« On est dans une société de plus en plus libérale » (sous-entendu de moins en moins « solidaire »…) est le commentaire qui est sorti de la bouche de l’ORDURE, la pourriture communiste Patrick Braouezec – interviewé le vendredi 20 août dans le journal de 18h d’Europe 1 – pour expliquer le tragique fait divers relaté ici par Libération (A Saint-Denis, un père et sa fille de six ans ont péri – Leur appartement était éclairé à la bougie après qu’EDF avait coupé le courant).
Un tragique fait divers d’ailleurs à propos duquel il y aurait bien d’AUTRES commentaires à faire !
Il faut en finir avec les communistes. Jeter à la corbeille le disque rayé qui leur sert de cerveau. Ne plus tolérer leur bêtise et fustiger la presse qui s’en fait l’écho. Leur misére intellectuelle et politique est ici inséparable de la politisation immonde, à seule fin d’énoncer le procès imaginaire-idéologique d’une réalité (y compris la réalité humaine) qui leur a toujours échappée. Le communisme aurait dû, depuis toujours, figurer dans le rapport des sectes réputées dangereuses : Apocalyptisme, fanatisme, activisme, propagande, excommunications, épurations et purges en tout genre. Potlachs économiques et exterminations. Demain, j’irai travailler pour gagner mon pain, et aussi payer mes impôts et ma facture EDF. Ainsi, l’État français, le Conseil Général de Seine Saint-Denis, les ASSEDIC et l’EDF puissent subventionner la pauvreté bien entretenue par le Fond Social Energie. J’essaierai d’être aussi vigilant et responsable chez moi et dans mon travail afin d’éviter tout accident qui serait fatal à mes proches ou à moi-même : je ne tiens pas à ce que Braouezec déverse une autre de ses « oraisons funèbres » dans la presse à sensations.
Le soi-disant « parti des 75000 fusillés » a toujours aimé travestir la vérité [et faire oublier le pacte germano-soviétique…, NDR]. Les marxistes les premiers ont eu l’idée de manipuler les masses avec une réthorique bien rodée. Ainsi les opposants aux communistes étaient-ils pendant longtemps décrits par eux comme des « fascistes » ou des « réactionnaires », les communistes se voyant quant à eux autoproclamés forces de progrès. Braouzec est juste un pitre qui essaie de nous faire croire qu’il a la fibre sociale. Quand on voit l’état pitoyable de sa ville et de son département malgré les milliards injectés en pure perte par l’Etat, on a juste envie de constater que même maintenu sous perfusion par les vilains méchants capitalistes, le communisme ne marche pas.
Le soi-disant « parti des 75000 fusillés »
que vous soyez opposants ou non au PCF..n allez pas travesir l histoire, et petits boutonneux , retournez a l ecole … il y a peu de chance pour que ce post soit en ligne..mais de visu je vous botterai bien le cul!
Chère Marion,
Travestir l’histoire, c’est oublier le retournement de veste du PC (luttant contre le « fascisme » depuis 1934) le 23 août 1939, date de la signature du Pacte, et militant du jour au lendemain pour la paix, et de quelle manière : Thorez déserte l’armée un mois après sa mobilisation (le 6 octobre), des tracts qui dénoncent la « guerre impérialiste » menée par les alliés, des réseaux clandestins sabotent les usines d’armement. Second retournement de veste le 22 juin 1941, suite à l’agression nazie contre l’URSS : il s’agit, pour l’Organisation Spéciale (OS) du PC, non de libérer la France, mais de soutenir l’effort de guerre du camarade Staline en contraignant les troupes allemandes à stationner sur le territoire français qu’elles occupent, en créant un climat d’insécurité, par des attentats aveugles au départ (qui coûteront plus la vie à des compatriotes qu’à l’armée d’occupation), par des assassinats plus ou moins ciblés ensuite (il s’agit d’éliminer des ennemis politiques en les déguisant en « collaborateurs »). à suivre…
L’épuration sauvage qui sévit juste après la guerre fait mention d’hommes, de femmes, parfois même de familles entières, torturés et exécutés sommairement, avec une couverture plus ou moins légale, souvent sur la foi de dénonciations calomnieuses, toujours dans le but d’éliminer des rivaux politiques.
Même rengaine durant la guerre d’Algérie : les communistes ne se sont pas contentés de porter des valises au FLN, ils ont sabotés et détournés des ravitaillements (notamment en munitions) de l’armée française, causant la mort de soldats français. Les communistes n’ont jamais défendu leur pays, ils n’ont défendu que leur cause. Ce sont des traitres, des manipulateurs de l’histoire, des menteurs et des assassins!
A bon entendeur…
Heureusement les anglo-saxons ramenaient De Gaulle dans leurs bagages , pour empêcher que la France ne connaisse le sort des futures « démocracies populaires » !
