Pour préserver l’environnement une nouvelle taxe, qui porterait sur les voitures neuves et épargnerait les automobiles d’occasion, et qui devrait être comprise entre 3 000 et 3 500 euros pour le malus le plus élevé et 800 euros pour le bonus le plus favorable.
Il se murmure aussi que le bonus ne concernerait que 20 à 25% des véhicules. Je vous laisse une idée du produit de cette taxe parfaitement équilibrée. On ne connait pas son effet sur l’environnement mais il sera visible sur le budget de l’état et sur le porte monnaie…
Ubuesque. Surtout quand on entend sur tous les tons qu’il faut « consommer plus ».
Cette taxe aura probablement un effet negatif sur l’environnement. Cette taxe encourage les gens a avoir des voitures d’occasion et va donc augmenter la duree d’utilisation des voitures en France.
Ceci a donc un effet negatif sur l’ecologie, puisque les vieilles voitures polluent nettement plus que les nouvelles.
De plus, ceci aura une incidence negative sur la securite routiere. Les vieilles voitures sont generalement moins sures et elles ont en plus de chances d’avoir un defaut mecanique qui peut provoquer un accident.
Comme cette taxe ne concerne pas tous les vehicules, on peut evidemment partir du principe que les voitures de luxe seront visees. Comme la France produit des voitures bas de gamme, cette taxe aura un effet protectionniste en rencherissant les voitures allemandes, americaines et suedoises entre autres…
Ce n’est plus de l’imagination de la part des hommes de l’État, c’est de l’incontinence. Et puis, l’objectif visé par cette nouvelle et énième taxe : »Protéger l’environnement » fait autant rire (mais a-t-on le coeur à ça ?) que tous les autres mis en avant pour ponctionner toujours plus.
À quand un impôt neutre, sans raisons fallacieuses pour le mettre en place ? Mais cela existe-t-il un impôt neutre ?
Emma
Et hop encore une « géniale idée Usine à Gaz à la Française » germée dans un cerveau de Technocrate…
« Mais cela existe-t-il un impôt neutre ? »
Non. L’impôt est toujours partisan, toujours idéologique. Cette question est traitée par Rothbard dans « power and market », il me semble.
L’impôt, c’est du vol. Y a-t-il un vol « neutre » ? Poser la question sous cette forme lui donne tout son relief…
Une de plus.
Les anti-tout n’ont plus besoin d’être élu…le gouvernement travaille pour eux.
Chaque jour qui passe nous rapproche du chaos: nons seulement nous taxons toujours plus mais en plus l’idée du « dividende universel » refait surface (Figaro).
Personnelement, je ne peux plus envisager de rester en France pour mes vieux jours.
Tant pis
tous en trabant : ce vieux rêve communiste fait encore du chemin dans la tête de nos dirigeants .
Personnellement, au bout d’un an de chômage après ma thèse je me prépare à emmigrer aux USA. Je n’ai été que trop patient. Démerdez vous avec vos SECU, retraites, services publiques, j’en ai plein le cul.
15 jours. C’est le temps qu’il faut à un docteur pour trouver un job aux USA rien qu’en envoyant des mails. Véridique, car déjà testé.
Je tiens tout de même à remercier tous les contribuables français des 300.000 euros dont on les a spolié pour me payer cette formation dont je vais faire profiter les USA. Fallait pas, c’est trop gentil.
Et en plus ce faisant je fais un geste pour l’environnement en me débarrassant de ma vieille 104 qui poullue comme 100 voitures neuves taxées à 3000 euros pour nous sauver tous de la catastrophe planétaire qui nous menace.
Hé j’en ai une bien bonne, j’ai lu ce matin dans l’usine nouvelle que la réforme Fillon du finanement des retraites reposait entièrement sur l’hypothèse d’un retour au plein emploi d’ici 2010 au plus tard. Sans cela tout le machin s’écroulera. Donc un conseil, cassez vous de ce pays avant 2010…
nono; nous savons tout ca.
ceci explique le fort taux d’épargne francais: tous aux abris…
nono.
Tu as bien de la chance. De la « chance », plutôt. Car je suppose que tu t’es donné du mal pour arriver là où en es.
C’est un peu angoissant pour ceux qui restent…
Bonne chance, en tous cas !
