Note préliminaire d’Hervé Duray:
quelques mots à propos des « sociaux-libéraux », nouveau clan politique de gauche, qui d’ailleurs vont permettre à la gauche de boucler encore plus avant le débat, le débat qui se déroulait auparavant entre gauche molle et gauche dure se voyant renforcé par une gauche « libérale », et exit donc tout débat autre que gauche (molle)-gauche (dure)-gauche (sociale-libérale)…
1) Je vous signale la parution d’un petit texte consacré au libéralisme ou plutôt à ce que son auteur croit qu’il est :
Monique Canto-Sperber Pourquoi le libéralisme n’est pas le laissez-faire (édité par En Temps Réel/Les Cahiers n° 7, février 2003 : « Les cahiers sont rendus disponibles en téléchargement sur ce site après un délai de trois mois suivant leur parution. » En temps réel)
J’ai feuilleté rapidement ce petit livre. Il part d’un bon sentiment et ne commence pas trop mal par rapport aux innombrables pamphlets anti-libéralisme qui sont continuellement édités en France : « Ce texte est une critique du consensus anti-libéral qui est devenu à présent en France l’idéologie composite des pensées progressistes, conservatrice et populiste, comme des formes nationalistes et rétrogrades du républicanisme. Il veut montrer que le libéralisme est une des traditions politiques les plus fécondes dans l’histoire occidentale, et qu’il permet de comprendre l’évolution du monde contemporain, d’avoir une prise sur elle et d’y répondre. » Malheureusement, le reste est une tentative de défense du « vrai » et du « bon » libéralisme (qu’elle appelle aussi, fort logiquement, « social-libéralisme ») – ses seules références sont Raymond Aron, Lucien Jaume, Pierre Manent, Jean-Pierre Dupuy, Olivier Mongin, Pierre Rosanvallon, John Rawls et Michael Walzer, les cinq derniers auteurs étant d’ailleurs nettement des liberals au sens américain… – contre « l’ultra-libéralisme » économiciste, financier, marchéiste etc. (j’utilise ses termes). On connait la thèse, rien de très nouveau sous le soleil : ce qu’elle appelle « ultra-libéralisme » est en réalité est en réalité le libéralisme que nous défendons, le seul qui est cohérent.
En fait En Temps Réel est le groupe de réflexion des « sociaux-libéraux » – encore qu’il reste à savoir en quoi ils sont plus « libéraux » que les sociaux-démocrates… – de centre-gauche (Esprit, Nouvel Observateur etc.) qui veulent « blairiser » le PS (voir ETR + ETR/Nouvel Obs).
2) Et tout cela est repris et développé dans deux livres que le même auteur fait paraître dans quelques jours :
– Monique Canto-Sperber et Nadia Urbinati Le Socialisme Libéral. Une Anthologie : Europe – Etats-Unis, Ed. Esprit (disponible sur Amazon
– M. C.-S. Les Règles De La Liberté, Ed. Plon (disponible FNAC)
A ne pas négliger car il y a des chances que le landernau médiatico-intellectuel s’excite là -dessus, tout en ayant à l’esprit la réflexion de François Guillaumat qui remarque qu’il existe, outre « un pseudo-libéralisme qui méprise la propriété et qui n’est de ce fait qu’un pseudo-anarchisme libertaire » (autrement dit l’anarcho-libertarisme, voir à ce sujet le Québécois Libre),
« un pseudo-libéralisme démocrate-social, semi-esclavagisme authentique qui proscrit comme extrémistes tous ceux qui ne partagent pas ses croyances« , ce qui décrit bien la pensée de Monique Canto-Sperber & co…
Enfin, c’est toujours mieux que Mélenchon, Emmanuelli, Aubry, Chevènement, Mamère, Le Monde Diplômatique, la LCR, Lutte Ouvrière, le PCF, la CGT, ATTAC etc. etc.
S’il ‘existait pas toutes ces idéologies ou toutes ces tendances tu ne pourrais pas être libre puisque tu ne pourrais pas exercer ton libre arbitre.
J’en déduis donc que ton idéologie (celle que tu défends) n’existe que par opposition aux autres idéologies. Le libéralisme est donc une vision politique relative.