Ou une guerre civile à la grecque , que les maquis cocos
prolongeaient pour prendre le pouvoir …
Le soi-disant « parti des 75000 fusillés » devrait revoir largement à la baisse ses revendications de nombre de martyrs! Les ordures cocos mentent, travestissent et falsifient la vérité, comme toujours! Ils nous fatiguent, ces merdes communos.
Et surtout, surtout! qu’on ARRÊTE de me dire que c’est le vilain Staline qui a « trahi » l’idéal (sic) coco!!! Lénine, Trotzki, Mao, tous, ab-so-lu-ment TOUS les chefs de régimes gauchos furent des criminels génocidaires! TOUS! C’est leur idéologie rouge qui est pourrie, par nature! Une seule solution: il faut IN-TER-DIRE le nauséabond PCF, gros pustule criminogène prônant la haine de l’autre et l’exclusion des « mal-pensants ». TOUS les extrêmes doivent être interdits, le parti nazi et le parti communiste. CQFD.
RAPPEL
LAROUSSE
BOLCHEVIQUE:COMMUNISTE
BIEN LE BONJOUR!
Quand sa première prescription, c’est de vouloir interdire ce qui s’oppose à lui!!!
Le libéralisme ne s’oppose pas au communisme tant que celui-ci ne prétend pas régir la vie de ceux qui ne le veulent pas. Si vous même, cher pleutre anonyme, voulez fonder votre communauté bolchevique sur votre propriété sans que cela n’attente aux droits des autres, et bien grand bien vous fasse.
Je ferai juste quelques provisions supplémentaires, grâce à l’affreux profit capitaliste, afin de vous secourir lorsque vous aurez plongé en pleine famine.
» Je ferai juste quelques provisions supplémentaires, grâce à l’affreux profit capitaliste, afin de vous secourir lorsque vous aurez plongé en pleine famine. »
C’est beau d’aider son prochain , mais demandez-lui d’abord de retirer le couteau qu’il a entre les dents , c’est plus prudent !
Beaucoup d’argumentation ad hominem mais rien de serieux, vous insultez une ideologie pronant l’egalité de tous pour mettre en avant une ideologie totalement opposée.
Profitez, profitez car il viendra un jour ou vos privileges dispaaitrons !
Peux-t-on imputer les graves erreurs de quelques personnes (ceux citées ci-dessus, sans Trotski.) aux millions d’autres communistes. Non, ce serait mal connaitre cette idéologie, personnellement je suis communiste et je ne me réclame pas des dictateurs que vous avez citez. Ce genre d’amalgame vous sert et je comprends tout à fait que vous en abusiez pour « liquider » le communisme mais parlons des horreurs du capitalisme ou de la droite en général, comparons, entre autres, le nombre de mort que l’on peut associer à ceux-ci, vous verrez alors que le communisme (idéologie récente par ailleurs) est certainement plus préférable.
Non bien sûr, impossible d’imputer les erreurs de quelques personnes aux millions d’autres! Il faut être équitable: chaque communiste est une crapule sans nom, chacun mérite d’être condamné à hauteur de son mérite dans l’accomplissement du génocide communiste: pour avoir nié qu’il existait, pour avoir soutenu l’idéologie mortifère, pour vouloir en remettre une couche, comme toi, pour l’avoir perpétré, comme cela a été le cas de centaines de milliers de communistes.
Question 1 : une machine égalitaire est-elle juste dans son principe? Réponse : Non!
Question 2 : dans la pratique, une machine égalitaire aux mains de l’Etat peut-elle l’être juste en restant fidèle à son principe : Non plus!
Ce que les communistes ne conçoivent pas depuis deux siècles, c’est qu’ils ont repris à leur compte, et à leur frais (j’entends aux frais des plus modestes), une politique de régulation des populations qui sert avant tout à enrichir l’Etat en temps de paix et à lui fournir la chair à canon en temps de guerre. Peu importe que ce dernier soit aux mains d’un pouvoir se réclamant de la gauche, de la droite ou des extrêmes : derrière le mot « égalité », il y a l’imposture religieuse de plusieurs générations d’esclaves qui n’ont rien d’autre à offrir à leurs enfants que l’obligation de devenir eux-mêmes esclaves, après avoir travaillé toute une vie pour « mériter » la retraite du système obligatoire. Retraite qui est une véritable misère en comparaison du fruit du travail qui a été extorqué, ce même fruit qui, s’il était laissé aux mains de ceux qui l’avaient produit, leur aurait permis de transmettre véritablement quelque chose à leurs descendants (Ne serait-ce qu’un toit!). Les dégâts d’un tel système ne se limitent pas à l’économie – au coût d’opportunité -, mais se traduisent par des obligations (y compris celle de travailler pour nourrir le système) de plus en plus pénitentiaires, qui restreignent des libertés individuelles dont, paradoxalement, la gauche aussi se réclame parfois (comme la libre circulation des personnes, à condition qu’elles soient sans bien). La question est de savoir jusqu’où est-on prêt à aller pour maintenir cette machine qui fait marcher main dans la main les beaux principes et des méthodes d’exploitation inavouables! Le communisme trahit idéologiquement comme dans les faits le peuple dont il se réclame : il ne fait que reprendre à son compte les idéaux d’un système d’enrichissement par spoliation, en dénonçant, aussi bien qu’un gendarme sinon mieux, ceux qui voudraient y échapper : idéalement les « riches », mais dans les actes, tout un peuple. Le communisme a toujours été, dans cette mesure-même, le gardien des intérêts des vrais exploiteurs : des rentiers sociaux et des faux capitalistes qui jouissent de passe-droits, des douaniers, du contrôle sécuritaire, de l’éducation nationaliste, du culte du sacrifice (pour qui?) et du travail obligatoire (qui n’est plus qu’une occupation des membres et non plus un moyen d’assurer un avenir). Exemple d’absurdité : leur sempiternel désir de reconnaissance de la valeur de leur travail dans un système dont ils cautionnent le principe… qui est de voler le travail, plus que les patrons qu’ils accusent! Cette resucée de misérabilisme chrétien faussement athée est désespérant de cruauté et de bêtise!
