La liberté d’expression est une des pierres angulaires du libéralisme. Elle est, du moins dans son principe, une des valeurs les plus profondes de la culture politique occidentale. Menacer de mort une personne qui en a usé constitue une menace pour le principe lui-même et donc pour la civilisation qui se fonde sur lui. C’est ce qui vient de se produire avec Robert Redeker, un professeur de philosophie menacé de mort par les islamistes pour avoir écrit un article corrosif sur l’islam.
Mais avant cette menace extérieure, la liberté d’expression faisait déjà l’objet d’une lente destruction venant de l’intérieur. De la démocratie elle-même. Ou plutôt d’une conception totalitaire de la démocratie, malheureusement la plus courante. Selon cette conception, la démocratie est la valeur absolue. Tout ce qui émane d’un processus démocratique est par définition le Bien à l’instant même où il en émane. Cela conduit bien sûr au relativisme destructeur. Ce qui était juste, bien et vrai peut devenir injuste, mal et faux après le processus de la magie démocratique. Ce qu’on avait le droit de dire un jour peut devenir interdit d’expression le lendemain. Le Parlement, par exemple, vient d’adopter un projet de loi sanctionnant la négation du génocide arménien. N’y a-t-il pas aussi des écologistes qui veulent rendre illégale la négation du « réchauffement planétaire »?
         Le totalitarisme a besoin d’une vérité officielle car il doit par nature tout contrôler pour atteindre ses objectifs et maintenir son pouvoir. Et la démocratie ne se distingue pas du totalitarisme lorsqu’elle interdit la négation de ce que la majorité croit. Ce qu’a écrit Orwell dans 1984 est toujours d’actualité, même dans nos régimes dits démocratiques. Car la démocratie ne se distingue pas du fascisme élitiste lorsqu’elle interdit de nier ce que d’autres jugent immoral de nier. Le pluralisme des idées, la possibilité de mesurer la validité d’une idée à l’aune d’une autre, la concurrence des idées, tout cela préserve à la fois la liberté et les chances d’éliminer les idées fausses. De quelle divine infaillibilité peuvent se prévaloir les hommes de l’État ou la majorité pour définir ce qui est vrai et indiscutable?
Ostracisme et droits de propriété
 La liberté d’expression n’a pas d’autre limite que celle qui protège les droits de propriété individuels. Ainsi vous ne pouvez pas dire ce que vous voulez chez moi précisément parce que vous êtes chez moi. De même, vous ne pouvez pas dire ce que vous vous êtes engagé à ne pas dire, d’où l’existence d’un devoir éventuel de réserve. Publier une opinion avec ses propres moyens ou avec ceux d’une autre personne consentante ne peut violer aucun droit légitime.
         Dans une société libre, on a le droit de tout dire dans la limite des engagements contractuels que l’on a pris et dans la limite des moyens mis en oeuvre: ne pas utiliser la propriété des autres par la force. Mais alors, dira-t-on, les gens passeront leur temps à s’insulter, à nier les chambres à gaz, etc. Il faudrait donc qu’une autorité rétablisse l’ordre. Curieux raisonnement qui conduirait à affirmer que les individus voudraient un ordre moral alors que leurs actions révèleraient le contraire.
Les comportements et les idées fausses, même les insultes, s’éliminent par l’ostracisme et le boycott. Ne plus entrer en relation avec quelqu’un qui nie les chambres à gaz peut lui faire payer cher ses divagations et dissuader d’autres de recommencer. C’est aussi suffisant pour ne plus avoir à souffrir ce que l’on ne veut pas entendre. Une société de liberté n’a pas besoin d’interdiction pour bâillonner les négationnistes, les racistes et les menteurs. Le refus de coopérer avec eux est efficace dans la proportion du degré de tolérance des autres pour leurs idées ou comportements.
Le cas de l’islam
 L’islam n’est pas compatible avec les valeurs occidentales. Le principe de liberté d’expression est en contradiction avec l’islam. La raison tient au fait que cette religion définit le musulman comme un individu qui n’a pas besoin du principe de liberté d’expression puisqu’il l’a abdiquée par sa foi même, et au fait simultané que l’islam est une religion totalitaire, qu’elle contient donc une idéologie politique. De fait, la liberté d’expression n’a jamais existé dans un État islamique.
