A lire sur le site inégalités.org: Doit-on alors abolir la famille ?:
La famille est une des causes principales d’inégalité moralement arbitraire. Ce n’est pas une inégalité qui profite à tous ; et avoir une famille n’est pas inévitable. Pourquoi préférerait-on alors une famille à un orphelinat généralisé et bien tenu, surtout si l’on fait soi-même partie des plus démunis ?
Donc il faut retirer les enfants aux familles, surtout pour les plus démunis. Et encore:
si nous souhaitons vraiment une garantie de la prise en charge de chaque individu par les institutions politiques, alors ces dernières ne devraient pas imposer, ni présumer l’existence de liens d’affection dans la communauté ou la famille. Une seconde implication de notre réflexion, peut-être plus surprenante, pose qu’il ne devrait pas y avoir de mariage sanctionné par l’État.
Surprenant, une étatiste forcenée qui propose une mesure libérale (la suppression des mariages étatisés) ? Mais ne vous y trompez pas, c’est uniquement parce que ces gens là préfèrent l’Etat à tout le reste. La famille ? Nuit à la justice sociale, à interdire de toute urgence:
La famille pourrait changer si significativement que nous ne saurions la reconnaître. Mais n’est-ce pas ce qui risque d’arriver de toutes façons ?
Alors autant précipiter les changements, hein ?
Si besoin en était,ceci révèle dans toute son horreur un
agenda caché de la gauche collectiviste,à travers le
discours obsessionnel d’un de ses intellectuels niveleurs.Acharnement à dètruire les communautés naturelles susceptibles de faire ombrage aux desseins de l’Etat.Etonné de trouver dans la bibliographie des références libérales:est-ce un alibi?
Quelle monstruosité ce texte !! Bienvenue dans le meilleur des mondes …
Après cette belle question :
Doit-on alors abolir la famille ?
Je propose :
Doit on abolir l’être humain ?
Je soutient que si l’on soustrait tout le malheur du monde au bonheur, le total est négatif (toutes les études le prouvent). L’exécution sommaire -une balle dans la nuque, on est pas des barbares quand même- de toute l’humanité rétablirait la balance à 0.
CQFD
Je ne m’attendais pas à ce qu’il réclame la fin de la famille aussi ouvertement. le discours s’était fait plus soft, plus insidieux, la on revient a 1984.
La gauche cherche clairement a détruire la famille, ce n’est nullement un fantasme de « néo conservateurs » comme le prouve ce texte. Derriére tout les grands discours sur la liberté gagné face a la structure familiale se cache le réve totalitaire d’un état surpuissant devant lequelle l’individu est isolé.
C’est le propre des systémes totalitaires de détruire les liens entres les individus.
Le pire c’est que tenir de telles discours totalitaires passe toujours trés bien en europe, l’auteur de cette article travaille à l’UCL (université catholique de Louvain) mais attention ca passe si vous vous réclamez de la gauche ce qui vous donne droit à énoncer les pires horreurs. Comment peut on encore laisser des gens aprés la barbarie nazie et communiste en europe proner des mesures qui ménent vers un état totalitaire.
Protestons auprés de l’ucl, qu’il virent cette bolchévique, qu’elle aille vanter les vertus du communisme en corée du nord.
> Je propose :
> Doit on abolir l’être humain ?
> Je soutient que si l’on soustrait tout le malheur du monde au bonheur, le total est négatif (toutes les études le prouvent). L’exécution sommaire -une balle dans la nuque, on est pas des barbares quand même- de toute l’humanité rétablirait la balance à 0.
Tiens, ça me fait penser à une petite définition que j’avais notée:
Communisme:
Idée généreuse.
Tire son appellation de la fosse commune.
Il n’y a pas plus égalitaire qu’une fosse commune…
Horrible, comment ose-t-on encore penser à ces « solutions ? »
Hitler, Staline, Mao, Castro (entre autres démocrates) ont mis en application ce type « d’éducation », on connait la suite.
e qui est à la fois significatif et inquiétant,c’est que
derrière cet « Observatoire des inégalités »oú cette thèse
délirante est exposée,il y a un « comité scientifique »qui
« oriente les publications »…Ce comité est composé de
fonctionnaires de service public et d’universitésjuristes,économistes,sociologies,philosophes
….!Donc sociologiquement parlant,la « gauche-caviar »…
mais avec quel sinistre subconscient pour accoucher de tels projets…
Ils croient surtout pouvoir réussir là ou de nombreux échecs marquent un chemin semé de cadavres… On pourrait appeller cela de l’archarnement thérapeutique.
Dans un précédent post, j’avais mentionné la notion de « capital social », héritée de Bourdieu, qui fait de la famille le principal vecteur des inégalités sociales et de la reproduction des classes sociales.
Le spectre de l’EHESS rôde encore : il n’en finit pas malheureusement de faire des adeptes… et de leur souffler que la fixation autoritaire des salaires et nos contraintes administratives et fiscales n’y sont pour rien dans l’absence de mobilité sociale.
Je crois que vous ne comprenez pas qu’il ne s’agit que de « polémique ».
La société libérale repose entièrement sur ll’idée que c’est le MÉRITE INDIVIDUEL qui détermine la position dans l’ordre sociale. L »auteur de l’article en question ne fait rien d’autre que que de « s’amuser » à exposer la contradiction entre cette théorie (de l’autonomie de l’individu, de la responsabiltié individuelle, etc). et le traitement préférentiel accordé par l’État à l’INSTITUTION FAMILIALE qui est un COLLECTIF, d’une part, et le fait que les théoriciens libéraux prennent la famille comme un fait « naturel ».