Il n’y a plus qu’Ã vider les politiciens de l’UMPS, sinon faillites en cascade en vue !
Pour ma part, je suis un lâche: je travaille d’arrache-pied afin de préparer
ma boîte à sa vente et me tirer d’ici. C’est un peu la course contre la
montre: que vaudra-t-elle sous la tutelle d’un syndicat et écrasée de taxes?
A moins d’un coup d’état pour virer toute cette racaille qui mène le pays à la faillite totale je ne vois pas comment on va s’en sortir. Les élections qui se succèdent n’apportent aucun changement quant à l’orientation politique et économique. On passe des socialistes de gauches aux socialistes de droites. Quant à partir vivre et travailler aux USA j’avoue que si j’avais un métier et non un emploi (je suis fonctionnaire) je n’hésiterai pas une seconde. Pour moi c’est sans doute trop tard mais pour les enfants j’espère qu’ils pourront un jour vivre LIBRES et travailler « là bas ».
Sinon bonne chance à Nono et aux autres. Comme je les envie…
« j’avoue que si j’avais un métier et non un emploi (je suis fonctionnaire) »
Ben alors ? Vous pourriez pas vous retirer les doigts du cul et chercher un vrai travail ? Parce que si le coup d’Etat que vous souhaitez a bien lieu, vous serez viré comme tous les branleurs ; et si vous n’avez pas appris un vrai métier d’ici là , vous allez crever, mon vieux ! Les cours du soir, c’est pas fait pour les chiens !
doucement, même avec les fonctionnaires.
Les USA sont malheureusement un rêve inaccessible pour nombre d’entre nous. Les conditions d’émigration sont difficiles à remplir, et les cartes vertes sont distribuées au compte goutte.
Ma stratégie en France est la suivante: pouvoir partir en moins d’une semaine s’il le faut. Je laisserai derrière moi quelques menues possessions, et de toute façon je suis sûr que l’on m’en expropriera. Ce jour là je demanderai l’asile politique aux Etats-Unis.
Les USA, c’est pas mal mais pourquoi ne pas viser l’Irlande à une heure d’avion de Paris ; plein emploi, fiscalité réduite, progression au mérite, besoin de maîtrise du français… En tapant Travailler et Irlande sur Google, les solutions apparaissent.
[Ma stratégie est la suivante: pouvoir partir en moins d’une semaine s’il le faut. Ce jour là je demanderai l’asile politique aux Etats-Unis]
C’est pour rire ou tu es vraiment cinglé ?
C’est vrai quoi. Se préparer à quitter un pays au bord de la faillite, qui risque à tout moment de sombrer dans la dictature communiste, il y a de quoi être cinglé.
Comme les juifs qui ont quitté l’Allemagne en 1930. Cinglés aussi.
« C’est vrai quoi. Se préparer à quitter un pays au bord de la faillite, qui risque à tout moment de sombrer dans la dictature communiste, il y a de quoi être cinglé. »
ça, c’est le ce scénario noir si les français, dont vous-même, continuent à refuser de voter (sous prétexte que vous n’êtes pas d’accord à 100% avec le programme) pour les listes qui proposent des réformes même incomplètes.
Voter avec ses pieds est parfois le moyen le plus efficace. On finit par se lasser d’être constamment spolié au nom de la « solidarité ».
A tous les libéraux/libertariens,
Dans mon esprit, il est clair qu’il faut prendre des mesures radicales pour sortir la France du trou dans lequel elle est, et que des mesures modérées que pourraient proposer un gouvernement moins socialiste (comme avec Sarkozy) ne suffiront pas à rapprocher encore plus la France de la faillite.
Dès lors, il y aura deux possibilités :
– Ou bien, la France fait des réformes radicales et réduit fortement le nombre de fonctionnaires et la fiscalité, comme ce fut le cas de la Suède, ce qui lui a empêché de faire faillite (voir le livre « Le modèle suèdois » de Falkehed dont vous pouvez lire un résumé sur le site http://www.libres.org). Mais la comparaison s’arrête là , puisque les politiciens Suèdois ont toujours été foncièrement honnêtes à la différence des nôtres (voir par exemple, le taux de corruption en suède, un des plus bas du monde).