         Alain Madelin a beau dire qu’il faut distinguer l’islamisme radical et les musulmans modérés, les contradictions évidentes entre l’islam et les principes de liberté chèrement acquis en Occident ne peuvent que tourner à l’avantage de cette idéologie totalitaire si ces principes ne sont pas défendus avec vigueur.
         La liberté d’expression ne se conçoit pas sans des droits de propriété individuels absolus, et c’est bien pour cela qu’elle est un principe inhérent au libéralisme. Ainsi se battre contre le libéralisme, c’est aussi se battre contre les principes qui en découlent, y compris la liberté d’expression. C’est ce que font les communistes et les socialistes de tous horizons en utilisant la loi pour protéger une vérité officielle.
         L’opposition frontale entre l’islam et la liberté d’expression devrait nous donner l’occasion de réfléchir de nouveau à ce qu’est la liberté d’expression, pour comprendre son lien logique avec une définition strictement individuelle des droits de propriété, avec une philosophie politique qui définit l’agression, le vol, le crime, et le délit par la violation des droits de propriété individuels et des engagements contractuels libres.Â
Post scriptum :
 La liberté des uns est-elle limitée par celle des autres ? Oui à la seule condition de définir la liberté par l’absence d’agression des droits de propriété. Définition qui est la seule valide en philosophie politique. Ainsi, la liberté de s’exprimer est limitée par l’interdiction du vol, et par les accords passés avec les autres propriétéaires.  La liberté d’expression n’est en rien limitée objectivement par la façon dont les autres vont accueillir le message. Il y a un abus anti-conceptuel de la notion de liberté lorsqu’on utilise la formule « la liberté des uns est limitée par celle des autres » de façon contradictoire pour empêcher un autre l’usage de son droit légitime. Utilisant alors la notion de liberté dans un sens valide et dans un sens non valide (qui confond la liberté avec l’exigence de respect) on contribue à créer la confusion, ce qui est précisément l’objectif du sophiste. On peut reconnaître ici ceux qui en appellent à cette formule pour justifier une loi qui interdirait de dire que qu’on a le Droit de dire.
 La liberté d’expression est un Droit qui se déduit d’un Droit de propriété individuel : la propriété de son corps ( « Qui est le propriétaire de mon corps ? »Â ). Ce Droit est absolu au sens où il ne dépend d’aucun autre et il ne se divise pas. Il est. Les Droits de propriété sont. L’ensemble des droits de propriété forme un système de droits nécessairement harmonieux et non contradictoire. De ce système de droits de propriété en mouvement permanent découle ce que chacun peut ou ne peut pas faire et, que cela plaise ou non, la façon dont nos actes sont perçus ne doit se traduire autrement que par des actes compatibles avec le système de droits de propriété.
Â
Tout est vrai dans cet article, hélas.
« L’islam n’est pas compatible avec les valeurs occidentales » Je dirai aussi que les valeurs occidentales ne sont pas compatibles avec le libéralisme. Un christianisme et un judaïsme « tolérants » sont des religions que la liberté et la subjectivité des individus ont rendu inoffensives, en les délogeant du pouvoir. Le Concordat, cette imposture napoléo-pétaino-papale, qu’on avait oublié dans nos impôts, pourrait bien aujourd’hui arranger les barbus. Merci monsieur le Ministre, défenseur des valeurs républicaines contre les extrémismes. Il rêve s’il croit domestiquer ainsi le Djihad.
Au moins, avec la Turquie, on avait un allié historique contre le communisme et un des rares pays laïque, qui, même étant de confession majoritairement islamique, commerçait gentilment avec Israël et les abkhazes. Le commerce, ça pacifie un peu… (Alexandre Adler était de cet avis et je le partage un peu aujourd’hui).
Franchement, oui, Hélas! Tout est malheureusement vrai dans cet article.
Je me suis fait insulter, dans un espace appartenant à tous, par un ignoble individu non-enturbanné qui m’a traité de vieux con.
Bien que ce ne soit pas forcément faux, je me demande quand même si SA liberté d’expression n’a pas empiété sur MA sensibilité. Je me demande aussi si MA sensibilité ne fait pas partie de MON corps. Par un syllogisme simpliste j’en ai déduit que selon les libéraux ma sensibilité ne faisait pas partie de mon corps et donc que les libéraux ne définissaient la liberté que par rapport à une propriété matérielle.
Ai je bien compris le message ?