J’ajouterai que l’autre « puctum caecum » de cette idéologie telle qu’elle s’appliquera toujours dans les faits, et qui ne déroge en rien à la nature des sociétés modernes qui se sont dotées d’un appareil d’État, c’est la redistribution ou rétrocession de l’autorité au peuple, non afin d’émancipation, mais afin de contrôle social, par le biais de faux droits. Nous en avons connu bien des exemples extrêmes durant la Révolution Culturelle chinoise et les régimes fascistes. Si de tels régimes ont pu se maintenir et exercer leur emprise si longtemps, malgré leurs absurdités, cela a tenu moins au charisme de leurs Duce ou de leurs Grands Timoniers que du pouvoir sur autrui dont pouvaient jouir des millions de modestes citoyens sur leurs voisins, par convoitise ou ressentiment, que ces derniers fussent juifs, notables ou simplement un peu plus riches qu’eux. Ce sont les instincts les plus bas qui se parent des habits du droit, de la sûreté de l’État et de la justice sociale : le simple fait d’avoir un maison, une femme ou une fille désirables pouvait suffire à vous déporter, comme dans les exactions de guerre (ou d’après-guerre) et en toute « légalité » (Il n’est que de constater l’attachement de millions d’homme à des religions ou à des droits coutumiers qui leur permettent de jouir d’un pouvoir sur les femmes et sur les biens de leur famille). Il est rassurant autant que pervers d’affirmer que ce sont les dictateurs exaltés ou les errements sanglants de quelques fonctionnaires zélés qui trahissent ou corrompent « monarchiquement » les idéaux de « justice », quand c’est la nature même de ces idéaux qui légitime et nécessite un pouvoir dûment réparti entre des millions de mains sur des millions d’autres. Rien de renouveau sous le soleil rouge!
IL est arrivé par le passé que de nombreux groupes Impérialistes se soient caché sous un masque socialiste pour justifier leurs crimes contre l’humanité. Néanmoins ces dictature sont des déformations de l’ébauche marxiste et sont de par leurs existence même la parfaite représentation de l’hypocrisie et bien souvent de la névrose des égoïste recherchant la grandeur des conquérant du passé. Le communisme est a ce jour un idéal politique qui restera toujours un idéal tant que la majorité seront motivés par le gains personnel et la lutte contre l’ennui.
Commettre une crime au nom de ses convictions est seulement un échappatoire justifiant les exactions d’un égo vicié, non pas inné chez l’humanité mais bel et bien acquise et largement accepté disant que l’homme est est mauvais de par sa nature.
Le meurtre n’a aucun parti pris et les génocides ne sont pas un monopole. En vérité rien de nouveau sous le soleil.
Communisme : Doctrine tendant à la collectivisation des moyens de production, à la répartition des biens de consommation suivant les besoins de chacun et à la suppression des classes sociales.
Même en faisant preuve de mauvaise volonté, il est clair qu’il n’y a rien à redire à la théorie.
Et pour la pratique…
Dans la première démocratie (athénienne), chaque citoyen avait son esclave et le travail manuel était considéré comme dégradant… Et finalement, c’est pas si mal comme régime non ?
« De visu de vous botterai le cul. » voilà qui est intéressant. Les cocos se présentent de prime abord comme des individus pacifiques, mais il ne faut pas attendre longtemps pour qu’ils révèlent leur nature fondamentalement violente, leur intolérance consubstantielle.
concernant les « pleureuses rouges » , rien n’est plus irritant que leur misérabilisme cauteleux ; Marchais qui affirmait « bilan globalement positif » ne niait pas l’existence du système concentrationnaire soviétique ni les meurtres d’opposants ou autres massacres, il les justifiait comme « nécessaire » à l’avènement du socialisme. Il faisait preuve d’une certaine probité.