– Ou bien le gouvernement fait des réformes timides qui n’empêcheront pas la France d’échapper à un sinistre destin.
Car, les problèmes devraient s’accélérer très vite, à partir d’un point de non retour.
(Ã suivre)
Mais ce constat n’empêche pas plusieurs constatations :
-Il faut encourager la création d’un fort courant de droite libéral-conservateur-souverainiste que je qualifierais d’union (et non pas le combattre comme vous le faites), qui pourra faire pression sur le gouvernement pour le forcer à réformer fortement avant qu’il soit trop tard.
– Plutôt que de voir toujours le mauvais côté d’un programme politique comme celui de De Villiers, pourquoi ne pas parler aussi des points positifs qui sont nombreux (volonté de faire reculer le socialisme, de lutter contre la création d’un super état européen avec peu de contrôle démocratique et toujours plus de bureaucratie et d’impôts, volonté de lutter contre l’immigration invasion de peuplement en provenance du tiers-monde). Un discours de J.J. Rosa qui est un nobelisable français, concluait que l’évolution politique et économique devait aller et allait dans le sens de la prise de décision à plus bas échelon, ce qui excluait lÂ’augmentation des pouvoirs dÂ’un super-gouvernement européen. Ici, vous voyez bien que les objectifs des souverainistes et des libéraux sont compatibles.
– Pourquoi toujours combattre le Front National, qui propose aussi de très bonnes mesures comme la baisse d’impôts, au lieu de parler des bonnes mesures quÂ’il propose et de l’aider à se réformer. Et Personnellement, jÂ’ai beaucoup plus de sympathie pour ce parti que pour la politique Crypto-socialo-communiste de lÂ’UMP/UDF.
– Il est illusoire dÂ’attendre une faillite de la France, en espérant que cela ira mieux ensuite.
D’une part, le niveau de vie des Français s’en trouvera fortement diminué (de l’ordre des 2/3 ou plus), d’autre part le pouvoir corrompu socialo-communiste sera toujours au pouvoir. (Regardez ce qui s’est passé avec l’Argentine. L’Argentine est-elle devenue un pays libéral ?)
(Ã suivre)
(suite et fin)
A croire que vous aimez reprendre la pensée unique politiquement correcte et que vous n’aimez que le système politique français socialo-communiste que par ailleurs vous combattez et qui diabolise tous ceux qui se placent en dehors !
Je finis par croire qu’il s’agit d’une attitude commune à des libéraux (que je qualifierais de non conservateur), car j’ai observé la même attitude d’incompréhension, sinon de mépris, à l’égard de ceux dont ils ne partagent pas les idées (www.libres.org, http://www.liberte-cherie.org)
La France serait elle le seul pays en Europe ou dans le monde à être incapable de s’entendre à droite, le seul à permettre de maintenir au pouvoir les socialo-communistes de tous poils.
Pourquoi ce qui a été possible au RU, aux Etats-Unis, en Allemagne, aux Pays-bas, en Italie, au Danemark, en Autriche, … serait impossible en France. Encore une exception française que vous n’aimez pas, je crois.
Je conclurais en disant que comme Dilbert, en cas d’absence de changement politique en France en 2007 (avec le retour du PS par exemple), je serais contraint de voter moi aussi avec mes pieds, et peut-être même avant, mais que là , je ne reviendrai pas. Ce pays m’a déjà gâché suffisamment mon existence, sans compté l’éducation nationale.
Cordialement
« Ici, vous voyez bien que les objectifs des souverainistes et des libéraux sont compatibles. »
Ils proposent pas une augmentation du protectionnisme, les souverainistes? J’ai pas l’impression qu’ils sont très libre-échangistes…
Sinon, je suis d’accord, on pourrait se mettre d’accord sur un plus petit commun dénominateur au niveau du programme et n’appliquer que cela (ce qui serait déjà pas mal): une réforme fiscale par exemple, sur laquelle toute la droite (et le centre-droit) semble être à l’unisson.
D’un point de vue mathématique il n’y a que deux solutions pour sauver le pays de la faillite:
– la mort de tous les vieux
– libéraliser toute l’économie
Rien de réalisable en somme.
Pas la peine d’attendre 2007, cassez-vous d’ici dès à présent.