Votre sensibilité est une réalité qui dépend de votre corps et le Droit de propriété de votre corps implique que vous avez le Droit d’avoir la sensibilité que vous avez. Il est assez contradictoire de votre part de vouloir empêcher une action qui heurte votre sensibilité alors que c’est précisément par ce moyen qu’elle se révèle et qu’elle manifeste son existence, que vous en prenez conscience. Je dirai donc qu’une insulte excite votre sensibilité et ne la détruit pas. S’agissant du fondement matériel de la propriété de soi, c’est une question d’économie dans la démonstration. Il suffit de démontrer que la propriété « matérielle » de soi est nécessaire à toute action pour justifier le Droit de propriété de son corps. Or comme, jusqu’à preuve du contraire, posséder son corps c’est aussi posséder toutes ses propriétés (la capacité de penser, d’avoir des sentiments, une sensibilité…), comme pour agir il est nécessaire d’utiliser son cerveau, le droit de propriété de son corps est aussi le droit d’utiliser librement et sans agression son propre esprit, d’avoir ses propres émotions et sa propre sensibilité.  Lisez donc la démonstration du Droit de propriété de soi par François Guillaumat que j’ai mise en lien. Lisez-la attentivement et n’ayez pas peur de penser jusqu’au bout. En ce qui concerne maintenant la relation entre votre sensibilité et le Droit de propriété, ou bien votre sensibilité doit être un critère de validité du Droit de propriété d’un autre, ou bien elle ne doit pas l’être. Si elle le doit alors cela signifie que les Droits de propriété des autres dépendraient de la sensibilité de tous ceux qui pourraient être amenés à être en relation avec les détenteurs de ces Droits. Or c’est précisément ce que le concept de Droit exclut. Un Droit est précisément une interdiction pour quiconque d’empêcher par la force une action fondé sur ce Droit et qui ne viole pas un autre Droit (principe de cohérence du Droit). Et cela que cette action vous plaise ou non. Si vous avez le Droit, selon votre sensibilité, d’empêcher par la force la libre expression d’un autre cela signifie tout simplement que le Droit de libre expression n’existe pas. La sensibilité étant de nature subjective et changeante, comment voulez-vous définir un Droit objectivement sur une telle base ? Non seulement il serait a priori impossible de savoir ce que l’on peut dire et ce que l’on ne doit pas dire, ce qui interdirait toute action, toute expression, étant dans l’impossibilité de connaître a priori la sensibilité de nos interlocuteurs mais en plus on ne pourrait strictement plus rien dire pour contredire qui que ce soit puisqu’il suffirait d’opposer le « droit » de sa sensibilité. Deux Droits contradictoires ne peuvent pas exister simultanément. Il faut de nouveau insister sur le fait que la définition d’un Droit ne dit rien sur l’usage que l’on peut en faire, comme l’a dit Mickaël Mithra dans son article précédent (en défense du droit naturel : « une théorie du droit doit fournir un critère de distinction entre les actes justes et les actes injustes (conforme ou non au droit), mais son objet n’est pas d’indiquer un choix entre les actes justes eux-mêmes, infiniment nombreux à tout instant »). On peut en faire un usage qui scandalise les autres mais le simple jeu de la coopération et du refus de coopérer (cf. Axelrod, comment réussir dans un monde d’égoïstes) régule cet ordre spontané de la parole libre.
vous avez batis votre analyse concernat l’islam sur deux hypothèse erronnés
l’islam n’est pas comatible avec les valeur occidental !!! si vous dite que l’islam doit etre compatible, cela veux dire que les valeur occidentales sont totalitaire ausi, vous tomberez alors dans le critique que tu as apporté à l’islam.
en plus ql sont les valeurs occidentales vous avez donner comme exomple la libre expression, où il est la libre expression dans un monde occidental où il y a des loi condamnant toute parole pacifique qui traitent les sionniste et les juif, ou bien qui nient la genocide turque presumé en arminie.? dsl, loin de la libre expression
[…] Article reproduit avec la permission de l’auteur […]
La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle éminemment révolutionnaire.