Mais où est la vérité ?
El Stalnino ne peut pas être libre s’il n’a pas le choix!
El Stalnino est un être inerte qui ne sait pas développer de schémas de pensée qui lui sont propres!
El Stalnino ne comprend pas que la liberté c’est l’absence de coercition! Robinson tout seul sur son ile est-il libre ? Oui il l’est, personne ne le force à faire ce qu’il n’a pas envie de faire! Si il cultive des plantes pour se nourrir, pas parce qu’il est obligé par un Etat! (quand à une entreprise, ce serait par contrat, donc volontairement, sinon on appelle ça une mafia si elle l’oblige…)
Bref… libéralisme existe par opposition ? Très drôle, puisque El Stalnino devrait nous dire quelle a été la première idéologie, et d’où elle vient si les autres n’existent que par « opposition ».
Bref, El Stalnino tourne en rond. El Stalnino devrait s’interroger sur la poule et l’oeuf: qui a pondu l’autre ?
L’idée libérale ne gagnera-t-elle pas en popularité si un libéralisme, même « édulcoré », (ersatz ?), peut se développer au sein de la gauche ?
dans le contexte politique français actuel, une évolution brutale vers un libéralisme « pur et originel » est impossible. Si un courant « gauche un peu libéral » progresse au sein de la gauche, cela permettra de lever bien des tabous sur le libéralisme dans l’opinion, et permettra à un gouvernement de droite de ne pas se croire obligé de manipuler les vieilles recettes socialistes… et d’évoluer vers plus de libéralisme.
Ce sera déjà un progrès, il ne faut pas rejeter en termes condescendants tout ce qui ne relève pas d’une vision libertarienne des choses….
Je suis d’accord avec Vincent sur le fait qu’il peut être bon de voir un courant libéral se propager dans la gauche. Néanmoins on peut se demander pourquoi le gouvernementde Raffarin, vice-président d’un parti qualifié de libéral (celui de Madellin), fait passer des mesures en contradiction avec les libertés individuelles mise aux nues par cet exellent site et par bien d’autres.
Il est bien dommage que ce soit la gauche qui reprenne le flambeau du libéralisme, tout en l’édulcorant à la sauce socialiste au lieu que ce soit de vrai libéraux qui le fassent.
mouais, je serais prudente.. Qd je lis « marianne » (ca m’arrive) qui écrit : « la gauche doit réaffirmer son libéralisme, valeurs (celles qu’on arrete pas de défendre) gnagna, et qu’il sort juste après : avec une économie de type Keynes.. je pete un plomb, c’est l’antithèse du libéralisme.
Les libertés individuelles ne peuvent être sans les libertés économiques !
Qu’il y est un courant libéral au sein de la gauche soit, mais qu’ils ne commencent pas, comme l’a fait Delors à son époque avec le principe de subsidiarité, à dévoyer le libéralisme, nos valeurs.
Ils savent tellement bien utiliser les sophismes et les simplismes qu’ils seraient capables de faire croire que le liberalisme c du socialisme.
Le libéralisme implique l’individualisme ; le collectivisme est la négation meme de l’individu ; la « redistribution sociale » chere aux socialistes st la négation meme de la charité, de la volonté etc..
Donc, je me méfie des socialistes qui s’arrogent certaines de nos valeurs, tout en crachant sur d’autres.
Il n’y a pas plus anti-libéral que le torchon social-étatiste Marianne (enfin si il y a, Le Monde Diplômatique etc;, mais c’est une façon de parler…). La spécialité du semi-cinglé néo-communiste Jean-François Kahn c’est de dire qu’il défend le vrai « libéralisme » classique contre le « néo-libéralisme » qui est un « ultra-libéralisme » et donc un « libéralisme dévoyé ». En réalité c’est EXACTEMENT LE CONTRAIRE qui est vrai : son pseudo-« libéralisme » est en fait un social-étatisme de la pire espèce. Aux côtés des médias de la doite nationale/nationaliste/identitaire (« l’extrême-droite ») et ceux de l’extrême-gauche, c’est dans Marianne que l’on trouve depuis un peu moins d’une dizaine d’années le plus grand nombre de mensonges qui vont du grossier au répugnant sur le libéralisme, la mondialisation, l’économie et l’Amérique. Des voyous de presse qui ne méritent que notre mépris et notre profonde hostilité.