« on pourrait se mettre d’accord sur un plus petit commun dénominateur au niveau du programme et n’appliquer que cela »
Il y a beaucoup plus de points en communs que vous le pensez.
Par exemple, savez-vous qui a écrit la préface du livre « Le redressement de la France » d’Alain Bourdu ?
… P. De Villiers
Si les mesures de ce livre étaient appliquées, la France serait encore plus libérale que les Etats-Unis.
Lisez ce livre!
« Par exemple, savez-vous qui a écrit la préface du livre « Le redressement de la France » d’Alain Bourdu ?
… P. De Villiers »
Je viens de regarder sur google et il s’agit de Jacques Bourdu, qui est d’ailleurs conseiller de De Villiers. Je ne vois pas bien ce qu’il y a d’étonnant là -dedans concernant la préface.
« Je ne vois pas bien ce qu’il y a d’étonnant là -dedans concernant la préface. »
S’il a écrit la préface de ce livre, c’est qu’il adhère bien au contenu de ce livre (ou l’essentiel), donc il est bien libéral lui aussi.
« S’il a écrit la préface de ce livre, c’est qu’il adhère bien au contenu de ce livre (ou l’essentiel), donc il est bien libéral lui aussi. »
Je vois, en effet. Mais en regardant De Villiers à la télé, j’avais pas vraiment compris qu’il était libéral, du moins son discours. Plutôt conservateur et nationaliste. Aurait-il lui aussi un langage pour la télé et un autre pour les fidèles? (remarquez que les libéraux eux-mêmes tendent à vouloir donner au public une image de moins en moins libérale)
« Aurait-il lui aussi un langage pour la télé et un autre pour les fidèles? »
En ce qui me concerne, j’ai toujours regretté qu’il n’ait pas un discours plus libéral.
Mais, en tout, il serait très souhaitable que son parti constitue un des noyaux d’une future union de droite qui reste à créer.
Lisez son dernier article :
http://www.lefigaro.fr/debats/20040703.FIG0128.html
Le mot « solidarité » y apparaît presque 10 fois.
Citation :
Le plus simple a sans nul doute quelque chose à voir avec la solidarité, la France étant depuis des siècles et pour longtemps encore, le fondement indispensable du lien social, le cadre dans lequel s’instruisent et s’organisent les sécurités élémentaires, qu’il s’agisse de la paix publique, de l’entraide conjoncturelle, par exemple dans le cadre de maladies ou du chômage, ou du secours que la communauté nationale doit consentir à ceux qui sont ou se sentent définitivement hors course. Il est notable d’ailleurs que l’Europe reste à l’écart de ces solidarités fondamentales, et qu’elle ne semble intervenir en ces matières que pour les remettre en cause – raison pour laquelle son prestige est bien plus grand chez les puissants qu’il ne l’est chez les faibles…
Ce discours ne remet pas en cause son appartenance aux idées libérales, même si ici il y a des contractions comme cette phrase « L’Europe ne semble intervenir en ces matières que pour les remettre en cause (les solidarités fondamentales) » avec laquelle je ne suis pas d’accord. Par contre, je suis d’accord, en tant que libéral, avec l’idée dominante de cette citation: « Il est notable d’ailleurs que l’Europe reste à l’écart de ces solidarités fondamentales », sinon on fait une politique unique au niveau européen et vous rejoignez alors les Chiraquiens.
Mais sachez tout de même qu’il n’existe aucun pays au monde qui n’ait mis en place une certaine forme de solidarité au niveau national, comme aux Etats-Unis par exemple. Et, si ce n’est pas forcément souhaitable (?), il faut quand même passer par cette étape, quand on vit dans un pays socialo-communiste comme la France.
En somme, cher Observateur, ton programme c’est : Cocu, Battu, Content?
« En somme, cher Observateur, ton programme c’est : Cocu, Battu, Content? »
J’ai l’impression qu’on est pas sur la même longueur d’onde? Précisez ce que vous entendez par cela.
Donnez des détails, des explications, que diable !