Partout où elle a conquis le pouvoir, elle a foulé aux pieds les relations féodales, patriarcales et idylliques. Tous les liens complexes et variés qui unissent l’homme féodal à ses « supérieurs naturels », elle les a brisés sans pitié pour ne laisser subsister d’autre lien, entre l’homme et l’homme, que le froid intérêt, les dures exigences du « paiement au comptant ». Elle a noyé les frissons sacrés de l’extase religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la sentimentalité petite-bourgeoise dans les eaux glacées du calcul égoïste. Elle a fait de la dignité personnelle une simple valeur d’échange; elle a substitué aux nombreuses libertés, si chèrement conquises, l’unique et impitoyable liberté du commerce. En un mot, à la place de l’exploitation que masquaient les illusions religieuses et politiques, elle a mis une exploitation ouverte, éhontée, directe, brutale.
La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités qui passaient jusque-là pour vénérables et qu’on considérait avec un saint respect. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, le savant, elle en a fait des salariés à ses gages.
La bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité qui recouvrait les relations de famille et les a réduites à n’être que de simples rapports d’argent.
La bourgeoisie a révélé comment la brutale manifestation de la force au moyen âge, si admirée de la réaction, trouva son complément naturel dans la paresse la plus crasse. C’est elle qui, la première, a fait voir ce dont est capable l’activité humaine. Elle a créé de tout autres merveilles que les pyramides d’Egypte, les aqueducs romains, les cathédrales gothiques; elle a mené à bien de tout autres expéditions que les invasions et les croisades [6]
La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production, ce qui veut dire les rapports de production, c’est-à -dire l’ensemble des rapports sociaux. Le maintien sans changement de l’ancien mode de production était, au contraire, pour toutes les classes industrielles antérieures, la condition première de leur existence. Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de tout le système social, cette agitation et cette insécurité perpétuelles distinguent l’époque bourgeoise de toutes les précédentes. Tous les rapports sociaux, figés et couverts de rouille, avec leur cortège de conceptions et d’idées antiques et vénérables, se dissolvent; ceux qui les remplacent vieillissent avant d’avoir pu s’ossifier. Tout ce qui avait solidité et permanence s’en va en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d’envisager leurs conditions d’existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés.
Poussée par le besoin de débouchés toujours nouveaux, la bourgeoisie envahit le globe entier. Il lui faut s’implanter partout, exploiter partout, établir partout des relations.
Par l’exploitation du marché mondial, la bourgeoisie donne un caractère cosmopolite à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand désespoir des réactionnaires, elle a enlevé à l’industrie sa base nationale. Les vieilles industries nationales ont été détruites et le sont encore chaque jour. Elles sont supplantées par de nouvelles industries, dont l’adoption devient une question de vie ou de mort pour toutes les nations civilisées, industries qui n’emploient plus des matières premières indigènes, mais des matières premières venues des régions les plus lointaines, et dont les produits se consomment non seulement dans le pays même, mais dans toutes les parties du globe. A la place des anciens besoins, satisfaits par les produits nationaux, naissent des besoins nouveaux, réclamant pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats les plus lointains. A la place de l’ancien isolement des provinces et des nations se suffisant à elles-mêmes, se développent des relations universelles, une interdépendance universelle des nations. Et ce qui est vrai de la production matérielle ne l’est pas moins des productions de l’esprit Les oeuvres intellectuelles d’une nation deviennent la propriété commune de toutes. L’étroitesse et l’exclusivisme nationaux deviennent de jour en jour plus impossibles et de la multiplicité des littératures nationales et locales naît une littérature universelle.
Par le rapide perfectionnement des instruments de production et l’amélioration infinie des moyens de communication, la bourgeoisie entraîne dans le courant de la civilisation jusqu’aux nations les plus barbares. Le bon marché de ses produits est la grosse artillerie qui bat en brèche toutes les murailles de Chine et contraint à la capitulation les barbares les plus opiniâtrement hostiles aux étrangers. Sous peine de mort, elle force toutes les nations à adopter le mode bourgeois de production ; elle les force à introduire chez elle la prétendue civilisation, c’est-à -dire à devenir bourgeoises. En un mot, elle se façonne un monde à son image.
La bourgeoisie a soumis la campagne à la ville. Elle a créé d’énormes cités; elle a prodigieusement augmenté la population des villes par rapport à celles des campagnes, et par là , elle a arraché une grande partie de la population à l’abrutissement de la vie des champs. De même qu’elle a soumis la campagne à la ville, les pays barbares ou demi-barbares aux pays civilisés, elle a subordonné les peuples de paysans aux peuples de bourgeois, l’Orient à l’Occident.