Il n’y a pas d’accent circonflexe à « diplomatique ».
Exact, merci. C’est une confusion avec « diplôme »…
Tout cela n’est que le vieux combat entre la vision française du monde et de la liberté qui date de Colbert,et la vision américaine.
D’après Guy Millère,dans « haine des Etats-Unis,haine de la liberté » qu’on peut trouver sur le site « de droite et libre »,le journal « Marianne » écrivait un jour à propos des Etats-Unis: »ils nous ont volé l’universalité ».
Tant mieux.On ne la méritait pas.
La vraie liberté c’est de pouvoir avoir les moyens de choisir.Ainsi pense le socialisme libéral et il a raison.
Une personne n’ayant pas eu la possibilité de choisir )parce moins bien informée des choix parce que de naissance plus modeste vit-elle dans une société de libertés?
Evidemment non!
« Enfin, c’est toujours mieux que Mélenchon, Emmanuelli, Aubry, Chevènement, Mamère, Le Monde Diplômatique »
N’importe quoi!!! quel rapport entre aubry, chevènement, attac, laguiller……??
Et que vient faire Le Monde Diplo là -dedans??
ça devient n’importe quoi, cette page !!!!!
« La vraie liberté c’est de pouvoir avoir les moyens de choisir. Ainsi pense le socialisme libéral et il a raison. »
Le socialisme ne peut être libéral car nul n’est mieux placé que l’individu lui-même pour faire ses choix et agir or le socialisme c’est la socialisation donc la collectivisation (c’est-à -dire la confiscation des décisions par une caste avant-gardiste autoproclamée) des choix. Comment donc pensez vous que dans ces conditions un choix puisse être libre? Votre charabia est une variante du thème de « l’information parfaite » : au nom d’une prétendue déficience de certains (suivez mon regard : les pauvres sont des cons, ils ne savent pas ce qui est bon pour eux, il faut les (ré)éduquer, il faut que nous nous occcupions d’eux sinon ils vont devenir des lumpen-proto-fascistes… ou des bandits barbus!) vous vous arrogez le droit d’organiser la vie de tous et de confisquer les prises de décision de chacun. Avoir les moyens de choisir, il n’y a qu’un système historique qui l’a offert à tous et c’est le capitalisme individuel de laissez-faire, c’est lui qui a permis à chacun (dans les sociétés où il a pu se développer librement) d’élever son niveau de vie, d’accéder à une meilleure instruction et de disposer librement de sa vie. Le véritable système qui protège les faibles et combat la pauvreté c’est lui (quand le socialisme autoritaire a besoin, lui, d’entretenir cette pauvreté pour continuer à justifier la main mise de sa caste de privilégiés avant-gardistes).
Je ne parle évidemment pas des situations de « socialisme volontaire », telles que décrites par Walter Block, qui reposent effectivement sur l’exercice de la libre volonté de chacun pour mettre en communauté (limitée d’ailleurs dans l’espace et dans le temps) les produits de son travail et les décisions à prendre.
Il n’y pas d’autre chemin vers la liberté que la liberté elle-même.
« Une personne n’ayant pas eu la possibilité de choisir )parce moins bien informée des choix parce que de naissance plus modeste vit-elle dans une société de libertés?
Evidemment non! »
Le problème n’est pas de savoir si telle ou telle personne est bien « armée » (relativement à l' »armement » dont disposent d’autres pour prendre leurs propres décisions) pour prendre une décision, mais de savoir si qui que ce soit d’autre est mieux placée qu’elle pour prendre cette décison à sa place : le libéralisme répond « NON, personne ne doit prendre de décision à la place de l’individu concerné ». Toute autre réponse est une acceptation de l’autoritarisme.
« N’importe quoi!!! quel rapport entre aubry, chevènement, attac, laguiller……?? »
« Et que vient faire Le Monde Diplo là -dedans??
