Australie, même si cela a lieu dans le plus strict respect de l' »Ã©quilibre naturel ». Le mal est partout, mais l’aspiration à la joie, aux plaisirs et à la liberté aussi et pas nécessairement au détriment des autres, ou contre la nature, mais le plus souvent contre sa propre culture.
Franchement, c’est à se demander s’il a plus aimé ses rêves que les hommes et les femmes qu’il a pu rencontrer, même viciés par le « consumérisme ». Il aurait du se pencher sur le sexe plutôt que de le laisser aux autres spécialistes (c’est ce qu’il dit!), il aurait au moins appris à aimer quelque chose. Comme penseur ex-68, je lui préfère largement Raoul Vaneigem, qui n’est pas encore aigri. Mais c’est personnel.
j’aime bien lire les interprétations d’un scientifique, en l’occurence Lavoissier, par un pseudo savant
vous me faites rire mais me remplissez de chagrin
j’aime votre optimisme irresponsable, vous êtes les ayatollahs du progrès!
quel monde laisserez-vous à vos rejetons?
« comprendre, apprivoiser et transformer notre environnement »
ce n’est pas suivre bêtement nos soit-disant penseur, dominer et détruire
« sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme » disait Rabelais vous qui aimez les citations, alors interprétez celle-ci comme il vous plaira mais votre insouciance me fout des frissons dans le dos!!!
vous foutez les jetons!!
continuez a crier liberté et enfermez-vous derrière des murs pour vous protégez des gens que vous pillez !!!
je finirais par cette petite réflexion
« ceux qui croient à une croissance infinie dans un monde fini, sont des fous ou des économistes »
et oui je crois à la décroissance de nos biens matériels
« moins de biens, plus de liens »
l’écologiste libertaire te salue!!
désolé de venir perturber vos belles théories libérales
et merci d’être parvenu au terme de ce texte.
que cela doit être dur pour vous, essuie tes larmes car tu es triste pour être si méchant!!!
ps: comment peux-tu lire un livre qui te débecte autant???
car moi vos théoriciens a 2 sous, je n’arrive pas à les lire!!
cependant je ne défend pas M.Paccalet car je n’ai pas lu ces livres mais vos commentaires sont….?, la langue n’est pas assez odieuse pour juger vos balivernes
« hasta la victoria siempre »
Je suis tombé par hasard sur ce site, et j’ai commencé à sourire avant de comprendre que vous pensiez ce que vous ecrivez. J’ai rarement lu un tel tissu de conneries. Vous dénigrez un livre que vous n’avez pas lu, vous interprétez au premier degré et vous utilsez vous-même l’anathème sans honte.
Pour du libéral, ça sent l’extrême-droite à plein nez, vous devriez publier dans Minute (si ce n’est déjà fait !).
Nous faisons sûrement pas parti de la même humanité.
PS : pas la peine de repondre, je ne reviendrais pas sur ce site
Mais bien sûr, on est tous des nazis! et les écolos qui veulent éliminer les 9/10èmes de l’humanité, ils sont quoi ?
quel plaisir de lire une argumentation aussi construite. :)
du pur bonheur, je faisait juste une recherche sur nos amis malthusiens et je suis tombé sur cet article… je bois du petit lait…
formidable.allez faire un tour sur mon blog
http://www.passion-mais.com
sans aucune prétention mon avis sur mon métier d’agriculteur et notamment sur les ogm;
Depuis l’antiquité grec, on sait que la terre est ronde ou plus précisément que la terre est une sphère. Or une sphère a une surface limitée et un volume limité. Donc les ressources naturelles (pétrole,minerai,eau,…) nécessaire à notre développement ne peuvent être que limitées et non infinies.
On sait que le pétrole va poser bientôt problème, peu importe si c’est dans 10 ou 100 ans, un jour ou l’autre il faudra s’en passer. Mais les minerais aussi vont devenir rares, pas seulement l’uranium dont les réserves sont estimées à 70 ans, le charbon estimé à 200 ans,mais aussi la plupart des minerais utilisées par les nouvelles technologies ont des réserves estimées à quelques dizaines d’années. La plupart des stocks de poissons sont quant à eux estimés à 10% de ce qu’ils étaient dans les années 50.
Il y a biensur le recyclage qui permet de récupérer une partie des ces matières premières. Mais dans le meilleurs des cas on ne peut récupérer que 80% du matériaux d’origine.
Dans ce contexte de réserves naturelles limitées, pouvez vous m’expliquez clairement comment continuer à soutenir un modèle économique basé sur une croissance infinie ?
merci.
dans ce contexte de réserves naturelles limitées, pouvez-vous m’expliquez clairement comment continuer à soutenir un modèle économiste basé sur une croissance infinie ?
MERCI, j’ai 12 ans même les enfants peuvent être intéréssé