La bourgeoisie supprime de plus en plus l’émiettement des moyens de production, de la propriété et de la population. Elle a aggloméré la population, centralisé les moyens de production et concentré la propriété dans un petit nombre de mains. La conséquence totale de ces changements a été la centralisation politique. Des provinces indépendantes, tout juste fédérées entre elles, ayant des intérêts, des lois, des gouvernements, des tarifs douaniers différents, ont été réunies en une seule nation, avec un seul gouvernement, une seule loi, un seul intérêt national de classe, derrière un seul cordon douanier.
La bourgeoisie, au cours de sa domination de classe à peine séculaire, a créé des forces productives plus nombreuses; et plus colossales que l’avaient fait toutes les générations passées prises ensemble. La domestication des forces de la nature, les machines, l’application de la chimie à l’industrie et à l’agriculture, la navigation à vapeur, les chemins de fer, les télégraphes électriques, le défrichement de continents entiers, la régularisation des fleuves, des populations entières jaillies du sol – quel siècle antérieur aurait soupçonné que de pareilles forces productives dorment au sein du travail social ?
Voici donc ce que nous avons vu : les moyens de production et d’échange. sur la base desquels s’est édifiée la bourgeoise, furent créés à l’intérieur de la société féodale. A un certain degré du développement de ces moyens de production et d’échange, les conditions dans lesquelles la société féodale produisait et échangeait, l’organisation féodale de l’agriculture et de la manufacture, en un mot le régime féodal de propriété, cessèrent de correspondre aux forces productives en plein développement. Ils entravaient la production au lieu de la faire progresser. Ils se transformèrent en autant de chaînes. Il fallait les briser. Et on les brisa.
A sa place s’éleva la libre concurrence, avec une constitution sociale et politique appropriée, avec la suprématie économique et politique de la classe bourgeoise.
Alors je vai apporter de solides arguments a ce débat qui en manquent un peu….:
L’islam est un poison au niveau mondial, religion intolérante par exellence, discriminatoire, partout ou il y a l’Islam c’est le chaos (chine, russie, afrique et même plus proche de nous dans les balcans cosovo etc…) sans parler de l’afrique du nord ou les chrétiens sont exterminé depuis des années (l’islam y est dominant) il y en a plus beaucoup pour témoigner de la barbarie des barbus!!!! De toute façon la liberté d’expression des victimes de l’islam leurs est enlevé même en France, il faut faire attention de ne pas stigmatiser une communauté et blabla bla… Et les barbares fasciste, barbue sont toujours les grands vainqueurs, protéger par nos démocraties de gauche qui ce battent chaque jours férocement pour l’islam, Islam radical qui au passage désire les enterrer ou les convertirs le couteau sous la gorge, quel paradoxe!!!! Et il y a beaucoup de femme « de culture chrétienne » qui ce battent pour protéger les musulmans, quel paradoxe!!!! Si elles savaient, quel plaisanterie!!!
Il faut également ce battre pour la liberté d’expression. Je suis comme beaucoup de personne, stupéfait qu’un criminel d’origine étrangère à plus de droit ou est plus protégé que d’autre citoyen « autochtone » (blanc). Car la plupart des français ne sont pas naif, lorsque Durant ou Dupont commet un crime, son nom, sa photo et son éthnie sont clairement mis en avant, il fait la une des journeaux télévisé. Ah oui !!!! Et lorsque Mohamed ou Mouloud trafique ou viol (viol jamais une musulmane je le précise au passage, forme de racisme culturel), alors pas de nom, pas de photo à la une des journeaux, c’est l’OMERTA !!!! Comment c’est possible !!! On fait simplement état du crime commis et il faut vraiment creuser pour trouver un non !!!
Racisme à l’envers (anti-blanc) ? peut-être. Inégalité de traitement ? Certainement !!!
D’ailleur on constate depuis quelques temps l’autodescruction de nos sociétés, nos valeurs méprisé par beaucoup…. Car trop de personne soutiennent l’islamisation de notre société, sans ce rendre compte de l’incompatibilité des valeurs de l’islam avec les lois de la république (égalité, tolérance, respect des femmes, égalité entre les sexes….)
Sur ce dernier point, je ne comprends pas pourquoi les femmes ne sont pas en première ligne dans ce combat pour la liberté qui les concernent directement, on y retrouve majoritairement des hommes !!!