Il y a ceux qui comprennent que derrière des stratégies différentes, c’est la même vieille idéologie marxiste qui est à l’oeuvre dans les actions de Martine Aubry, ATTAC, Chevènement, Arlette Laguiller (encore qu’elle, ce sont surtout les ficelles qu’agitent Robert Barcia qui la font bouger) ou le Monde Diplomatique du communiste castriste Ramonet et il y a ceux qui sont dupes de ces désaccords de façade; il y a ceux qui comprennnent que lorsqu’on coupe un bras à un homme on peut toujours prétendre qu’en réalité on lui a laissé un bras, cela ne change rien à sa nouvelle situation de manchot.
Il y a ceux qui comprennent cela et il y a ceux qui ne le comprennent pas. Les libéraux n’écrivent pas pour ceux qui ne le comprennent pas. Ceci pour répondre à votre dernière saillie :
« ça devient n’importe quoi, cette page !!!!! «
« lorsqu’on coupe un bras à un homme on peut toujours prétendre qu’en réalité on lui a laissé un bras, cela ne change rien à sa nouvelle situation de manchot. »
je « comprends » surtout que cela s’applique davantage à un salarié compétent dans le privé que se fait ( quand même) licencier, simplement parce que le patron en a décidé ainsi : on lui enlève le boulot, mais il lui reste toujours les compétences, n’est-ce pas?
Au fond, ça doit pas être si désagréable que cela de perdre son boulot.
enfin, bref… allez…!!chômeurs, licenciés, retournons vite à la recherche d’un emploi avant qu’on nous coupe nos assedic!
Votre remarque est sans aucun rapport avec ce que je disais mais passons il est vain de demander à un décérébré de réfléchir…
Quant au patron qui décide pour le plaisir de licencier vous voulez parler du Parti Communiste de la raclure antisémité Buffet et du qtotidien sursubventionné d’Etat « l’Humanité »?
petit bourgeois abrutile…
Croire qu’un patron peut licencier « juste parce qu’il en a décidé ainsi » c’est démontrer votre ignorance totale du monde du travail et le code qui va avec; une fréquentation des prudhommes, des bourses du travail et des permanences d’aide juridique vous éclaircirait les idées sur les obstacles quasi insurmontables à un licenciement non motivé.
A part par le patronnat communiste je ne connais pas de cas de licenciements non motivés n’ayant pas fait l’objet de condamnation aux prudhommes (vérifiez avec les annales de juris-prudence du droit social de lamy par exemple).
La défense des salariés du privé (dans le public la mafia syndicalo-administrative est impossible, pour l’instant, à attaquer, j’ai essayé de le faire pour défendre des emplois jeunes je me suis heurté à des pressions politiques) fait partie de mon travail, si vous voulez de plus amples renseignements n’hésitez pas…
Ca se masturbe severe ici a ce que je vois.
Sortez votre tete de votre cul 2mn et mettez vous a bosser.
Quand on laisse passer des aberations telque les 35 heures, que l’on gobe avec le sourire la propagande de notre monarchie democratique en ce qui concerne l’irak, que personne ne reagisse aux lois perben et autres delires de sarko.
Que dire? Un nouveau vichy…
Les Francais ont vraiment la memoire courte.
aprenez deja a parler anglais comme tout le monde, et vous pourrez de l’info, de la vrai !!!
Je ne sais pas à qui vous répondiez mais je vous suis sur les trois remarques que vous faites (travailler, propagande de la monarchie républicaine, 35h) ainsi que sur les délires de contrôle social sarkozyo-raffariniste (voir mon article sur contrepoison à propos du projet de loi contre la délinquance)… délires tellement délicieusement soviétiques (c’est l’état actuel de la surveillance de la population dans des pays comme Cuba ou la Corée du Nord)…
Les réglementations libérent. On les suit. On est libéré de la peine de choisir. Les réglementations sont libérales.
Le Monde diplo, Marianne, sont des journaux libéraux. On lit et on répète. On est libéré de la peine de réfléchir.
Tout cela se passe en société. C’est social. C’est donc social libéral.
Pourtant le libéralisme ne marche pas toujours : des régimes politiques qui avaient libéré leurs citoyens de la peine de choisir et de réfléchir, même de vivre pour des privilégiés, se sont effondrés en Europe.