Dilbert,
Plutôt que de prendre un discours d’homme politique qui ne veut rien dire et qui ne fait pas avancer beaucoup le SmilBlick, vous ne croyez pas qu’il serait plus intéressant de reprendre toutes les propositions d’un programme politique, par exemple celui aux élections européennes 2004 de De Villiers, d’extraire les mesures positives qui permettent à la France de sortir de son coma et de les comparer aux propositions du programme politique Sarkozo-Chiraquien de la fausse droite QUI NE PROPOSE AUCUNE BONNE MESURE ET QUI EST MEME PIRE QUE S’ILS NE FAISAIENT RIEN, et d’en tirer les conséquences ?
Observateur,
CBC. Sûr, c’est bref et brutal et tu as droit à des explications.
On comprend ton désir d’alliances « pour améliorer les choses ». Mais ne te trompes pas.
Lis le texte de Hayek « Pourquoi je ne suis pas un conservateur » (en ligne). Il y a une vaste analyse.
Un des axes importants de l’argumentation est que le problème du conservateur c’est qu’il veut conserver, qu’il s’oppose. Il est opposé à l’expérimentation, au changement, in fine à la liberté sous le contrôle de principes solides.
En pratique il ne peut s’arc-bouter éternellement et il glisse. Une génération de conservateurs soutient ce qui aurait fait horreur à celle de leurs grands parents. Les nôtres aujourd’hui en arrivent à glisser plus vite que les socialistes.
Droite libérale, ça sonne bizarre, en France.
Villiers est fondamentalement un conservateur. Fondamentalement autoritaire.
Prends par exemple, la solidarité. Il est pour. Très bien. Mais fais lui confiance, dans la pratique, quelles qu’en soient les raisons déclarées, la solidarité obligatoire.
Nous sommes nombreux, pratiquement tous, à être pour la solidarité et bien au delà de celle du marché. Mais pas la solidarité obligatoire, calibrée, approuvée, limitée aux gestes et associations homologuées, qui nous fait perdre le contact humain et l’implication personnelle qui doit aller avec, capturée par des groupes qui n’en ont nul besoin. Les moyens nous sont enlevés, les règlements paralysent.
Observateur, suite et fin
Le souverainisme, on connaît. Les souverains aussi, que ce soit le Roi, le Peuple ou ses représentants.
« La prise de décision au plus bas échelon », « Subsidiarité » au niveau de l’Europe … Ça fait maintenant partie du discours consacré. Dans la pratique, regarde quelle est la liberté d’action des communes.
En haut ça butte sur les grands principes, la crainte de perdre la main. En bas, on demande très fort, »harmonisation », « péréquation », etc. La moindre ombre d’une différence, d’une deuxième vitesse, fait hurler.
Réfléchis par exemple aux vaches sacrées, Education Nationale, Santé. Regarde arriver le reste du troupeau et demande toi ce qui peut rester.
Rappelle toi que la liberté ne ce saucissonne pas. Si tu acceptes de le faire dans un coin pour la bonne cause, tu es mal parti. C’est en grande partie pour ce genre de raison qu’on en est là aujourd’hui.
Tu vas dire qu’on a bien du mal à trouver des alliés dans ces conditions et tu as raison. Il n’y a aucune perversion ou sombre joie à le constater. On peut simplement tenir le cap dans notre sphère limitée. Fais passer des idées. Inutile d’aller glisser et se perdre dans le marécage.
Et puis la pire n’est pas certain. Ce n’est ni le contexte des grandes épidémies de peste, ou de la guerre de 14. L’humanité en a vu bien d’autres.
à Pleutre anonyme et pour les libéraux/libertariens,
Je ne pense pas que vous réjouiriez de l’arrivée au pouvoir en 2007 du PS, ni d’ailleurs du pouvoir actuel qui est aussi socialiste que le PS, mais qui a l’avantage sur le PS de se dire de droite et d’avoir TROMPE une fois de plus EN TOTALITE ses électeurs.
Par conséquent, si vous êtes cohérents avec vous-même, je pense que vous souhaitez que le libéralisme triomphe enfin en France, le libéralisme qui n’a cessé de reculer depuis 30 ans en France, depuis que les anciens partis de droite (UDR et UDF) ont été accaparés par des CRYPTO-SOCIALISTES et même des CRYPTO-COMMUNISTES (dans le cas de Chirac, Jospin, leurs proches, mais ils ne sont certainement pas les seuls).