Franck.
Dans le Coran, il n’y a aucune loi commandent aux humains de réduire l’expression des autres. En réalité, il est même dit que face à la moquerie et au blasphème, l’attitude la plus pieuse du croyant est l’endurance.
Et les conversations forcées sont non seulement interdite, mais aussi considérées comme impossibles puisque Dieu est considéré comme le seul vecteur de foi.
Et le fait de tuer un non-musulman n’est permis pour un musulman que dans le cadre de la légitime défense, ou dans l’exercice de la loi du Tallion.
En gros, laissons tout le monde s’exprimer, et disons que chaque individu peut faire ce qui ne nuit à personne, ce que font l’immense majorité des musulmans présents en France.
Franck: pas le temps de répondre en détail, mais oui il y a du racisme anti-blanc mais j’ai pas l’impression qu’on mette en avant qd un criminel est « blanc ». A moins que je me trompe, mais faudrait étudier réellement (statistiquement) les faits un par un… et puis comme je ne regarde pas la télé (je n’en ai pas)…
Zackary: ce n’est pas ce qu’affirment les mollahs influents, que ce soit en Iran, en Arabie Saoudite, en Egypte etc etc. Si l’Islam est « divers » et qu’on ne peut pas dire « l’Islam est ceci » ou « l’Islam est cela » on peut quand même constater que partout où l’Islam est « appliqué » au travers de la shariah c’est femmes voilées, coups de fouets et lapidations, et surtout pas liberté d’expression…
Après je te laisse le soin d’expliquer à tous ces déviants de l’Islam qu’ils ont tort :)
Ceci étant, eux aussi ont le droit à la liberté d’expression, qu’ils disent leurs horreurs afin que tout le monde les reconnaisse pour ce qu’ils sont: des monstres totalitaires.
Les mollah c’est en Iran, en Arabie ce sont les ulema. Bon, c’est à peut prêt pareil mais pas tout à fait.
Il y a plusieurs Sharia, plusieurs interprétations. Et plusieurs textes aussi. Il y a le Coran, il y a la Sunna. Et la Sunna, certains disent qu’elle est vrai, d’autres qu’elle l’est partiellement, d’autres que ce n’est qu’un ramassis de conneries. Leur leur point qui met d’accords tout les musulmans c’est le Coran, et le Coran quand on l’interprète littéralement c’est ce que je vient de dire.
Alors bon, c’est pas grave de ne pas savoir, la plus part des gens ne savent pas. Mais quand on sais pas soit on s’informe, soit on ne dit rien. On ne peut pas raconter n’importe quoi et induire les gens en erreur, cela créé une réaction en chaîne.
Même si je suis favorable au droit de l’individu d’utiliser sa liberté d’expression pour raconter les conneries qu’il veux, j’utilise la mienne pour préciser que ce sont des conneries. :)
Encore une fois, je ne suis pas sûr que le coran soit paix et amour comme tu le dis. ce n’est encore une fois pas l’interprétation qu’en font les grands docteurs de la foi ici et là .
m’enfin bon, de tte façon que ce soit le cas ou non ceux qui font autorité sur le sujet l’affirment, et comme ceux là sont écoutés même s’ils ont tort ce sont eux qui malheureusement ont un impact sur le réel.
J’ai pas pas parlé d’amour mais de liberté.
Il n’y a pas que l’Arabie et l’Iran. La Turquie et les Emirats se revendiquent également de cette religion et n’écrasent pas les libertés (ok, sauf quand il s’agit de se caliner en publique aux Emirat)
Donc ouais certains pays font des saloperies au nom d’un dogme, mais dans ce cas ce sont ces pays qui sont en cause. Si ont veut critiquer un dogme, on ne peut que prendre le dogme en lui même, pas pointer du doigt les pays qui se revendiquent de son application.
Tient,mon post de réponse a disparu? Et la liberté d’expression dans tout ça?
Mais va te faire voir avec la liberté d’expression, t’es ici chez moi gros malin… et dans mon salon t’as pas la liberté d’expression, parce que paye un loyer pour avoir ce site, que je l’entretiens etc…
et chiale pas pour ton post, il va apparaitre mais par défaut je modère les commentaires… et t’avais pas posté de la même IP déjà autorisée donc rétention à cause du spam.