Qu’en pense José Bové?
C’est beau ce que l’on peut faire avec du vocabulaire standard. Voir George Orwell 1984.
« petit bourgeois abrutile…
Croire qu’un patron peut licencier « juste parce qu’il en a décidé ainsi » c’est démontrer votre ignorance totale du monde du travail et le code qui va avec; une fréquentation des prudhommes, des bourses du travail et des permanences d’aide juridique vous éclaircirait les idées sur les obstacles quasi insurmontables à un licenciement non motivé. »
non mais il t’arrive quoi, là ? connard!!!!
quand j’ai pris l’exemple du licenciement, je l’ai pris d’un point de vue STRICTEMENT LIBERAL!!! Car il me semble bien que vous pronez une réforme du code du travail dans le sens d’une facilitation des licenciements, je me trompe???
Espèce de sale connard enculé de mes deux, je ne suis pas plus bourgeois que certains libéraux.
Concernant le monde diplo, je vous signale que c’est un magazine de REFERENCE pour tous ceux qui veulent mieux connaitre le monde d’aujourd’hui; on y parle même du libéralisme, tiens!!! Tous les profs au lycée et à la fac recommandent ce journal et vous vous arrivez, et vous dites que ce journal est nul?
faut arreter les délires là !!!!
» Concernant le monde diplo, je vous signale que c’est un magazine de REFERENCE pour tous ceux qui veulent mieux connaitre le monde d’aujourd’hui; on y parle même du libéralisme, tiens!!! Tous les profs au lycée et à la fac recommandent ce journal et vous vous arrivez, et vous dites que ce journal est nul? »
Oooooh ben alors, si « tous les profs au lycée et à la fac » le recommandent ça doit surement être un super journal, il n’y a aucun doute.
Sur ce je file m’y abonner pendant qu’il est temps.
Oooooh ben alors, si « tous les profs au lycée et à la fac » le recommandent ça doit surement être un super journal, il n’y a aucun doute.
Sur ce je file m’y abonner pendant qu’il est temps.
ben oui… c’est ce qu’il faut faier , et tu verras que ce que je dis est vrai….
« Espèce de sale connard enculé de mes deux »
toute la distinction gauchiste du petit bourge mal élevé et homophobe! Enfin, l’insulte ne qualifie que celui qui la profère. Je vous précise qu’abrutile renvoie à un concept dérivé de celui d’idiot utile léninien.
Et pour le torchon de l’ignoble pourriture castriste Ramonet, j’en ai été un lecteur assidu pendant 14 ans : la plupart des articles (mis à part certains spécifiquement littéraires) sont mensongers, l’information y est manipulée d’une manière qui fait rire à l’étranger et comparer ses journalistes à ceux de la Pravda (en compagnie de leurs grands frères du Monde tout court)
Votre argument d’autorité est minable (c’est le magazine de REFERENCE… ridicule, pourquoi pas Marie-Claire ou Spirou? ou la Vie du Rail, tous les cheminots le disent!) mais donne une indication sur la maladie dont vous souffrez : vous êtes un esclave né. Born to obey! Désolé pour votre propagande, ce n’est la devise de personne ici.
le néo-liberalisme n’est autre chose que du néo esclavagisme.
Dans l’espace de deux siècles les soi- disants « liberaux » ont squatterisé la maison libérale en parlant au nom d’un libéralisme q’ils ont trahi depuis belle lurette.
le néo-liberalisme n’est autre chose que du néo esclavagisme.
Dans l’espace de deux siècles les soi- disants “liberaux†ont squatterisé la maison libérale en parlant au nom d’un libéralisme q’ils ont trahi depuis belle lurette.
Vous avez raison et en plus ces »libéraux » ont oublié les thèses d’Adam Smith. Ce dernier précise que quant l’infrastructure ne peut-etre confié au privé, on la laisse au public. Or personne ne fait ça aujourd’hui, on privatise tout meme l’armée et je vous passe les conséquences (Blackwater en Irak) Plus il y a de mort plus c’est rentable, bine heiin?
Autre exemple tout con, le prix de l’eau, plus cher quant l’eau est de gestion privée et moins cher quant c’est public (voir que choisir du mois)