Pour faire triompher vos idées, il faut mettre en place une stratégie. Et dans ce cadre, votre stratégie qui consiste à mettre tous les partis dans le même sac, en disant qu’ils sont tous pareil, en espérant ainsi convertir tout le monde à vos idées, est une ERREUR TOTALE. Cette stratégie n’a aboutit qu’à renforcer le pouvoir actuel socialo-communiste, puisque vous empêchez, à votre niveau, des partis réformateurs de les renverser.
Mais je pense même qu’ils ont compris comment vous prendre, ce qui explique pourquoi Alain Madelin fait toujours parti de l’UMP et la présence d’apparatchiks comme Juppé à tous les forums libéraux comme le dernier d’Alain Madelin en 2004, SANS QU’AUCUNE LOI LIBERALE N’EST JAMAIS ETE VOTEE DEPUIS 30 ANS EN FRANCE! Alain Madelin semble bien le seul à croire que l’UMP tient compte de son avis. A se demander s’il joue autre chose que le rôle d’idiot utile !
(Cela dit en passant, je ne trouve pas le programme de Madelin en 2002 très libéral, juste un programme moins socialiste, mais c’est une autre histoire.)
(Ã suivre)
Mais pour revenir au sujet qui nous préoccupe, si je reprends cet argument (« Un des axes importants de l’argumentation est que le problème du conservateur c’est qu’il veut conserver, qu’il s’oppose. Il est opposé à l’expérimentation, au changement, in fine à la liberté sous le contrôle de principes solides. « ).
Je pense que ce texte donne une image bien négative des conservateurs. Etant donné que le libéralisme n’est pas une idéologie mais une évidence, le libéralisme est un trait commun de TOUS les partis de droite (sans exception), même si est plus ou moins affirmé. De plus, cette idée progresse continuellement dans tous les partis de droite.
Ainsi, selon moi, ce qui distingue le conservatisme du libéralisme classique/libertarianisme, c’est entre autre, la non-tolérance vis-à -vis de certains totalitarismes dangereux pour eux-mêmes comme l’Islam et la non acceptation de l’immigration incontrôlée que prônent les libéraux/libertariens.
Ainsi, si vous voulez faire triompher le libéralisme en France, vous avez tort de négliger le conservatisme qui permet de résoudre des problèmes que le libéralisme ne peut pas résoudre.
Par exemple, face au totalitarisme islamique, ce n’est pas en étant extrêmement tolérant vis-à -vis de cette religion, comme le dit le site http://www.libres.org, ou bien il faudra alors se préparer à un futur statut de citoyen inférieur (dhimmi) ou alors se convertir à la religion musulmane, car eux ne sont pas aussi tolérants que nous. (La Turquie prétendument modérée comptait 20% de chrétiens en 1880, dont 2 millions à Istanbul, combien en compte-t-elle aujourd’hui ?)
Enfin, pour citer un dernier exemple, le pacifisme est parfois la pire des solutions : si les démocraties européennes avaient arrêté Hitler quand il état encore temps dans les années 1936, il n’y aurait pas eu les 50 millions de morts de le 2ème guerre mondial et les camps de concentration.
(Ã suivre)
(fin)
C’est la raison pour laquelle, selon moi, un programme UNIQUEMENT libéral/libertarien qui ne compose qu’une partie de la droite ne pourra jamais arriver au pouvoir, car vous ne pourrez jamais changer la nature humaine.
Avis aux libéraux, si vous mettre fin au socialisme en France !
J’ai passé sous Google « se préparer à la faillite de la France » et je suis tombé sur cette page. Sur mon blog, j’ai posé comme base que j’avais à faire à un Etat pastoral : comment émmerge alors le tout premier agriculteur en rupture à ce collectivisme ? Pour protéger son blé en herbe, le tout premier agriculteur instaure la propriété privé : le champ agricole. Mais pour créer son champ libre, il a dû commettre crime sur crime à l’égard de l’état pastoral : castrer deux reproducteurs et les mettre sous le joug, retourner la sacro sainte prairie… Ne dois-t-il pas être un modèle d’inspiration pour nous soustraire à l’emprise étatique des ponctionnaires ?
http://amourpiegale3.blogspot.com/